<p><p>Sans titre</p></p>
Dans une société où la surenchère publicitaire n’est pas loin, il devient de plus en plus difficile de garantir le lancement d’un nouveau produit.
La première chose à faire est d’abord de concevoir un excellent produit. Je sais cela peut sembler à première vue évident, malheureusement à y regarder de plus prêt cela n’est pas si simple. Sinon pourquoi de nombreux produits ou services ne rencontrent pas la réussite tant souhaitée par leurs chefs de produits ?
Nous sommes passés en quelques décennies d’une société de pénurie (suite à la guerre) à une société de surabondance. Il suffit de se rendre dans un hypermarché pour s’en convaincre… Le choix d’une eau minérale devient cornélien, non ?
Il est clair que la publicité joue un rôle primordial. Elle permet d’informer le consommateur sur le positionnement du produit, de faire connaître le nom (jusqu’à le rendre familier et même membre de la famille !).
Néanmoins, dans bien des cas, on n’achètera un produit que si l’on a eu l’occasion de le tester et de l’apprécier. C’est pourquoi, chez TriBeCa, nous proposons aux annonceurs d’aller à la rencontre des consommateurs là où ils se trouvent… et donc certainement pas dans un supermarché mais plutôt dans la rue, devant leur bureau, au café, au restaurant, dans leur club de gym, sur internet…
L’idée est de leur faire tester le produit et de leur laisser une première bonne impression… et créer une connexion forte avec la cible…
J’ai effectué ma maîtrise à Montréal. Un soir, alors que je m’apprêtais à rentrer chez moi, une personne m’a tendu un paquet de Fisherman’s Friend (bonbon à la menthe particulièrement forte)… C’était il y a 6 ans maintenant. Il faut croire que j’ai apprécié la friandise car j’ai depuis ce moment là, j’ai toujours un paquet dans la poche ! Il est clair que pour la marque, le ROI est largement atteint depuis longtemps. De plus, j’ai « contaminé » pas mal de gens. Il y a deux ans environ, j’ai croisé des distributeurs d’échantillon de FF dans un quartier d’affaires. Cela m’a rappeler ce soir de printemps canadien et je me suis dit que cette idée aussi basique soit-elle était une excellente idée. Je ne comprends pas pourquoi si peu de marques font de l’échantillonnage en France.
Le mieux étant de théâtraliser la rencontre avec sa cible… ce qui sera l’objet d’un prochain post.
Commentaires