Le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, son nom officiel, est composé de l'Irlande du Nord et de la Grande-Bretagne, elle-même découpée entre l'Angleterre, le Pays de Galles et l'Écosse.
Les Anglais constituent environ 84 % des 61 millions de Britanniques, suivis des Écossais (8 %), des Gallois (5 %) et des Irlandais du Nord (3 %)1. Les régions ont une large autonomie au sein du royaume et disposent chacune de leur Parlement, mis à part l'Angleterre.
La majorité de la population vit dans le sud-est, en particulier à Londres, capitale très étendue qui compte 7,5 millions d'habitants. Outre Londres, les plus grandes villes sont Birmingham dans le centre de l'Angleterre (1 million d'habitants), Glasgow en Écosse (700 000), Liverpool dans le nord-ouest de l'Angleterre (500 000) et Leeds dans le nord-est (450 000). Le pays est une monarchie constitutionnelle et une des plus anciennes démocraties au monde : son Parlement, situé à Westminster dans le cœur de Londres, est considéré comme la « mère des Parlements » tant son modèle a été copié dans le monde. Le souverain, actuellement la reine Elizabeth II, ne gouverne pas, laissant ce soin à « son » Premier ministre, comme la tradition veut qu'on l'appelle.
Une fois n’est pas coutume, nous allons vous raconter une histoire vécue ! C’est l’histoire d’un jeune homme, prénommé Alexandre qui décide de faire un stage de 6 mois au Canada.
Par Michael Damiati(chroniqueur exclusif) – Spratley-Conseil Sud Parisien
Bonjours à tous, pour commencer je vous présente mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année, avec comme ligne de mire d’entreprendre et surtout de bien entreprendre !
De plus en plus de Français se lancent dans la création de leur entreprise, incités notamment par de nouvelles dispositions visant à favoriser cette émergence : Statut d’auto-entrepreneur, promotion du portage salarial, création du statut d’EIRL, … Fin décembre c’est Frédéric Lefebvre, secrétaire d’État chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation, qui a annoncé 4 mesures visant à simplifier et à améliorer l’appui territorial aux PME, pour réduire encore le nombre de créateurs qui hésitent encore à franchir le cap de la création d’entreprise, essentiellement parce qu’ils redoutent des procédures administratives complexes.
Au-delà de ce frein administratif, le second point qui pose de vraies difficultés au créateur est le financement de son projet. La plupart des créateurs manque cruellement d’apport personnel, comment alors trouver les moyens d’augmenter ses fonds propres ?
Les tendances 2011
Avec la tendance actuelle de réduction des dépenses publiques, le travail de préparation de son projet revêt encore plus d’importance. Un plan d’affaire sérieusement bâti, complet, et porté par un créateur ou une équipe motivée saura rallier son entourage, convaincre un banquier et permettre de bénéficier au mieux des aides publiques disponibles.
C’est pourquoi j’ai décidé en collaboration avec mon collègue Philippe Aupetit responsable du cabinet Spratley-conseil dans l’ouest parisien de refaire un rappel de comment financer la création de son entreprise et pourquoi recourir aux aides publiques ?
Tout d’abord, le financement de la création de l’entreprise repose sur 3 canaux :
– L’apport personnel : souvent limité, il peut être complété par des prêts familiaux ou des proches, c’est le « love money ». Il reste le plus souvent assez minoritaire par rapport au budget global.
– Les banques : le concours bancaire est la possibilité la plus largement pratiquée, il est à l’origine même du fonctionnement des banques. Toutefois, la dernière crise a conduit les établissements bancaires à une plus grande sélectivité, ce qui nécessite souvent à trouver des compléments de financement.
– Les aides publiques ont été justement mises en place pour constituer le troisième canal de financement, celui qui, dans de nombreux cas, va permettre que le projet voie le jour.
Les aides publiques à la création peuvent revêtir de multiples formes, pour s’adapter aux situations les plus nombreuses.
Elles se combinent à l’ensemble des aides publiques aux entreprises, qui répondent à de grandes orientations publiques. L’État (ou la région, ou l’Union Européenne…) fait des choix politiques, et ont par exemple des :
• Objectifs économiques de croissance (qui se traduisent par des aides à l’investissement)
• Objectifs sociaux et environnementaux (aides à l’emploi, à l’environnement)
• Objectifs de progrès scientifiques (aides à l’innovation, à la recherche…)
Une aide est donc liée à un projet.
En fonction de la nature du projet de création, de sa localisation, du profil de son créateur, du statut retenu, … les aides mobilisables seront différentes.
Par Vincent Rivalle(chroniqueur exclusif) – KDZ’ID (Accompagnement au développement de TPE et PME) – TRAD ONLINE (Associé – Société de traduction)
La qualité de l'accueil…un reflet de la nature profonde d'une nation et/ou d’une société en plein doute ?
Il est de bon ton de s’indigner…j’emboite le pas, cela fait du bien. Mais je rumine ce constat depuis des années.
De retour de Thaïlande après quelques nouvelles plongées sous-marines qui font tant de bien (loin du bruit…loin des hommes…loin des connexions), j'ai encore constaté avec dépit que la qualité de l'accueil (que je considère comme une des composantes de la qualité de service) dans de nombreux pays était, sans commune mesure, beaucoup plus élevée que celle que nous expérimentons tristement tous les jours dans notre beau pays.
Préliminaires
a) Pensez à une journée type et à tous les services que vous utilisez (transports, de proximité, etc.) et parcourez votre timeline (IRL cette fois) : croiser votre concierge, acheter les croissants, acheter un journal, monter dans un bus, etc. (je suis parti sur une base citadine…mais ce parcours serviciel peut être décliné dans tous les contextes de vie).
b) Pensez maintenant à toutes ces personnes que vous avez croisées, responsables de tous ces services et pensez à l'accueil qu'elles vous ont concocté…
c) Et si vous pensez comme moi que l'impact de ces accueils sur votre "petit bonheur", si ponctuel mais si déterminant pour l'influence qu'il aura sur le ton, la note que vous donnerez à la suite de votre journée est réelle, faites un premier constat.
Exemple, les taxis…En gros, un service +/- standard dans tous les pays…amener un client d'un point A à un point B, en toute sécurité et dans un temps raisonnable. Je n'aime pas les généralisations, mais pensez à vos différentes expériences clients, dans tous les pays que vous avez traversés…et comparez avec vos expériences dans l'hexagone.
Où veux-je en venir ?
J'en reviens à la Thaïlande et à cette toute dernière expérience, mais je pourrais parler de tant d'autres pays (et c'est du vécu, pas de l'extrapolation).
Que ce soit les hôtels, les services divers et variés (essences, taxis, etc.), les restaurants, les boatmen, etc., l'accueil est simplement aussi chaud et rayonnant que le soleil pointant la majeure partie de l'année dans le ciel thaïlandais… De là à y voir une corrélation…- je vous laisse défricher cette piste.
Et je pense que ce constat est largement partagé. On apprécie dans ce pays le sourire, la disponibilité, l'effort fait pour comprendre la demande, s’adapter à l’anglais, etc.
Et ce, quel que soit le volume d'échange marchand effectif ou espéré. Cet accueil n'est en aucun cas corrélé au prix de la prestation, à la marge estimée, au potentiel de revente espéré, etc.
On apprécie vraiment de ne pas se voir transmettre lors de ce simple contact toute la douleur du monde. On apprécie de ne pas voir transpirer dans cet échange toutes les difficultés, rancœurs, aigreurs, jalousies de l'interlocuteur (et dieu sait que dans une grande majorité des pays, cette douleur, ces difficultés de vie quotidienne sont de loin plus intenses que les nôtres ici-bas – je ne parle pas de "mal de vivre », de "crise de la quarantaine", etc., mais de difficultés matérielles, de première nécessité…vous me suivez ?).
Et malheureusement, au risque de heurter la sensibilité de tous ces organismes de formation aux catalogues exhaustifs, ce n'est pas une question de "savoir être professionnel" mais, je pense, une question d'incarnation de l'accueil, de l’hospitalité. Les formations "professionnalisation de l'accueil", "savoir accueillir pour mieux fidéliser", etc. sont rares (if any) en Thaïlande dans ces multiples TPE…et pourtant…l’accueil qui y règne est sans comparaison avec celui en France.