Envie d'entreprendre

A la découverte de créateurs engagés … Clelia Cecilia Angelon d’Amazonia Preciosa

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Par Violette Watine (contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio

Voici le portrait de la fondatrice d’Amazonia Preciosa. Vous allez
y découvrir que Clelia est une femme de conviction, brésilienne, mariée
avec un indien et passionnée par les végétaux et les savoirs-faire
indigènes. Cette marque propose des soins capillaires experts fondés
sur les bienfaits des plantes amazoniennes et s’inscrivant dans une
démarche de commerce équitable forte. Je vous laisse découvrir cet
engagement qui m’a vraiment donné envie de soutenir la marque.

Comment as-tu commencé Amazonia Preciosa et ses actions de commerce équitable ?
Nous avons commencé notre activité à travers le commerce équitable,
utilisant des produits différents provenant de groupes indiens
d’Amazonie variés. Le besoin et l’opportunité apparaissant en même
temps, nous avons profité de cette occasion.

A la découverte de créateurs engagés … Hervé Guétin de Seyes

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Par Violette Watine (contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio

Seyes
est la référence dans le tricot "éthique". Ils ont adopté une démarche
originale qui combine habilement les cultures traditionnelles des pays
sous-développés au savoir-faire historique français de la maille. Je
vous laisse découvrir le témoignage d’Hervé Guétin, un des deux
fondateurs de Seyes.

Comment
as-tu démarré ton activité (un produit, un pays et une communauté, une
variété de produits et de communautés …) ? Pourquoi ?

J’ai démarré avec un produit qui faisait appel à plusieurs communautés.
Mon métier, c’est la maille, aussi appelée le tricot. Et j’ai démarré
avec un pull. Il fait travailler plusieurs communautés tant en Inde
qu’en France. En Inde, 5000 coton-culteurs travaillent à la récolte du
coton bio qui est ensuite revendu au format commerce équitable
(garantie d’achat pendant 5 ans, achat à 20% au dessus du cours du
marché, formations,…) à un trader pour la filature.

A la découverte de créateurs engagés … Isabelle Grandval de Zaza Factory

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Par Violette Watine (contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio

Zaza factory
a été créé par Isabelle, une femme attachante, créative et volubile.
Courageuse, elle a choisi le Myanmar (ex. Birmanie) comme pays de
prédilection. Et vous le verrez, son parcours est plutôt atypique !


Comment as-tu démarré ton activité (un produit, un pays et une
communauté, une variété de produits et de communautés …) ? Pourquoi ?

Avec un produit, le sac à main en pièce unique, produits en Myanmar (ndlr anciennement la Birmanie). C’est au cours d’un voyage que j’ai rencontré ces femmes birmanes. Et, ça m’a donné l’idée de créer un projet éthique.

A la découverte de créateurs engagés … Tristan Lecomte d’ Alter Eco

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Par Violette Watine (contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio

Alter Eco
est un véritable pionnier du commerce équitable. Créé en 1998, les
produits Alter Eco sont maintenant distribués dans 3000 points de vente
(dont leur propre boutique sur internet)
et 5 pays différents. Son fondateur, Tristan Lecomte, est surtout un
ami passionné et passionnant ! Je suis son aventure depuis ses débuts
et c’est en grande partie grâce à lui que je me suis décidée à me
lancer (à mon échelle) dans ce commerce plus durable.

Comment as-tu démarré ton
activité (un produit, un pays et une communauté, une variété de
produits et de communautés …) ? Pourquoi ?

Dès le début, nous avons lancé plusieurs produits impliquant plusieurs
pays. Cela permet d’avoir une grande diversité de produits et de donner
accès au marché international au plus grand nombre de communautés. A
l’origine, nous avons lancé une boutique avec 1500 produits d’artisanat
& d’alimentation. Cela impliquait 150 coopératives dans 84 pays.
Mais, cela ne nous permettait pas de les accompagner et d’assurer de
bons niveaux de qualité. Donc, quand nous nous sommes concentrés sur la
grande distribution, nous avons lancé 13 produits. Cela nous a permis
d’avoir un meilleur suivi des coopératives et donc de meilleures
garanties sur leur développement.

A la découverte de créateurs engagés … Anne Berardengo de Senteurs du Sud

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Par Violette Watine (contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio

Je ne pouvais pas vous parler de créateurs engagés sans vous parler de
Senteurs du Sud. L’huile d’Argan est une huile aux mille et unes vertus
pour la peau : régénérante, nourrissante, fortifiante, réparatrice.
Anne a donc choisi de la formuler dans une gamme de soins bio efficaces
qui s’adresse tant aux femmes qu’aux hommes. Spontanément, elle a
choisi de s’approvisionner au Maroc par une démarche de commerce
équitable auprès d’une coopérative de femmes en difficulté. Une
démarche aussi naturelle que ses soins !

Pourquoi  as-tu démarré ton activité de commerce équitable avec le Maroc ?
En tant que créatrice de produits cosmétiques j’ai été séduite par
l’huile d’argan, son histoire, ses effets sur la peau et son rôle
économique dans cette partie du Maroc.

A la découverte de créateurs engagés … Catherine Soundirarassou de Machja

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Par Violette Watine (contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio

Lancée en Septembre 2005, Machja
est une jeune marque. Catherine Soundirarassou, co-fondatrice, a voulu
proposer une mode sexy et tendance tout en étant socialement
responsable. Je vous laisse découvrir sa démarche !

Comment as-tu démarré ton
activité (un produit, un pays et une communauté, une variété de
produits et de communautés …) ? Pourquoi ?

Dans un premier temps, nous avons lancé un T-shirt. Nous n’avions qu’un
produit, le T-shirt, pour assurer un minimum de volume à l’atelier
production. Créé il y a 7 ans, cet atelier est l’initiative d’un
couvent en Inde. Les sœurs s’occupaient de jeunes filles dans le Kerala
puis à l’âge adulte les jeunes filles partaient du couvent sans avenir
professionnel. Donc, l’atelier de production leur permet de les
accompagner dans leur vie professionnelle. Ils ont maintenant déménagé
dans la région textile. Leurs premiers acheteurs ont été des étrangers
et ont spontanément fait du commerce équitable. Même s’il y a 7 ans
cette notion de commerce équitable n’était pas aussi médiatisée. Peu à
peu, leur carnet de commande s’est rempli et ils ont recruté de plus en
plus. Elles sont maintenant 200 personnes à travailler dans cet atelier.