Envie d'entreprendre

Créateurs d’entreprise : la loi de Murphy est votre 1° défi…

Watine_jeanluc
Par Jean-Luc Watine (chroniqueur exclusif) – Spécialiste dans l’optimisation du statut du dirigeant

La loi de Murphy est une loi empirique, ses conséquences peuvent avoir des effets néfastes sur vos projets d’entrepreneurs et votre business plan en particulier.

Vous devrez lutter d’arrache-pied contre celle-ci et tel un pilote d’avion passer le mur du son et éviter les nombreuses turbulences.

Le sens commun la reconnaît implicitement : la tartine tombe toujours sur le côté du beurre sans que l’on sache bien pourquoi !..

C’est Edward MURPHY (peu connu, car lui-même victime de sa propre loi…), qui est à l’origine de cette constatation qui s’énonce ainsi :

« s’il y a plusieurs façons de faire quelque chose et que l’une d’elles peut aboutir à une catastrophe, alors quelqu’un la choisira ».

Check-list des questions à se poser pour être patron

Valrie_weill_1
Par Valérie Weill – Consultante et accompagnatrice en création/développement d’entreprise

L’objet de cet article est de montrer comment on peut aider une personne à réfléchir, puis éventuellement prendre la décision de créer ou non – grâce à un questionnement simple, de type maïeutique.

Il s’agit d’aider les futurs créateurs d’entreprise (ou les serial entrepreneurs !) à s’interroger pour savoir s’ils sont vraiment prêts à se (re)lancer dans la création d’entreprise.

Les questions (liste non-exhaustive !) qui suivent, incitent à prendre conscience des facteurs personnels et strictement humains qui rentrent en compte dans le fait de se lancer. C’est un peu comme une check-list personnelle pour pouvoir identifier le degré de maturité du projet sur le plan humain et quelles sont ses forces et ses éventuelles faiblesses.

Le but se confond-il avec la cause ?

Sophiejanuel_4
Par Sophie Januel – Facilitateur en "Gestion et organisation Back-office PME" pour entreprises agiles !

</p> <p><p><p><p><p><p><p><p><p><p>Sans titre</p></p></p></p></p></p></p></p></p></p> <p>

Christophe Kuhner a poursuivi dans sa note un échange démarré sur Tric-Trac
: le but de l’entreprise.

Exposant son opinion, C Khuner dissocie son but de réalisation d’entrepreneur
de celui autonome de l’Entreprise : faire de l’argent de façon pérenne étant
entendu que "faire de l’argent"  serait une stratégie de court terme et le but exclusif de l’entreprise.

C’est un peu court. L’entreprise peut-être à but lucratif ou non. Des scop,
des mutuelles fonctionnent gagnent (équilibre leur compte) ce n’est pas
pourtant que le but est de « faire de l’argent ». Les entreprises doivent gagner
rapidement de l’argent jeunes ou non.

L’Entreprise a d’abord pour but la réalisation et le développement d’une
activité économique : « répondre à un besoin non satisfait ou mal satisfait
auprès d’une clientèle suffisante et solvable ». La volonté peut d’être une
activité à but lucratif ou non . L’Entreprise n’en demeure pas moins. En effet,
dans la définition de l’entreprise retenue dans cet échange il manque un élément
: les hommes. L’équipe. Pas d’entreprise sans elle. L’Entreprise est donc  «Par
une synergies de compétences d’hommes et de femmes réunis dans ce but :  répondre
aux besoins pas ou mal satisfaits.. ».

Le but de l’entreprise devient plutôt au sens permettre une capitalisation
et redistribution de richesse obtenue par une activité économique aux acteurs
parties prenantes de la réalisation de l’activité économique ». Cela englobe
donc l’Actionnaire le Dirigeant et le Salarié.

Surfer avec les conseils….

Franoise_keller_2
Par Françoise Keller – Coach et formatrice

</p> <p><p><p><p>Sans titre</p></p></p></p> <p>

Dans la phase de mûrissement et de démarrage de mon activité, j’ai été frappée
par le nombre de personnes qui ont voulu me faire partager leur expérience,
me donner des conseils. L’ambiance du salon des entrepreneurs m’a confirmé cette
réalité. L’entrepreneur, quand il démarre, est fort entouré : amis, anciens
collègues, professionnels du secteur, clients potentiels, associations, banquiers,
structures d’accompagnement à la création, associations d’anciens et j’en passe.
Chacun a un avis éclairé à donner !

L’entrepreneur que j’étais en train de devenir fut dans un premier temps
plutôt désarçonné. Je vois d’autres entrepreneurs ou porteurs de projet, qui
expérimentent parfois des échecs cuisants, en ayant minimisé les signaux envoyés
par leur environnement. Jusqu’où faut-il tenir bon sur son projet, en risquant
d’échouer, pour avoir méconnu un aspect du problème ? Jusqu’où écouter chacun
de ses interlocuteurs, en risquant de ne jamais avancer, ballotté entre des
avis contradictoires ?

En tant que coach, je vois chez mes clients aussi, cette même interrogation
: La constance jusqu’où ? L’adaptation jusqu’où ?

Mois après mois, rencontre après rencontre, dans ma progression professionnelle
et dans l’accompagnement de mes clients, j’ai tenté de naviguer dans cette constante
ambiguïté.

Voici ce que j’en ai retenu.

La communication, arme fatale des TPE

Nau_stphane_2
Par Stéphane Nau – Entrepreneur en communication

A force de côtoyer des créateurs d’entreprise de tous poils, je commence à remarquer (ou à véritablement prendre conscience) l’inconscience de créer une entreprise, tout comme j’en constate les bienfaits.

En réalité, créer une entreprise est un challenge fou. Pour plusieurs raisons :

Consulter et se documenter, un des secrets de la réussite … surtout dans le monde des affaires !

Auclair_kim
Par Kim Auclair (contributeur) – Entrepreneure passionnée

Nous les jeunes, que ce soit à l’école, à la télévision ou en côtoyant des amis, nous identifions et retenons de l’information utile en quantité sur tout ce que nous entendons. Et c’est bien ainsi! Mais nous ne devrions pas nous limiter à cela! Afin de prendre des décisions éclairées, de développer notre propre version des choses, d’agir comme de jeunes adultes responsables, nous devrions constamment être à la recherche d’informations de toutes sortes et de toute provenance.

Entreprendre n’est pas si dur…

Beraud_david_3
Par David Béraud (contributeur) – Meneur d’hommes, assembleur de savoir-faire…

Créer une entreprise n’est pas aussi compliqué que certaines personnes veulent bien nous le faire croire. Il suffit de bien réfléchir, de bien construire, de bien agir et parfois de faire quelques erreurs…

Au départ vous aurez besoin d’une idée, ça ne sera pas forcément celle du siècle (d’ailleurs, je ne sais pas si elle existe), juste une idée qui réponde à un besoin, ou qui en crée un.

Une fois l’idée dénichée, vous devez travailler votre produit. Il me semble intéressant de créer un exemplaire de ce que vous allez vendre. La création de ce prototype vous permettra de quantifier le temps nécessaire à la réalisation et à la production de votre produit. Cette étape vous permet également de voir comment réagissent vos fournisseurs et vos clients potentiels. S’il vous est nécessaire d’opérer des modifications, il vous sera plus simple de les ajuster maintenant qu’après la création de votre entreprise.

Du désir au plaisir d’entreprendre – Le Bilan

Brahimi_fadhila
Par Fadhila Brahimi (chroniqueur exclusif) – Directrice du Cabinet FB-Associés

Le 19 septembre 2006 dernier, je publiais le premier article sur le processus de renaissance en 9 mois et 9 étapes intitulé « Du désir au plaisir d’entreprendre » :

– Une invitation à vivre sa vie entreprenariale avec plaisir le temps d’une gestation.

– Un voyage de 9 mois vers plus de facilité et plus de légèreté dans sa pratique quotidienne

– Une épopée en 9 étapes permettant de faire (re) naître et de revisiter ses méthodes et outils de travail et son environnement professionnel et personnel

– Un cycle de renaissance pouvant se répéter afin de revisiter son mode de fonctionnement appliqué à sa vision stratégique et à son environnement professionnel et personnel

Ce processus que j’ai appliqué sur moi afin de
le rendre le plus factuel possible grâce des illustrations a donné naissance à
un programme d’accompagnement et a même inspiré des facilitateurs accompagnant
des créateurs d’entreprise. Moi-même, je me suis inspirée des techniques d’organisation,
de conduite du changement, de management de projet et, de développement
personnel et professionnel apprises, lues et inventées/adaptées.

Appliqué sur moi, à mon environnement et à mon
quotidien, il m’a offert la possibilité de travailler sur moi, de formaliser et
de structurer des pratiques et des sources d’inspirations. J’espère que ce
partage vous a plu et vous a conduit à expérimenter certaines techniques et/ou
à vous interroger sur vos propres pratiques.

Après ces
9 mois d’expérimentation…..

Du désir au plaisir d’entreprendre – 9ème étape : L’évaluation

Brahimi_fadhila
Par Fadhila Brahimi (chroniqueur exclusif) – Directrice du Cabinet FB-Associés

Faire
évoluer ses pratiques en se faisant évaluer par son réseau, une démarche que je
teste actuellement.

En
tant qu’entrepreneur l’évaluation est une donnée essentielle qui
intervient de manière inévitable en phase de bilan sur l’aspect gestion mais
plus largement sur l’ensemble des activités et des actions en continue et in
fine (ex étude de marché).

Mais
se faire évaluer « soi » en tant que professionnel, dans sa
spécialité, y avez-vous déjà pensé ?

Actuellement,
je fais évaluer mes compétences en tant que Coach grâce à un questionnaire 360°
crée par la société all-e-quest.
Voici mon retour d’expériences.

Du désir au plaisir d’entreprendre – 8ème étape : La planification

Brahimi_fadhila
Par Fadhila Brahimi (chroniqueur exclusif) – Directrice du Cabinet FB-Associés

Planifier !
Voici le sacre verbe qui résonne à la fois comme un préalable nécessaire à tout
plan d’action et comme une contrainte nuisible à la créativité et la
spontanéité.

– Entre le
besoin de savoir où l’on est et où l’on va et le « je n’aime pas tout
planifier »,

– Entre les
prouesses en situation d’urgence  et le
« je ne sais pas où donner de la tête »

– Entre les
bienfaits de la planification et le désir de liberté d’action

– etc….

Comment
trouver le juste équilibre, le bon ton ?

Au regard
de mon expérience sur le blog « envie d’entreprendre », je constate
que je jongle entre deux états :

Autant,
j’ai planifié temporellement les thématiques de mes chroniques suivant un
ordonnancement qui répond à l’objectif d’effeuiller mois par mois les étapes « du désir
au plaisir d’entreprendre
» à date fixe.

Autant,
je n’arrive pas à respecter le planning de la phase productive; cet espace de
création qui transforme la feuille blanche en un feuillage à publier. Peu par
manque de temps plus, parce que je prends « la plume » pour
formaliser les idées qui s’éveillent lorsque l’Heure Limite d’Enregistrement
approche.

Du désir au plaisir d’entreprendre – 7ème étape : L’Organisation

Brahimi_fadhila
Par Fadhila Brahimi (chroniqueur exclusif) – Directrice du Cabinet FB-Associés

Le talent n’est rien sans un
minimum d’organisation et l’organisation permet d’optimiser son temps et
son énergie pour plus d’efficacité et de sérénité. 

Il n’existe pas
d’organisation idéale cependant en s’inspirant des méthodes et des techniques
pratiquées dans des grandes entreprises on peut se créer sa propre
organisation, son propre style en fonction de la taille de son entreprise.

Après tout, l’homme est
avant tout un imitateur avant d’être un innovateur ! 

En parcourant des ouvrages
spécialisés ou le Web vous trouverez des matrices.

J’attire ici votre attention
sur une méthode japonaise et souhaite partager avec vous ma méthode adaptée.

Du désir au plaisir d’entreprendre – 6ème étape : L’Acceptation

Brahimi_fadhila_4
Par Fadhila Brahimi (chroniqueur exclusif) – Directrice du Cabinet FB-Associés

L’entrepreneur
émancipé est un entrepreneur flexible qui a accepte d’être imparfait et qui a
su mettre en place une stratégie pour vivre avec ses complexes.

Nous sommes
tous imparfaits, fragiles et nous commettons tous des erreurs.

La déclinaison
de l’entrepreneur idéal qui réussit tout ce qu’il entreprend, gagne une
affaire à chaque rendez-vous, maîtrise aussi bien les fonctions supports et les
fonctions opérationnelles, vit de manière équilibrer sa vie professionnelle et
personnelle….etc

N’est pas la
règle générale absolue de tous ; ni même la représentation commune à
tous les entrepreneurs. Nous avons tous une certaine vision d’un idéal et de la
perfection.

Et nous avons tous des complexes avoués ou inavoués (lacunes,
faiblesses, échecs, défauts…). C’est la définition même de l’Homme.

Croire en son projet de création d’entreprise

Weill_valrie
Par Valérie Weill (chroniqueur exclusif) – Consultante et accompagnatrice en création/développement d’entreprise

Tous les créateurs et créatrices que j'accompagne ont des moments de doute, des moments d'angoisse à l'idée d'y arriver, de concrétiser leur projet de création.

La création d'entreprise n'est pas linéaire, c'est un processus de croissance et de maturation – tant du projet que de celui ou celle qui le porte.

C'est pourquoi les créateurs et créatrices rencontrent ces moments où rien ne semble avancer, où les tracasseries administratives s'accumulent, où les prévisions sont encore à recommencer et où la motivation de départ est mise à rude épreuve. Mais tous et toutes ont croisé ce phénomène étrange et rassurant : lorsque ces personnes croient vraiment en leur projet et qu'elles se démènent pour créer les conditions favorables à son développement, des petits événements positifs arrivent alors. Comme le dit si bien W.H. Murray dans son livre "l'expédition écossaise dans l'Himalaya" :

Du désir au plaisir d’entreprendre – 5ème étape : La décision

Brahimi_fadhila_3
Par Fadhila Brahimi (chroniqueur exclusif) – Directrice du Cabinet FB-Associés

Tel un sportif
l’entrepreneur doit prendre des décisions pour pouvoir atteindre bien au delà du
résultat, la performance  voire  l’exploit.

Selon Alain GOUDSMET « Pour se qualifier aux JO,
il faut des résultats […] franchir la ligne d’arrivée dans le peloton de tête est
une performance […]  gagner la médaille
d’or est un exploit ! […]  Ce n’est pas la technique qui fait la différence […]
Dans les moments importants c’est dans les tripes, dans sa tête, dans son corps
que ça se joue ».

Mais comment aller chercher son potentiel à l’intérieur au moment clé ?

Pour Xavière LISE BON (1) le champion qui dure en longueur doit s’entraîner à la défaite comme à la victoire mais surtout être là où on ne l’attend pas notamment lors des combats. Pour elle « c’est dans la transgression des règles du passé que réside le potentiel d’innovation et de croissance. »

Aussi l’étape de « la décision » que
je vous propose dans le processus que nous visitons mois après mois s’entend
ici non pas sur le plan technique du processus de décision (j’ai déjà abordé ce
sujet dans les billets « Entreprendre..c’est décider 1, 2 et 3) mais sur le volet comportemental :
décider en fonction de son environnement, décider en situation en cherchant à
« agir différemment ».

Décider dans
l’action !