Envie d'entreprendre

Billet d’humeur, de Belle humeur, de Bonne humeur !

MathieuLaurence Par Laurence Mathieu (chroniqueur exclusif) – Consultante associée DUNE(S)

Il était des temps dans lesquels  ma rentrée scolaire était une source d’inquiétude, de stress. C’était le « gros » point d’interrogation : comment allait se passer cette année ? Allais-je assurer au niveau  des résultats ?

Bien entendu cela fait quelques années que j’ai quitté les bancs de l’école, malgré tout je ne vous dis pas que désormais la rentrée scolaire de mes enfants avec les pleurs qui l’accompagne parfois, ne provoque pas encore une crampe au ventre…

Mais la rentrée 2010, ma rentrée 2010 est belle et me porte avant tout à l’enthousiasme. Alors, guidée par une envie de partage, il fallait que je vous le fasse savoir. Des messages de bonheur ne me semblent pas si fréquents ces temps ci…Alors profitons en.

Qu’est-ce qui donne cette jolie couleur automnale à ma rentrée ?

Cela fait deux années que j’ai créé mon activité et développe des prestations de conseils en RH.

Premier motif de satisfaction : si les deux premières années ont été bien remplies, le plan de charges de la troisième s’annonce plutôt bon. L’inquiétude n’est pas de mise sans me pousser toutefois à l’immobilisme, ne vous y trompez pas !

Deuxième motif que je vous le livre comme un conseil qui m’a été précieux : la récurrence, chercher, trouver et finaliser des contrats qui vous apportent une récurrence de chiffre d’affaires. Maintenant que j’ai cette chance, je comprends et vis la sérénité d’esprit qu’ils vous offrent. Il est en effet très bon de facturer des sommes même modérées tous les mois plutôt que de ne faire une facture que tous les 6 mois…

Troisième motif de satisfaction : la situation financière de DUNE(S) est saine. J’entends par là deux choses :

Projets de rentrée

Peggy andréPar Peggy André (chroniqueur exclusif) -Bagatelles.fr 

Cet été chez Bagatelles et L’accro du shopping, on a préparé noël ! Et oui il n’est jamais trop tôt pour s’y mettre quand l’essentiel de notre CA se fait sur cette période.

L’année dernière je venais juste de reprendre Bagatelles quand le rush de noël a démarré, autant dire que les ventes réalisées et le CA généré ne demandent qu’à exploser ! On vise un CA X 2 : la pression est grande !!!

C’est pourquoi après quelques jours à New York, la semaine de la canicule ( 101°F … ), j’ai choisi de ne pas repartir et préparer les commandes de nouveautés pour que les livraisons se fassent en septembre. De plus j’ai remarqué que les internautes n’hésitent pas à revenir plus de 5 fois sur le site et les produits qu’ils ont aimés avant d’acheter. Donc si je veux faire de bonnes ventes pour les fêtes il faut que tout soit en ligne avant octobre.

Je croule donc sous les cartons et tout n’est pas encore arrivé !

Le seul problème, c’est que je n’ai tout de même pas eu le temps de passer les commandes pour l’accro du shopping. Un site sur lequel je veux revoir l’offre, car le domaine des bijoux fantaisie est de plus en plus concurrentiel et si on choisit de ne pas faire de marques connues comme moi, il est difficile de faire sa place et de générer un bon CA. J’ai donc opté pour les accessoires tendance, aussi bien de cuisine, de mode ou écolo. Tout ce qui est fashion, girly et très fille. Pour que le site garde son image girly tout de même.

Au-delà de mes sites, j’ai accentué le développement du réseau d’entrepreneurs, les cyber-entrepreneurs. Le blog http://jadorelescadeaux.com commence à bien se positionner sur google et les demandes pour proposer ses idées cadeaux sont de plus en plus nombreuses. Je compte étoffer le blog dans les prochaines semaines sur les fêtes de noël  à proprement parler : historique, comment fête t’on noël à l’étranger, les plus beaux sapins de noël… Tout ça pour éviter l’effet catalogue et donner une âme au blog.

Concours : les grandes écoles aux côtés des créateurs

Teillet_antoine Par Antoine Teillet (chroniqueur exclusif) – Journaliste spécialisé grandes écoles

Dans tout entrepreneur, il y a un compétiteur. Au sens figuré comme au sens propre puisque les concours de création d’entreprise se comptent par dizaines, locaux, régionaux comme nationaux.

Un certain nombre de grandes écoles n’ignorent rien du phénomène, au point de soigner tout particulièrement ce genre d’événement pour en faire un point central de leur politique en faveur de l’entreprise. De quoi se positionner au plus près du monde professionnel auquel elles tiennent tant.

Parmi eux, le Challenge Projet d’Entreprendre (1) organisé par Télécom SudParis et Télécom Ecole de Management, qui demeure réservé aux élèves des deux institutions, ou encore le Concours Innov’up (2) qui concerne la région Languedoc Roussillon, et qui est organisé entre autres par les Mines d’Alès. Le concours Total Edhec Entreprendre (3) est une autre initiative intéressante destinée aux jeunes de moins de 26 ans du Nord-Pas de Calais. Ne pas oublier enfin « Made in ESCP » (4) qui veut encourager les créateurs issus de la communautés de diplômés d’ESCP Europe et qui s’inscrit au cœur d’une politique plus globale de création d’entreprise promue par l’école parisienne. Ce ne sont que quelques exemples.

Mais s’il ne fallait en retenir qu’un, ce serait Tremplin Entreprises (5), co-organisé par l’Essec et le Sénat, pour quatre prix aux jeunes entreprises les plus prometteuses. Selon Julien Morel, directeur de la filière entrepreneuriat de l’Essec : « Ce concours a pour but de permettre aux start-up et PME innovantes de rencontrer ensuite les bons investisseurs. Pour des candidats de tous âges et venus de toute la France. Seule compte l’idée de départ qui motive le projet. » Chaque année, plusieurs centaines de dossiers sont donc soumis à différents jurys composés d’experts partenaires de l’initiative. Suivront plusieurs sélections avant la grande finale où sont invités 30 « lauréats ». Répartis en quatre catégories – Internet et services, Energies, matériaux et composants, Sciences de la vie, Logiciels et systèmes–, les différents finalistes pourront lors de l’événement « Tremplin », défendre leur projet devant l’ensemble des partenaires de l’organisation. De quoi gagner ensuite un prix de 10 000 euros pour le vainqueur de chaque catégorie.

Le Sens du Client

HK092010 Par Henri Kaufman (chroniqueur exclusif) – Président de Hip ip ip ! Société de conseil en Marketing, en Web2.0 et en Formation

Connaissez vous Tony Hsieh ? C’est le jeune CEO de Zappos (Société américaine de vente à distance de chaussures).

Zappos affiche des taux de progression impressionnants avec une stratégie reposant essentiellement sur la qualité de son Service Client.

Qui donc mieux que Tony Hsieh peut nous donner des conseils en matière de Service Client ? Son secret, ou plutôt ses dix secrets, il les partage dans son livre Delivering Happiness, le chemin vers le profit (tout un programme !). A méditer, que vous soyez auto entrepreneur ou dans une multinationale !

Les voilà :

Comment, en 10 points, installer l’esprit ‘’Service Client’’ dans votre Société :

Avez-vous établi votre budget ?

Mano MaluPar Mano Malu (chroniqueur exclusif) – Présidente de Mano Consultant

Voici venue la rentrée et le temps d’établir le budget et les prévisions financières. En effet, si nous supposons que votre fin d’année fiscale coïncide avec l’année civile, au moins 3 mois avant le début de l’année est venu le temps de refaire l’exercice. Après le bilan de l’année écoulée, des nouveaux besoins se sont peut être présentés. Une nouvelle campagne marketing afin de stimuler les ventes, un équipement à la fine pointe technologique qui augmentera votre capacité de production, votre flux de trésorerie est trop serré,…..Le budget permet de faire le bilan de l’année écoulée, réfléchir à la chose et de simuler toutes ces possibilités.

Et pourtant, les experts affirment que la plupart des PME et TPE n’établissent pas de budget (horizon 12 mois) et encore moins de prévisions financières (horizon 3 à 5 ans). Et parmi celles qui en font, rares sont celles qui en tirent le meilleur profit. Ainsi d’un extrême à l’autre, on retrouve l’entrepreneur qui ne fait ni prévisions financières ni budget, bloqué par les chiffres. Celui qui passe des heures dans son tableur Excel, à tout calculer à la virgule près, avec des hypothèses différentes qui n’en finissent plus. Ou encore l’entrepreneur qui va vite en besogne et se voit milliardaire la seconde année (non je ne dis pas que ce n’est pas possible).

Mais qu’entend-on par budget? Un budget est un élément comptable dressant l'ensemble des recettes et des dépenses prévisionnelles d'un agent économique (un individu, un ménage, une entreprise, un État, etc.) au cours d'un exercice comptable à venir. À noter que l'expression "budget prévisionnel" est un pléonasme.

« Petite chronique boursière » : L’inconnu et l’inconnaissable

Vincent_colot Par Vincent Colot (chroniqueur exclusif) – Analyste financier

Restons lucides. Pour tout investisseur, et plus encore s’il n’est qu’un amateur plus ou moins éclairé, faire la différence en Bourse (à savoir, battre significativement l’indice) est difficile. La raison est assez simple : de plus en plus sophistiqués et de mieux en mieux informés, de plus en plus d’investisseurs interagissent sur les Bourses dans une situation de concurrence directe. Bien entendu, toute concurrence forte réduit les perspectives de gains.

C’est sans doute une des raisons pour lesquelles, à l’heure de l’électronique toute puissante, les investisseurs professionnels ont développé ces dernières années des programmes informatiques hyper-perfectionnés leur permettant de profiter sur quelques micro-secondes d’infimes imperfections de marché. Ces « high frequency traders » multiplient les allers et retours en tablant sur le fait que les petits ruisseaux font les grandes rivières.

Tant mieux pour eux. A condition qu’ils trouvent tout de même la parade pour empêcher des phénomènes fâcheux à l’instar du « flash crash » du 6 mai dernier à New York qui a vu la Bourse plonger précipitamment sous l’effet de programmes informatiques devenus incontrôlés. Cela étant posé, comment peut se débrouiller le petit investisseur ? Sur le principe, mais sur le principe seulement, c’est assez simple. Il doit sortir des sentiers battus et rebattus et s’aventurer là où les professionnels réchignent à aller, c.-à-d. là où l’inefficience est la plus grande.

Les entreprises ont-elles une âme ?

Martingilles Par Gilles Martin (chroniqueur exclusif) – Président du cabinet de conseil en stratégie et management PMP

L’actualité, même en août, ne s’arrête pas pour les entreprises qui se vendent et s’achètent entre elles. Car aujourd’hui les entreprises, c’est comme les matières premières, les capitaux, les services, les produits. Oui, c’est la globalisation.

Exemple cet été, avec l’acquisition annoncée en fanfare, François Fillon s’y mettant aussi, de l’acquisition de International Power par le groupe GDF Suez.

Autre phénomène de l’époque, la transformation des entreprises. Ce terme de transformation en dit long : on « transforme » un âne en cheval de course à coups de reengeneering et de potions diverses, des méthodologies de toutes sortes. Et, bien sûr, on change, on réoriente, les stratégies ; on « bouscule les idées reçues », on le dit et on le répète : « la seule chose qui ne change pas, c’est …le changement ».

Alors, forcément, on peut se poser la question toute simple : si on peut tout transformer, tout changer, tout vendre, dans une entreprise, peut-on en déduire que les entreprises sont des corps sans identité, et, osons le dire, sans âme ?

Pourtant, inversement, imaginer une « entreprise sans âme » fait surgir de nouvelles évocations : l’entreprise sans âme, c’est celle qui ne pense qu’au fric, qui balade ses collaborateurs dans une course au profit, qui ne connaît plus ses limites, qui tolère tout d’un de ces collaborateurs, tant que ça rapporte, même si pour cela il a un peu tendance à dépasser les limites de la spéculation en trafiquant sur le front office de la banque (juste un exemple au hasard).

Et ces entreprises sans âme, on n’en veut pas non plus.

Mais alors, l’âme, ou l’identité d’une entreprise, c’est quoi ?

Entreprendre au Féminin : Les Elles du Bâtiment

Miss andree fraiderik-vertinoPar Andree Fraiderik-Vertino (chroniqueur exclusif) -Business Madame

J'avais promis un focus sur les femmes dans l'industrie du bâtiment.

Si il y a depuis longtemps des femmes chefs d'entreprise dans le bâtiment, souvent à la tête d'entreprises familliales, héritées ou co-créées, il n'y en a pas assez et l'on observe le même phénomène au sein des effectifs des entreprises de cette industrie.

Si il est intéressant de se pencher sur le 'nouveau visage du bâtiment', en pleine féminisation, pour bien comprendre le mouvement en marche il faut entrevoir le segment féminin salarié/cadre dans cette industrie. 

Les métiers exercés par les hommes et femmes du bâtiment sont nombreux et les niveaux ou statuts très larges également. De carreleur à entrepreneur, de décorateur à consultant HQE.

Si beaucoup de celles qui oeuvrent aujourd'hui dans le milieu n'y sont pas arrivée par vocation mais plutôt par hasard, dépit ou volonté de reconversion, de plus en plus de femmes choisissent très volontairement ses métiers.

Rester connecté ou pas lorsque l’on est en vacances ?

Vincent Rivalle Par Vincent Rivalle (chroniqueur exclusif) – KDZ’ID (Accompagnement au développement de TPE et PME) – TRAD ONLINE (Associé – Société de traduction)

Premier billet de reprise … de circonstance

Malgré l'enjeu que nous avons de développer nos entreprises et nos situations d'entrepreneurs, je pense au droit à la déconnexion qui avait été évoqué il y a quelques années par Joël de Rosnay (d'autres en ont parlé mais c'est par son intermédiaire que je suis tombé la première fois sur cette notion).

Je rentre en effet de 4 semaines loin de l'hexagone, j'ai profité d'un déplacement professionnel (et oui, nous étoffons notre équipe) pour rester ensuite dans le pays en question (L'Inde….qui n'en finit pas d'évoluer tout en restant si immuable…).

A la suite des 15 premiers jours de boulot, au cours donc des 15 jours de vacances pures, je me suis posé les questions suivantes "Je prends mon Blackberry ou pas ? Je tente de faire des passages réguliers sur Internet (cybercafé) ou pas ? Je mets un mail "répondeur" indiquant que je ne suis pas disponible ou pas ?….etc.".

Ce qui peut se résumer à "Ai-je le droit à la déconnexion ?" Et en corolaire, "Ai-je le courage de me déconnecter ? En ai-je envie ? En ai-je besoin ? Puis-je prendre le risque de déconnecter ? Etc. ".

Et pourtant, j'étais dans une région magnifique, évoluant entre  3400 et 5500 mètres d'altitude…loin, bien loin de la frénésie citadine, business et geek.

Les connexions internet ne sont pas faciles et bien lentes, mais belle et bien existantes dans le chef lieu de la région… Même dans un tel endroit, l'alibi "ah, je ne peux pas me connecter" n'est plus valable…".

La technologie et l'évolution des pratiques : Il y a quelques années (15-18 ans en arrière), personne ne voyageait avec son téléphone portable, ni son ordinateur et les cybercafés n'existaient pas. On pouvait téléphoner de temps en temps, mais en faisant vite. Et cela suffisait. Les affaires courantes étaient reprises en toute confiance par un collègue ou associé (et on s'était arrangé pour bien transférer les informations) et le tour était joué. Les clients, partenaires, etc. savaient que l'on était en vacances (indisponible donc….à cette époque) pendant quelque temps et le tour était joué. Au retour, quelques lettres, quelques messages sur la boite vocale du bureau (pas plus de quelques heures pour les traiter) et hop, back to normal. ….

Imaginez aujourd'hui rien que le nombre de mails que vous avez en instance à votre retour…et surtout cette impression que "pleins de choses sont arrivées" et vu la vitesse de renouvellement des informations, leurs durées de vie et le manque de hiérarchisation…tant d'informations vitales vous auront échappées irrémédiablement…

Le coté pile….

Les vacances de l’entrepreneur….

Michaeldamiati Par Michael Damiati (chroniqueur exclusif) – Spratley-Conseil Sud Parisien

Ha les vacances !!! Belles périodes, joli mot.

D’ailleurs quelle est son étymologie ?

Ce nom vient de vacant, du latin vacans, participe passé du verbe vacare :

– être inoccupé, oisif (avoir du temps libre) : Lorsque l’on est salarié, cette définition s’applique parfaitement !

En revanche en tant qu’entrepreneur, la saison estivale est plus difficile à vivre.

D’abord parce que l’activité (hors saisonnière) a tendance a décroitre, même si avec les nouveaux rythmes de travail, la règle peut parfois varier…

Il n’empêche qu’on a moins de boulot, même si les charges restent les mêmes.

Alors que faire ?

Tout d'abord, profiter de ces moments pour se reposer et profiter de bons moments… En tout cas essayer.

En parallèle ou après en fonction de chacun,

S’informer : que c’est il passé pendant cette période, étrangement vous avez beaucoup de nouveauté, de décrets, de lois, qui sont votées ou entre en vigueur, durant cette période « allégée »

Anticiper, c'est-à-dire se mettre un plan d’action efficace et opérationnelle dès les premiers jours de la rentrée.

Appliquer : Un peu comme les bonnes résolutions de début d’année, réfléchir, c’est bien, agir c’est mieux !!!

Cette réflexion, nous l’avons tous, mais combien l’applique réellement, et encore plus pour les entrepreneurs, pour qui ça n’a pas changé depuis la rentrée ne sont toujours pas plus aidés

J’ai lu un article fort intéressant sur la procrastination

La quoi ? Ce mot barbare qui je l’avoue m’étais inconnue

Vous arrive-t-il souvent de remettre au lendemain une tâche que vous vous étiez promis de faire le jour même ? Avez-vous tendance à attendre le dernier moment pour commencer la rédaction de votre rapport ou vos actions ?

Vous retrouvez-vous systématiquement à payer 10 % de pénalités parce que vous n’avez pas renvoyé votre déclaration fiscale à temps ?

Si vous avez répondu oui aux questions précédentes, alors vous souffrez d’une tendance à la procrastination.

Interview de Jean-François Ruiz : entrepreneur

Januel_sophie_1
Par Sophie Januel (chroniqueur exclusif) – Facilitateur en "Gestion et organisation Back-office PME" pour entreprises agiles !

Le podcast se développe et se structure autours de plusieurs  expériences. Sur blog, les émissions de radio, en campagne de communication mais aussi en base de Savoir et de partage. C’est l’axe retenu par La Voix du Savoir. Une première interviewée des fondateurs non podcastée exceptionnellement !

Jean-François Ruiz, comment êtes-vous devenu « entrepreneur » ?
Quel est votre parcours
?

Je pense tout d’abord qu’il faut que l’on
s’accorde sur ce qu’est un entrepreneur ( tout le monde ne le voit pas
pareil
). Si on prend la
définition de Wikipedia : An entrepreneur -derived from the French words
‘entre’ (ie: enter) and ‘prendre'(ie: take)- is, in its most general sense, a
person who creates or starts a new project, opportunity, or venture.

Jfruiz
Alors je dirai que je ne le suis pas devenu mais
plutôt je l’ai toujours été. Cette attitude entreprenariale, nous l’avons tous
car il nous a fallu nous en servir pour affronter chaque nouveau stade de notre
développement, de l’apprentissage de la parole jusqu’à aujourd’hui.

Mon parcours a commencé sur PC alors que j’étais au CE2. C’est moi qui
lançait les jeux sur la machine, optimisait la machine pour toute la famille 😉

Connecté dès les premières heures à l’internet
depuis 1996[ ] dès la 2ème semaine de mon arrivée en école d’ingénieur
(INPG-ESISAR), nous avions entrepris avec la douzaine de passionnés de ma promo
d’équiper le reste de la promo avec du matériel sur mesure et un accompagnement
de proximité. Cette action entreprenariale a donner lieu à la création du Club
Informatique Esisar (CIE). Après près de 4 ans à la présidence du club et plus
d’un demi-million d’euro de matériel distribué et maintenu, après avoir
installé plus de 5km de câbles réseaux dans la ville pour permettre aux
étudiants de ma dernière année en école d’ingénieur fut marquée par la création
d’une junior entreprise. Cette expérience fut vraiment une révélation pour moi.
Je me suis rendu compte que c’était vraiment là, en entreprenant en équipe que
je me développais le mieux.

Depuis je n’ai pas cessé de réaliser les projets en lesquels je crois. Je
n’ai pas cesser d’entreprendre…

Les bonnes idées ne suffisent pas pour entreprendre

Piton_patrice
Par Patrice Piton – Entrepreneur

</p> <p><p><p><p><p><p><p><p><p>Sans titre</p></p></p></p></p></p></p></p></p> <p>

Suite à mon précédent billet sur les deux visions de l’entreprenariat,
nous allons voir aujourd’hui que l’innovation est un pari bien risqué
et que la pertinence de certaines idées ne suffit pas toujours à
assurer le succès.
En effet, les histoires de petites boîtes
inventives, qui imaginent de nouveaux produits, mais qui peinent à les
lancer sur le marché se comptent par dizaines.

L’idée a beau être bonne, la clientèle exister, les raisons de l’échec sont ailleurs.

Lancez-vous dans un business que vous aimez et restez inflexible

Par Augustin Martinez – Fondateur de Tschitoushop.com

Vous voulez vous lancer ? Alors oubliez les grouppis en chemise-cravate bardes de diplômes, une idée astucieuse et une motivation sans faille compensent l’absence d’argent et de diplôme.

Je pense que entreprendre c’est un état d’esprit avant toute chose, cela implique un caractère optimiste, beaucoup d’audace, encore plus d’acharnement au boulot et une résolution inflexible. Je le dis sans état d’âme c’est le profil type qu’on rencontre presque toujours chez les d’jeuns, ahh si j’avais 20 ans !

Certes quand on est jeune on se relève plus facilement, mais je ne conseillerai à personne d’échouer volontairement pour le simple plaisir de s’entraîner à créer leur boîte.  Mais putain que c’est vrai : L’échec est toujours plus instructif que le succès, eh oui.

En partant de mes propres expériences je peut dire que l’erreur qu’on rencontre le plus souvent est celui de surestimer toutes ses prévisions. Dans mon cas au départ en 2004, je comptais vendre aussi 1000 Tshirt par mois, mais bon les premiers mois j’en vendais que 10 (donc divisez vos prévisions de vente au moins par 100 !). Idem pour la date de lancement de mon bizz, j’étais oblige d’en rajouter un an de plus avant de me lancer vraiment.

Et l’argent ?