Par Pascal Leurquin - Chef d'entreprise belge
Chose promise, chose due : voici le récit des aventures d’une PME sur la route sinueuse de l’IPO...
Au commencement de cette grande aventure, il y a des projets. Beaucoup de projets.
roissance et développements pour l’entreprise, des idées plein la tête et la conviction que les opportunités sont là, toutes proches. Pour un entrepreneur dans l’âme, il est souvent frustrant d’être limité par le manque de moyens. La croissance, il faut donc la financer (Entreprendre: financer la croissance).
Pour cela, l’entreprise a différentes options : placement privé, financement bancaire, augmentation de capital, ... Depuis le démarrage de ses activités, notre entreprise est souvent parvenue à s’allier le partenariat des banquiers. Mériter leur confiance est un combat quotidien...
Des exercices successifs marqués par une croissance dynamique et toujours bénéficiaire ont - à de multiples reprises - largement pesé dans la balance des négociations. Mais cette manne n’est pas inépuisable. Après être parvenus à générer durant des années un effet de levier très important, nous étions arrivés à un niveau maximum. Il fallait donc envisager d’autres options.
L’ouverture du capital par souscription publique (IPO) était l’une d’elles et elle a rapidement retenu notre intérêt.