Envie d'entreprendre

Recruter le premier client

Gillespoupardin Par Gilles Poupardin (chroniqueur exclusif)Sencities.com

Depuis le début vous ne pensez qu’à cela (en tout cas vous devriez !) : recruter votre premier client. C’est la base : vendre, pour assurer la survie de l’entreprise, et si vous avez de la chance, sa croissance et son développement.

Mais avant de sabrer le champagne, vous me direz…la route est longue. Et bien NON, elle est doit-être la plus courte possible. (Tout comme celle qui mène de l’idée au premier prototype).

Recruter son premier client est fondamental et veut dire beaucoup de chose :

– Vous validez l’intérêt pour votre produit / service

– Vous prouvez la pertinence de votre business model

– Vous rentrez les premiers euros de chiffre d’affaires qui serviront à racheter des feuilles blanches pour l’imprimante.

Cette lourde tâche, c’est à VOUS et à personne d’autre de l’assumer. Le chef d’entreprise est bien le 1er commercial de l’organisation. Pour le premier prototype opérationnel, c’est à la sueur de votre front qu’il faut aller chercher votre premier acheteur.

Le problème, c’est que vous êtes nouveau, inconnu et sans références … Et si ce n’était pas un souci ?

Voici 5 pistes pour recruter ce premier client qu’il vous faut absolument :

Laissons entrer le Green…..

Michaeldamiati
Par Michael Damiati (chroniqueur exclusif) – Spratley-Conseil Sud Parisien

Nous avons eu un été plutôt calme, avec chose assez rare depuis quelque saisons un vrai temps estival.
Avons-nous enfin retrouvé nos saisons ???

Personne n’est en mesure de répondre à cette question, en revanche Mister Rocard a lui répondu à une autre question en rapport avec le temps et le climat.

Et oui vous l’avez compris, nous évoquons ici la Taxe Carbone. Michel Rocard s'est vu en juin 2009 confier la mission de Président d'une « Conférence de consensus (2,3 juillet 2009)» sur un projet de Contribution Climat Energie (CCE) ; début du mois de juillet 2009 ; sur la base d’un livre blanc 3.

Nous avons eu depuis des résultats sur cette réflexion et les choses se sont même accélérer car la Taxe Carbone devrait être intégrer dans la prochaine loi de finance 2010. (Estimation de 32€ la tonne de CO²).

Au fait qu’est ce donc que la Taxe Carbone ?

C’est une taxe basé sur les émissions de gaz à effet de serre appelé aussi CO² ou Carbone (il en existe d’autre mais celui-ci est de loin le plus répandu). Ces émissions sont directement liées aux combustibles fossiles (pétrole gaz, charbon).
Comme nous le savons tous, notre société, et plus encore notre activité économique est basé sur l’utilisation massive de ces combustibles fossiles.
A-t-on idée d’aller à un rendez-vous sans son véhicule ? Ou bien encore tous nos produits manufacturés ne découlent ils pas du pétrole et de ses dérivés.

En moins d’un siècle, notre société a été bouleversée (plutôt de façon positive) grâce a ces énergies « bon marchés ».

Alors pourquoi s’affoler et imposer une taxe dans notre beau pays qui au demeurant est le pays le plus taxé en Europe ???

Il existe deux raisons principales :

Les principales qualités d’un dirigeant averti

Drissi_mhamed
Par M’hamed Drissi (chroniqueur exclusif) – Ph.D Management

En raison de son rôle fondamental au sein de l’entreprise, le dirigeant doit être doté de qualités morales exemplaires, des atouts qui vont l’aider à accomplir sa mission dans les meilleures conditions possibles.

Connaissant bien l’importance du temps, cet homme chevronné est conscient  que c’est une denrée précieuse mais  périssable. Aussi, doit-il le gérer à bon escient et le garde précieusement pour réfléchir et se concentrer sur l’essentiel. Pour ce faire,  il délègue et contrôle.

Homme équilibré, il n’a ni complexe d’infériorité ni celui de supériorité. Dans ses actions, il a confiance en lui-même et s’écarte de toute  obstination et étroitesse de vue pouvant entraver la marche des êtres victimes de complexe d’infériorité qui se cachent  souvent derrière le perfectionnisme qui les empêche de découvrir « la forêt derrière les arbres ».

Ce dirigeant équilibré  n’a par ailleurs, aucun complexe de supériorité qui risque de le faire déraper et le pousser à dissimuler l’engourdissement intellectuel et devenir  par conséquent arrogant plutôt que de faire l’effort de développer sa curiosité. Toutefois, son imagination et son agilité intellectuelle l’aident à reconnaître les capacités et la compétence des autres et à les mettre en exergue.

L’entrepreneur coupable…

Franoise_keller
Par Françoise Keller (chroniqueur exclusif) – Coach de Managers, de Projets et d’Equipes et Formatrice en management et en communication NonViolente®

Plusieurs interventions récentes, auprès d’entrepreneurs et
de managers, m’ont invité à une vigilance sur un point que j’avais jusque là
sous-estimé : la culpabilité… Nous avons été, moi comme mon client,
surpris de débusquer derrière une question a priori rationnelle d’efficacité,
de performance, de réussite professionnelle, de gestion du temps et du stress,
une problématique plus complexe : la culpabilité.

Arnaud est chef d’entreprise et son activité est en pleine
expansion. Il culpabilise car il se dit qu’il a pris trop de boulot, qu’il
devrait
lisser davantage son activité, qu’il aurait dû dire non à un client, qu’il aurait dû anticiper et chercher un partenaire.

Sophie démarre son entreprise depuis 3 mois ;
l’activité ne démarre pas aussi vite
qu’elle l’avait espéré et elle voit arriver la période d’été avec inquiétude.
Elle dit qu’elle aurait dû démarrer
son activité en septembre, qu’elle aurait
être plus prudente, qu’il faut changer
de stratégie pour se faire connaître.

Paul s’est donné des objectifs pour ce mois. Il a pris soin
de se définir des objectifs réalistes et mesurables, en terme de production,
d’activité commerciale, de prospection. Mais voilà la culpabilité qui point son
nez car Paul réalise à la fin du mois qu’il n’a pas tenu ses objectifs commerciaux. Il se reproche de n’avoir pas été suffisamment vigilant.

La culpabilité, nous disent les psychologues, est un
sentiment qui porte à se considérer comme responsable
d’un événement ou état de fait fâcheux
. J’ajouterais que la culpabilité
porte sur un événement du passé.

La culpabilité est un sentiment qui est en lien avec des pensées : « je n’aurais pas dû »,
« j’aurais dû »…

La culpabilité est un sentiment « naturel »…

Otons nous tout de suite de l’esprit une culpabilité
supplémentaire de se sentir coupable d’être coupable !

La culpabilité de l’entrepreneur me semble assez naturelle
pour 2 raisons :

· l’entrepreneur se lance des défis, a une vision qui le
pousse à aller plus loin. D’une certaine manière, l’entrepreneur a des
exigences qui l’entraînent à prendre des risques, à entreprendre

· l’entrepreneur est responsable de son activité et vit
une grande autonomie de décisions

Il est donc régulièrement mis dans des situations où il ne
fait pas aussi bien qu’il aurait voulu et où, effectivement, il se considère
comme responsable et coupable de cet état de fait fâcheux !!!

Pourquoi la
culpabilité pose problème…

La vie des entrepreneurs : Interview de Pierre-Loïc Raynaud

Favory_delphine
Par Delphine Favory (contributeur) – Responsable Marketing et Commercial

Pierre-Loïc RAYNAUD est la fondateur de Pierlis,
société spécialisée dans la création de sites Internet. Ingénieur de
formation, il nous fait partager son parcours de créateur et
d’entrepreneur.

1/ Comment vous est venue l’envie d’entreprendre et de créer Pierlis ?

Bonjour,
Dans mon parcours j’ai eu la chance de créer, avant Pierlis, 3
sociétés, trouvant toutes leurs clients par internet. A chaque fois,
j’étais à l’origine de l’architecture technique mise en place, et
responsable du développement informatique de l’entreprise. Ce que j’ai
fait pour mes sociétés, j’ai voulu le proposer à d’autres, en
prestation de service.

2/ En quelques mots, quel est le concept de votre entreprise ?

Pierlis est une société de service spécialisée dans la réalisation
de sites internet sur mesure : ecommerce, cms, nos clients sont dans la
presse, la finance l’e-commerce ou la vidéo.

3/ Vous aviez précédemment créé d’autres entreprises : que
vous ont appris ces précédentes expériences sur la création d’une
entreprise et le lancement d’une activité ? Quelles erreurs vous
ont-elles permis d’éviter ? Comment vous ont-elles permis d’optimiser
vos décisions ou d’accélérer la croissance de Pierlis ?

L’expérience est très importante : c’est ce qui reste quand vous
vendez ou quittez votre entreprise. J’ai appris à envisager toutes les
relations humaines dans le long terme, et à me concentrer sur mon
métier.
Avoir créé d’autres entreprises auparavant, c’est également important
pour la confiance. J’aime l’image du préau d’école, lors de votre
première rentrée scolaire : la première année, le premier jour, c’est
impressionnant. On est intimidé. Et puis la rentrée suivante, on se
sent chez soi, on trouve ses marques très rapidement, vos camarades
sont toujours là. D’ailleurs rien n’empêche de "jouer avec eux" : j’ai
trouvé un certain nombre de mes clients parmi mes connaissances
"d’avant".

Le marché des idées existe je l’ai rencontré…

Jeanphilippe_martinez_2 Par Jean-Philippe Martinez  (contributeur)
– Consultant INTERFACES, Directeur Pépinière d’Entreprises Eole
(Narbonne), Supervision de l’Incubateur d’entreprises
Franco-Allemande Eurodev Center (Forbach) et concepteur du blog : www.capitalsocial.fr

Le jeu de l’offre et de la demande s’il est connu de tous, il est des domaines où on ne l’attend pas forcément…
C’est le cas avec deux plateformes d’intermédiation qui mettent en relation :

– des personnes ou des entreprises qui ont des idées de business

et

– des personnes ou des entreprises qui sont à l’affût d’opportunités.
Bien évidemment les personnes intéressées par une idée ou un concept doivent payer pour voir….
Vous voulez en savoir plus sur ces deux places de marché ?

Dépôt concept

2 services proposés :

1. Vous déposez sur le site vos propres idées/concepts de création
d’entreprises et vous disposez d’un moyen de preuve d’antériorité,

2. Les "chercheurs d’idées" consultent la base de données en ligne
qui répertorie les idées. L’accès à la base est payant à la
consultation.

Le site indique la différence entre une idée protégeable (qui
renvoie plus à une notion de concept) et une idée ouverte à tout le
monde:

"Dépôt-concept essaie de vous expliciter qu’une
simple idée n’est pas protégeable s’il est impossible de rendre cette
idée unique et concrète. En effet, ce qui est protégeable doit relever
d’une création de l’esprit, une sorte de valeur ajoutée intellectuelle
( la Propriété Intellectuelle), qui pourquoi pas, peut devenir un
élément de Propriété Industrielle (assorti d’un titre de Propriété
Industrielle, comme les brevets, les marques, les dessins et
modèles…).

Une idée peut éventuellement être prouvée grâce à une preuve
d’antériorité, garante du lien existant à un moment donné ( preuve de
date certaine) entre une création, un contenu et une date. Nous aidons
nos utilisateurs dans ce sens: faire un dépôt en ligne, obtenir un
copyright officiel valide tant en France qu’à l’étranger ( Convention
de Berne), via un dépôt huissier et un dépôt sous enveloppe Soleau des
signatures de vos fichiers.

Attention: tant que l’idée reste au stade d’impalpable, floue, ou
non concrète, il sera difficile de prétendre à un quelconque droit
opposable à un tiers en cas de "copie", de plagiat ou de contrefaçon.

Il faut absolument écrire de façon détaillée et construite
votre idée, de sorte d’en faire ressortir un concept, une création,
votre touche personnelle, votre scénario qui enchaîne les idées.
L’enchaînement, la construction, c’est votre création. C’est votre
création qui deviendra protégeable
.

Ainsi un concept d’émission ou de jeu pour la télévision peut être
protégé car ces derniers constituent tous un projet scénarisé, un texte
écrit, qui inclut des règles de jeu, un processus, une ambiance, un
design. Tout cela est un scénario qui relève du droit d’auteur.

Deux exemples :

Peut-on devenir riche en créant son entreprise ?

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Par Laurent Dureau (contributeur) – Manager de Transition et Serial Entrepreneur

Si la réponse n’est pas tranchée c’est parce que la notion de richesse est relative néanmoins elle fait rêver plus d’un entrepreneur notamment ceux qui sont dans les starting-blocks.

Après 30 ans, 4 entreprises officielles au compteur et un nombre
certain de fausses couches, je m’interroge véritablement sur la notion
de richesse. Parle-t-on d’argent, d’expériences vécues, d’expérience professionnelle, de développement personnel ou d’éthique ?

Ma réponse c’est tout cela à la fois mais seulement voilà, il est difficile de les avoir tous en même temps.

Création d’entreprise, ou comment j’ai monté mon e-commerce…

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Par Mathilde Le Rouzic (contributeur) – Entrepreneuse

Suite à la Petite histoire de Bagatelles en 4 volets, j’ai reçu des mails de certains d’entre vous qui me posaient des questions concrètes et regrettaient de ne pas avoir une version synthétique de mon parcours de créatrice d’entreprise. Voici un petit récapitulatif des différentes choses que je conseillerais de faire ou de ne pas faire, en espérant que cela puisse guider ceux qui souhaiteraient se lancer dans l’aventure…

Raison d’être et finalité de l’entreprise

Par Nathanaël Ramos (chroniqueur exclusif) – Master Coach – Potentialis

Quelle est la raison d’être de votre entreprise ?

Sa finalité (l’intention qui anime l’action), son but (la description la plus précise de ce qu’on veut atteindre), sa vision. Sans un idéal, une raison d’être, on ne va nulle part.

Il convient dans la jungle des buts de trouver le but unique celui pour lequel vous pouvez donner votre vie.  Pour cela, vous allez décliner tous les buts et vous effacerez au fur et à mesure ceux qui vous paraissent moins importants jusqu’à ne garder qu’un seul but.

Posez-vous la question : « Qu’est-ce que je veux ? » Ou  « Pourquoi est-ce important pour moi ? »
autant de fois que nécessaire pour approfondir la question.

Votre but est ambitieux pour être motivant et il est accessible
pour pouvoir ne pas vous décourager.

Une fois écrit, il sera un vrai but. Je reviendrai
dans un prochain article sur l’importance de coucher sur le papier vos
objectifs.

Il y a quelque chose de presque absurde entre la fixation
d’objectifs bien réels et concrets rattachés à une réalité économique et sa
part de rêve et d’aspirations liés à la subjectivité du parcours de tout à
chacun.

Comment réconcilier les deux ?

En instaurant une dynamique dans l’action. Vous trouverez
votre raison d’être.

Une entreprise qui réussit est un système ou l’ensemble de
ces acteurs ont accepté et ont intégré cette raison d’être. Cette vision de
l’entreprise partagée par tous, depuis le gérant jusqu’à la standardiste doit
résonner à l’intérieur de chacun d’entre eux. Elle doit  faire sens et répondre à la question de « Pourquoi je le fais ? »
et « Pour quoi  je le fais ? »

La vision de l’entreprise comble-t elle les  besoins  de vos collaborateurs ?

Avant même de s’interroger sur un plan d’action, faites en sorte que l’ensemble des acteurs de l’entreprise ait saisi la vision de l’entreprise.

Dix paradoxes dans la vie d’entrepreneur

Franoise_keller
Par Françoise Keller (chroniqueur exclusif) – Coach de Managers, de Projets et d’Equipes et Formatrice en management et en communication NonViolente®

Pas si simple d’entreprendre ! Pas si simple d’être entrepreneur ! Le foisonnement d’expériences, de témoignages, de paroles de ce site en témoignent tellement…

J’avais envie, après quelques mois de vie de ma modeste société « Concertience » et en tenant compte des échanges que j’ai pu avoir avec d’autres entrepreneurs, de déceler nos 10 principaux paradoxes :

Comment valider votre idée de création d’entreprise ?

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Par Valérie Weill (chroniqueur exclusif) – Consultante et accompagnatrice en création/développement d’entreprise

Vous avez une idée de création d’entreprise et vous avez commencé à réunir les éléments d’informations dont vous avez besoin pour concrétiser un peu plus votre projet. Cependant, il se peut que vous ayez besoin de prendre à un moment du recul, un peu de hauteur pour vérifier que votre idée tient correctement la route. Pour cela, je vous conseille – tout comme le préconise l’APCE – de réaliser une matrice SWOT pour y voir plus clair. Une matrice SWOT permet d’analyser les forces, faiblesses, opportunités et menaces de votre projet, de votre idée.

La matrice SWOT permettra de mesurer le réalisme de votre projet. C’est un exercice simple, mais qui vous imposera de vous mettre au "pied du mur" et d’être objectif, pour qu’il prenne toute sa valeur.

Vous pouvez reprendre dans l’exemple ci-dessous, les caractéristiques majeures de votre idée de création.

Au bonheur de créer : trouver un sens à sa vie professionnelle

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Par Valérie Weill (chroniqueur exclusif) – Consultante et accompagnatrice en création/développement d’entreprise

Lors du dernier salon des Entrepreneurs, le Ministère des PME, l’APCE, les organisateurs du salon ainsi que la CDC ont mené une étude qualitative à partir d’entretiens en focus groupes sur une cinquantaine de créateurs d’entreprise installés depuis plus de trois ans.

Dans l’échantillon interrogé, il y avait aussi bien des ex-cadres, que des ex-employés/ouvriers, des ex-chômeurs et des ex-précaires ainsi que des conjoints de chefs d’entreprise. Autant dire qu’il s’agissait d’un panel large et suffisamment représentatif qualitativement du profil des entrepreneurs. Cette étude avait pour objectif de voir si les entrepreneurs étaient heureux d’avoir créé et ce que représentait pour eux le bonheur d’être Chef d’Entreprise.

Faut il se lancer ? ou L’art de ne pas devenir une plante !

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Par Jérémie Berrebi (contributeur) – Entrepreneur – Zlio

Je voulais écrire un post sur ce sujet depuis pas mal de temps…
L’idée est de répondre aux questions des personnes me contactant et
craignant de se lancer dans un projet quelqu’il soit.

Ce projet peut être personnel (achat d’un appartement, mariage,
enfant, changement de pays…) ou professionnel (création d’une
entreprise, lancement d’un nouveau projet, changement de job,
changement de secteur d’activité…).

Tous ces “projets” ont l’air très différent mais ils reposent tous
sur la même question et la même réflexion : Doit on se lancer ou pas ?

Essayons d’abord d’expliquer à quoi ressemble un homme en mode “plante verte” :

“Ah ben non, tu te rends compte si je lance mon entreprise et que ça se casse la figure, ça sera la cata”

“Si je me marie et que finalement, je ne m’entends pas avec ma femme
(je suis pas certain à 1000% que ça soit la bonne malgré le fait que je
sois extrémement bien avec elle), ça sera une vraie galère”

“Si j’achète cet appart et que je perds un jour mon boulot, je ferais comment pour payer mon crédit ?”

“Tu te rends compte, en restant chomeur, je peux payer mon loyer et
ce que je mange sans problème. C’est trop top! Pas la peine de tenter
de faire plus” (certaines personnes que je connais ont même quitté leur
job pour se retrouver dans cette situation et à cause de cette
reflexion)

J’ai choisi le terme de mode “Plante verte” à cette manière de
penser car il est évident qu’il n’y aura aucune différence entre un
être ne prenant aucune décision forte et n’essayant pas d’avancer et
une plante verte placée au centre de votre salon et qui, aussi, ne
prend aucune décision.

Etudiants ! Osez vous lancer !

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Par Vivien Poujade (contributeur) – Créateur et Gérant de SYNTHES’3D

Etant actuellement élève-ingénieur en troisième année à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers, j’ai créé ma société en début 2005. Cette dernière porte le nom de SYNTHES’3D. Je fais, en parallèle de mon parcours Arts et Métiers, un Master Management à l’Institut d’Administration des Entreprises à Puyricard près d’Aix-en-Provence afin d’acquérir une formation en gestion d’entreprise.

Je gère donc cette entreprise en parallèle de mes études depuis aujourd’hui presque 2 ans et je souhaitais faire partager cette envie d’entreprendre et ce goût du challenge aux autres.

Comment Redresser avec Succès Votre Entreprise

Dureau_laurent
Par Laurent Dureau (contributeur) – Manager de Transition et Serial Entrepreneur


Le titre semble accrocheur
et j’ai donc voulu en savoir plus sur cette pub.

En effet, ayant personnellement eu des hauts et des bas dans mes entreprises (qui n’en a pas ?) il est toujours bon d’être ouvert à ce qui pourrait servir car après tout dans la mouvance de la législation et des us et coutumes "mondialisantes", l’adage "un homme prévenu en vaut deux" semble toujours aussi d’actualité.

Puis-je sauver et redresser moi-même mon entreprise en difficulté ?

Face aux giboulées de la vie d’entrepreneur…

Franoise_keller_5
Par Françoise Keller – Coach et formatrice

Ce matin, comme tous les matins, j’écoute les infos avant de démarrer ma journée. Que des mauvaises nouvelles : il neige par endroits, des routes sont coupées ; des procès encore ; de la violence aussi ; un ministre perd des points de popularité. Je pourrais dire que la journée commence mal !

Ce matin, j’ai pas de rendez-vous commercial, pas de clients à voir, juste ma comptabilité à mettre à jour et mettre de l’ordre : je pourrais dire encore que la journée s’annonce mal !

Un coup d’œil par la fenêtre : dehors, il y a un peu de neige dans le jardin, pas de quoi couper les routes quand même ! Je suis sortie avec mon appareil photo et j’ai photographié un crocus qui étalait ses pétales dans la neige.

Neigefleur

Vous êtes inquiets et vous vous dites : et le rapport avec l’entrepreneuriat alors ?

Et bien ce matin, mes pensées vont à tous les entrepreneurs qui passent une mauvaise journée : un rendez-vous avec un banquier peu compréhensif ; un conjoint qui part en disant « puisque tu bosses à la maison, tu pourras acheter le pain » ; un client qui appelle « votre proposition était intéressante mais nous choisissons la sécurité, nous prenons une entreprise plus importante qui a des années d’expérience » ; la comptabilité qui est en berne ; un client qui annule un rendez-vous ; l’ordinateur en panne ou je ne sais quoi d’autre…

Entreprendre pour moi !

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Par Kim Auclair (contributeur) – Entrepreneure passionnée

Depuis toujours, j’ai été attirée par le monde des affaires! Très jeune, je savais déjà que je voulais devenir entrepreneure! J’ai toujours entretenu l’espoir de réussir dans la vie grâce à l’entrepreneuriat! Mais surtout et avant tout, c’est ma vie que je veux réussir grâce à l’entrepreneuriat !

Mais ce que j’étais loin de me douter, c’est que je pouvais compter sur autant d’aide et d’encouragement. Il y a, bien sur, mes mentors qui m’aident énormément. Je vous en ai déjà parlé maintes fois de mes mentors, vous vous souvenez? Mais les encouragements, ils proviennent de diverses autres sources également. Prenez par exemple, l’article intitulé « Entreprendre pour soi » que vous pouvez lire un peu plus bas et qui provient du Centre de vigie sur la culture entrepreneuriale de la Fondation de l’entrepreneurship. Maintenant, depuis que j’en ai pris connaissance de ce document, que je l’ai bien savouré même, je vois bien que je ne suis pas la seule à considérer l’entrepreneuriat comme un mode de vie, une passion, quoi! Qu’il me rejoint donc, ce texte! Que c’est motivant de se sentir de moins en moins isolée !

Bonne lecture…