Envie d'entreprendre

Bête comme chaud

Michaeldamiati
Par Michael Damiati (chroniqueur exclusif) – Spratley-Conseil Sud Parisien

Bonjour à tous,

Je reviens sur un article posté au mois de mai 09
s’intitulant « En France on n’a pas de pétrole, mais on a des idées... »
J’ai relu ce post avec attention voulant justement vous décrire une idée 100% Française
que je trouve excellente et qui j’en suis persuadé rencontrera un franc succès.

 Néanmoins avant de vous décrire cette fabuleuse invention,
j’ai trouvé un commentaire qui m’a laissé pour le moins dubitatif….

Une personne me reproche de ne pas présenter d’idée et de ne
faire que de la publicité pour mon cabinet.

Avant toute chose sur le domaine du développement durable et
plus précisément des énergies, les solutions émergent et la pierre philosophale
a ma connaissance na pas encore été trouvé….

Cela n’empêche pas de donner son avis sur le monde future
qui sera forcement différent de celui que nous avons connu, et ce, pour de
multiples raisons…. Pour la publicité, je la remercie de se préoccuper de mon
entreprise, mais celle-ci n’a pas un besoin fondamental de communication, et
qui plus est, n’est-il pas normal d’offrir à des entrepreneurs des services ou
solutions qu’ils ne connaissent pas forcément.

Je souhaite savoir pourquoi en France nous sommes accrochés à
cette mentalité qui naturellement critique, vois le côté obscur des initiatives
et non l’inverse….

Pour conclure, j’ai reçu un message tout à fait constructif
(voir positif) d’un cousin, mais Canadien.

La critique est facile l’art est plus difficile et nul n’est
prophète dans son pays. Voilà pour l’humeur…..

Revenons donc aux idées Françaises qui je l’espère pourront se
développer à travers le monde.

RSE et éco durable : à l’action !

Januel_sophie
Par Sophie Januel (chroniqueur exclusif) – Facilitateur en "Gestion et organisation Back-office PME" pour entreprises agiles !

Les nouvelles niches de l’économie et du développement durables : les conséquences d’un ultra-libéralisme obligent un changement de posture ; forcées ou non des entreprises sont à le recherche d’une nouvelle respiration, de nouvelles pistes. Deux faces d’une même approche : la RSE et les tendances émergentes dans divers secteurs d’activités offrent de belles opportunités de positionnement et pourquoi pas d’un avenir meilleur. Le travail ne va pas manquer, le parcours marathonien demandera abnégation et un vrai engagement au delà de tous effets de mode.

L’entreprise à sa disposition des outils éprouvés de reporting à usage d’un cercle restreint (salariés, administrateurs, actionnaires) et complète ses analyses aux relations & management relatifs aux parties prenantes (clients, fournisseurs, sous-traitants, partenaires, collectivités, ONG…).

Elle peut agir sur six grands axes : environnement, ressources humaines, gouvernement d’entreprise, pratiques commerciales, impact local et citoyenneté. En prenant appui un socle des standards existants : ISO 14001 à 1000NR relatives aux performances manégariales dans son éco-système large voire ISO 26000 en cours de préparation ; le guide SD21000 à destination des entreprises, d’ outils de diagnostic Ecopass 3D ; l’entreprise construit une stratégie du positionnement en responsabilité sociétale de l’organisation  aux stratégies intégrées dans l’éco-système de la structure pour changer ou ajuster son comportement, ses pratiques.

Les bénéfices sont matériels et immatériels : gagner en efficacité, définir ou redéfinir des valeurs et les partager. Adapter, changer de stratégie, mobiliser dans son éco-système trouver de nouvelles niches porteuses d’activité.
Des résultats immédiats et/ou différés : l’un des objectifs étant aussi de créer une image, une identité plus attractive au-delà d’un effet cosmétique (greenwashing, « SocialBusiness claiming ») l’entreprise n’a aucun intérêt à tenir une communication ou un marketing fictifs déconnectés des pratiques réelles. Ainsi, les postures de doubles langages sont mis à l’index  à l’instar de WalMart considérée comme socialement nocive. Je vous invite à suivre le Prix Ethifinance (prix extra-financier) agence d’évaluation de RSE.

Les retours espérés pour la société civile ? Recréer de la confiance, limiter les coûts sociétaux et les conséquences financières (les revenus de substitution nécessaires ou complémentaires) instituer un effet contrôle social par la reconnaissance de pratiques « socialement correctes ».

Dans ce mouvement orienté économie et développement durables quelles pistes favoriser ?

La première axée économie productive verte
Produire en minimisant les dommages collatéraux : agriculture verte : réduction des pesticides Ecophyto 2018, bio…