Envie d'entreprendre

Etudiants ! Osez vous lancer !

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Par Vivien Poujade (contributeur) – Créateur et Gérant de SYNTHES’3D

Etant actuellement élève-ingénieur en troisième année à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers, j’ai créé ma société en début 2005. Cette dernière porte le nom de SYNTHES’3D. Je fais, en parallèle de mon parcours Arts et Métiers, un Master Management à l’Institut d’Administration des Entreprises à Puyricard près d’Aix-en-Provence afin d’acquérir une formation en gestion d’entreprise.

Je gère donc cette entreprise en parallèle de mes études depuis aujourd’hui presque 2 ans et je souhaitais faire partager cette envie d’entreprendre et ce goût du challenge aux autres.

Comment Redresser avec Succès Votre Entreprise

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Par Laurent Dureau (contributeur) – Manager de Transition et Serial Entrepreneur


Le titre semble accrocheur
et j’ai donc voulu en savoir plus sur cette pub.

En effet, ayant personnellement eu des hauts et des bas dans mes entreprises (qui n’en a pas ?) il est toujours bon d’être ouvert à ce qui pourrait servir car après tout dans la mouvance de la législation et des us et coutumes "mondialisantes", l’adage "un homme prévenu en vaut deux" semble toujours aussi d’actualité.

Puis-je sauver et redresser moi-même mon entreprise en difficulté ?

Face aux giboulées de la vie d’entrepreneur…

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Par Françoise Keller – Coach et formatrice

Ce matin, comme tous les matins, j’écoute les infos avant de démarrer ma journée. Que des mauvaises nouvelles : il neige par endroits, des routes sont coupées ; des procès encore ; de la violence aussi ; un ministre perd des points de popularité. Je pourrais dire que la journée commence mal !

Ce matin, j’ai pas de rendez-vous commercial, pas de clients à voir, juste ma comptabilité à mettre à jour et mettre de l’ordre : je pourrais dire encore que la journée s’annonce mal !

Un coup d’œil par la fenêtre : dehors, il y a un peu de neige dans le jardin, pas de quoi couper les routes quand même ! Je suis sortie avec mon appareil photo et j’ai photographié un crocus qui étalait ses pétales dans la neige.

Neigefleur

Vous êtes inquiets et vous vous dites : et le rapport avec l’entrepreneuriat alors ?

Et bien ce matin, mes pensées vont à tous les entrepreneurs qui passent une mauvaise journée : un rendez-vous avec un banquier peu compréhensif ; un conjoint qui part en disant « puisque tu bosses à la maison, tu pourras acheter le pain » ; un client qui appelle « votre proposition était intéressante mais nous choisissons la sécurité, nous prenons une entreprise plus importante qui a des années d’expérience » ; la comptabilité qui est en berne ; un client qui annule un rendez-vous ; l’ordinateur en panne ou je ne sais quoi d’autre…

Entreprendre pour moi !

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Par Kim Auclair (contributeur) – Entrepreneure passionnée

Depuis toujours, j’ai été attirée par le monde des affaires! Très jeune, je savais déjà que je voulais devenir entrepreneure! J’ai toujours entretenu l’espoir de réussir dans la vie grâce à l’entrepreneuriat! Mais surtout et avant tout, c’est ma vie que je veux réussir grâce à l’entrepreneuriat !

Mais ce que j’étais loin de me douter, c’est que je pouvais compter sur autant d’aide et d’encouragement. Il y a, bien sur, mes mentors qui m’aident énormément. Je vous en ai déjà parlé maintes fois de mes mentors, vous vous souvenez? Mais les encouragements, ils proviennent de diverses autres sources également. Prenez par exemple, l’article intitulé « Entreprendre pour soi » que vous pouvez lire un peu plus bas et qui provient du Centre de vigie sur la culture entrepreneuriale de la Fondation de l’entrepreneurship. Maintenant, depuis que j’en ai pris connaissance de ce document, que je l’ai bien savouré même, je vois bien que je ne suis pas la seule à considérer l’entrepreneuriat comme un mode de vie, une passion, quoi! Qu’il me rejoint donc, ce texte! Que c’est motivant de se sentir de moins en moins isolée !

Bonne lecture…

Tueurs de projet, les victimes peuvent témoigner

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Par Laurent Edel (contributeur) – Donner le déclic aux futurs entrepreneurs

En France, on veut plus de créateur de projet. On encourage, on accompagne, on médiatise (je suis bien placé pour le savoir).

Mais, pose-t-on  les bonnes questions ?

S’intéresse-t-on  à ceux qui mettent des battons dans les roues des futurs créateurs d’entreprise. Ceux qui découragent ; démotivent ; dépriment ; empêchent et paralysent sont  les Tueurs de projets.

Il y a plusieurs catégories de tueurs de projets :

Innovation : Les critères d’un bon projet

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Par Pierre Breese – Physicien et Juriste

Les critères d’un bon projet

Pour
qu’un projet de création d’entreprise connaisse le succès, la qualité
du projet technique est bien sûr importante. Elle n’est toutefois pas
suffisante.

L’importance du profil des créateurs

Les
investisseurs évaluent les chances de succès d’une création
d’entreprise essentiellement en fonction de la qualité des porteurs du
projet. Les compétences requises pour créer une entreprise sont
multiples. La maîtrise des aspects techniques est certes nécessaire,
mais si elle n’est pas complétée par des compétences
organisationnelles, commerciales et financières, les risques d’échec
sont élevés. Les grandes réussites en matière de création d’entreprise
sont le fruit de l’alliance entre des personnalités complémentaires,
généralement animées par un entrepreneurs ayant la capacité pour
coordonner le groupe et insuffler une dynamique et une cohérence au
projet.

L’un des principal obstacle au développement de la création
d’entreprise est le manque d’entrepreneurs ayant les compétences pour
utiliser efficacement les fonds propres que les investisseurs peuvent
mettre à sa disposition. Sans faire preuve d’un goût du paradoxe, il
est extrêmement difficile d’employer efficacement des fonds propres
importants pour construire un projet dont l’ambition soit à la hauteur
des sommes mises à sa disposition. Si la plupart des créateurs
d’entreprise sauront créer une PME modeste avec un capital compris
entre 100.000 et 150.000 euro, rares sont ceux qui sauront construire
un projet industriel d’envergure, à partir d’investissement 10 à 100
fois supérieurs.
Certaines formations, telle que CHALLENGE+
organisée par HEC, apportent aux créateurs le complément de formation
financière, marketing et juridique. Un chercheur souhaitant créer son
entreprise pourrait sans doute tirer un grand profit d’une telle
formation.

Questions existentielles de l’entrepreneur indépendant…

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Par Jean François Legat – Consultant indépendant en communication

Un bon article commence toujours par un bon titre. Celui que j’ai choisi devrait vous inciter à lire ma contribution de ce mois.

Mais je vous mens un peu dans ce titre. En fait, il ne s’agit pas vraiment de questions existentielles, mais plutôt de questions pratiques.

Je ne suis pas sympa, je sais. C’était juste pour vous rappeler le contenu de ma contribution précédente : «Ne prenez pas vos prospects pour des c… »

Il y a quelques années j’avais créé une Web Agency. Cela n’avait pas été sans soucis, frayeurs et angoisses. Mais lors de cette aventure je n’étais pas seul. J’avais deux associés avec moi. Et cela m’avait permis de partager doutes, interrogations, questions…. C’était un confort indéniable.

Depuis quelques mois j’ai donc relancé une activité économique en indépendant et en solo (les deux n’allant pas forcément de paire). Je me retrouve donc confronté à l’ "angoisse" de la gestion d’une activité professionnelle mais sans personne avec qui partager mes doutes et questions pratiques (existentielles). Bien sur il y a mon entourage proche qui est présent et avec qui je peux en parler. Mais il m’est lié par une relation humaine et affective, et si il peut m’aider moralement, il peut difficilement m’accompagner techniquement.

Voici donc exposé ici mes quelques problèmes pratiques (les soucis existentiels ne sont pas à l’ordre du jour, d’autres problèmes existentiels plus important existants dans le monde) et les solutions mises en place pour y remédier.

Il était une fois le QCD

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Par Laurent Dureau (contributeur) – Manager de Transition et Serial Entrepreneur


Un entrepreneur se doit de connaître le QCD
(Qualité – Coût – Délai) afin d’avoir des chances de survie en cet humble monde économique qui nous environne.

Apparue depuis quelques décades, la fameuse règle n°1 "le client a toujours raison" montre ses limites. Voyons en fait quelle a été l’évolution de cette mentalité et quels sont les ravages qu’elle occasionne chez les collaborateurs.

Grosso modo, il y a eu l’avant "chocs pétroliers" et l’après qui se situe, dirons-nous, début des années 80.

Inspirez-vous de Platon : l’allégorie de la Caverne

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Par Jean-Luc Watine (chroniqueur exclusif) – Spécialiste dans l’optimisation du statut du dirigeant

Inspirez-vous de Platon : l’allégorie de la Caverne

C’est le conseil  que je vous donne pour la création de votre entreprise, l’allégorie de la caverne de Platon illustre bien mon propos: ne vous fiez pas aux ombres portées par les êtres du dehors de cette caverne, mais sortez donc de cette caverne et allez voir de vos propres yeux ce qu’il en est réellement dehors.

Cette attitude peut vous mettre mal avec vos congénères moins hardis et plus peureux : de l’audace toujours de l’audace est un leitmotiv encore d’actualité de nos jours !…

N’écoutez pas leurs propos défaitistes du style « ça ne marchera jamais, tu es trop petit pour le faire, tu n’as pas les moyens de te mesurer aux grosses Sociétés multinationales ou du CAC 40 ». Fermez-vous les oreilles, suivez votre intuition et foncez !…

« Tous les gagnants ont tenté leur chance »

Par Audrey – Entrepreneuse

Petite réflexion du jour…

Un conseil tout simple pour sauter le pas de l’entrepreneuriat : il faut le vouloir, le rêver mais aussi croire en sa bonne étoile. Peut-être est-ce un peu prématuré de ma part de donner des avis ainsi mais j’aimerais vraiment le prouver dans le futur !

Je me base sur plusieurs anecdotes quotidiennes qui me confortent dans cette idée. Tout d’abord, celle avec un de mes amis entrepreneurs qui, d’ailleurs, a très bien réussi. Vous me croirez ou non mais, presque à chaque fois que je sortais avec lui, il trouvait de l’argent par terre. Certes, le plus souvent, c’étaient des pièces mais parfois aussi des billets. Je lui disais qu’il était vraiment très chanceux et lui me répondait qu’il suffisait de regarder autour de soi.

Certes, alors que nous marchions côte à côte, j’aurais pu les voir, moi aussi, mais il me manquait un pré-requis : je ne croyais pas qu’il y avait un tel trésor sur les trottoirs parisiens…et donc, je n’y prêtais pas attention !
Bon, pour être complet, il faut aussi parler de la deuxième étape, celle qui consiste à accepter de se baisser pour ramasser aussi bien des petites pièces que des billets.

En effet, en créant, il ne faut pas hésiter à mettre "la main à la pâte", même si nous avons de grandes aspirations…

Entreprendre à tous les âges de la vie

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Par Valérie Weill (chroniqueur exclusif) – Consultante et accompagnatrice en création/développement d’entreprise

En accompagnant très régulièrement des créateurs d’entreprise, je me rends compte combien leurs attentes et leurs comportements diffèrent en fonction de leur tranche d’âge. Pour illustrer cela, je trouve intéressant de croiser les théories de Frédéric Hudson (célèbre coach américain) sur les étapes de développement à l’âge adulte avec ce que je constate au quotidien du profil de mes créateurs.

Selon Hudson, à 20-30 ans, on est dans une phase d’expérimentation, on débute sa vie adulte, on commence à construire son avenir professionnel. Effectivement, les créateurs de 20-30 ans que je rencontre sont plutôt « tout feu tout flamme », voire pour certains un peu inconscients… Ils sont très dynamiques, s’impatientent vite devant les lourdeurs administratives et ressentent la création d’entreprise comme un besoin d’affirmation, d’expérimentation beaucoup plus « fun » que d’aller trouver un poste salarié ! Pour certains, c’est déjà le moyen de refuser de se soumettre à l’autorité suite à une première expérience professionnelle salariée mal vécue. Ils ont une soif d’apprendre, de réaliser un projet très forte et sont très peu préoccupés par la crainte d’un éventuel échec. En général, mon rôle avec eux consiste donc à les canaliser, les mettre en phase avec la réalité du terrain, les sensibiliser aux risques qu’ils prennent, les aider justement à les parer et enfin à organiser méthodiquement leur activité.

10 conseils aux entrepreneurs Web 2.0


Par Véronique Aboghé (contributeur) – Fondatrice de CoachingLeader et boosteuse de potentiel

Voici selon Guy Kawasaki, les 10 commandements de l’entrepreneur Web 2.0 qui à mon sens valent pour tout entrepreneur quel qu’il soit à ce détail prêt que l’entrepreneur Web 2.0 joue beaucoup plus contre la montre.

Dur ! Dur ! D’être jeune entrepreneure et étudiante !

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Par Kim Auclair (contributeur) – Entrepreneure passionnée

Étant jeune entrepreneure, il est normal que je sois confrontée régulièrement à des situations difficiles. D’une part, il est connu que les moyens financiers des étudiants sont très limités et que les exigences d’une entreprise en démarrage au plan du financement, ne sont pas de tout repos. Eh bien moi, je suis confrontée à cette double difficulté! D’autre part, il n’est pas facile de concilier travail et études, car, comme vous pouvez vous l’imaginer, les conflits d’horaires sont fréquents. L’horaire des cours est fixé d’avance, alors je dois m’ajuster en conséquence pour mes rendez-vous d’affaires.

Le blogommerce

Delobelle_vanina_1Par Vanina Delobelle (contributeur) – Entrepreneuse et experte en marketing

Kezako ? Un site de e-commerce à partir d’un blog. Génial ! Cela n’est pas nouveau mais les initiatives en la matières sont encore très très timides. Pour ma part j’ai recensé 3 blogommerces : Inano, La Fraise et Lilli Bulle. D’ailleurs si vous en connaissez d’autres, présentez-les nous !

Alors comment ça fonctionne ? Un blog et un code HTML pour intégrer paypal dedans. On trouve d’ailleurs un mini guide de développement sur le blog de Paypal.

Ex-tensio ou comment développer des activités centrées sur l’humain et le cheval

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Par Philippe Bertrand (chroniqueur exclusif) – Entrepreneur et Manager

Les hasards de la vie – plus communément appelé Facebook sur
le Net – m’ont permis de renouer des liens avec une amie que j’avais perdue de
vue pendant plus de 20 ans.

Ça,  vous me direz,
c’est banal aujourd’hui et ça ne vaut pas un article dans
« Enviedentreprendre ».  Et
vous auriez raison, si cette amie n’était aussi entrepreneur et n’avait
développé des activités réellement novatrices – certaines centrées sur
l’humain, d’autres sur l’approche du cheval – regroupées sous une même banière:
Ex-tensio.

J’ai pensé qu’il était intéressant – puisqu’elle m’y
autorise – de partager avec vous son projet actuel, ainsi que ses développements
potentiels.  En effet, si les exemples
de créations d’activités abondent dans le secteur commercial, ils sont plus
rare dans le domaine social, ainsi que dans le para-médical et l’humain en
général.  Le potentiel de ce type
d’activités – déjà bien réel aujourd’hui – ne peut que croître demain sous les
effets, d’une part du vieillissement de la population et, d’autre part, du
stress inhérent à notre mode de vie, quel que soit notre âge.

Or, quelle que soit la nature du projet (commercial,
associatif, …), en matière d’entrepreneuriat, les principes de base sont
toujours les mêmes :

· Définir clairement son (ses) avantage(s) concurrentiel(s)

· A partir de ce(s) dernier(s), définir une offre de services cohérente

· Faire en sorte que le projet soit dynamique et se développe.

Ce sont ces trois points que je me propose d’aborder rapidement dans le cadre d’Ex-tensio.

Mais tout d’abord qui est-elle cette amie ? Laissez-moi vous la présenter. Elle s’appelle Sylvie Houbion, est kinésithérapeute de formation de base et cavalière depuis plus de trente ans. Elle est également formée en psychologie, hippothérapie et en éthologie. Co-fondatrice de l’Association Belge d’Haptonomie (voir définition ci-dessous), Sylvie Houbion forme, depuis plusieurs années, des membres du personnel d’institutions d’accueil de personnes handicapées et des particuliers à l’approche haptonomique. Elle met ses compétences en psychologie et en haptonomie au service d’un large public.

Au fil du temps, Sylvie Houbion a développé au sein d’Ex-tensio deux avantages concurrentiels qu’elle a su parfaitement intégrer, à savoir, d’une part, sa connaissance et sa pratique de l’haptonomie et, d’autre part, sa connaissance des chevaux (et des animaux en général) et de leurs relations avec l’être humain.

Si le second avantage concurrentiel peut (plus ou moins) être facilement appréhendé, le premier – l’haptonomie – mérite qu’on s’y attarde un peu et au préalable qu’on le définisse : l’haptonomie est la science des interactions et des relations affectives humaines. Elle permet d'entrer en contact (tactile) pour accompagner l'autre, lui faire prendre conscience de sa capacité de faire des choix, de s'engager, de porter la responsabilité de ses choix.

L’haptonomie est en quelque sorte le fil conducteur de l’offre de services d’Ex-tensio, des deux groupes principaux d’activités développées par Sylvie Houbion sur base de ses deux avantages concurrentiels :