Envie d'entreprendre

Mamans & entrepreneuses : Cécile d’IDKDO

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Par Mathilde Le Rouzic (contributeur) – Entrepreneuse

Toujours dans la série des Mamans entreprenautes, voici Cécile qui est la brodeuse d’IDKDO. Elle a trois filles de 12 ans, 9ans 1/2, et 4 ans…

Elle précède deux autres des mamans qui ont accepté de répondre à mes questions : Fanny, célèbre organisatrice des Fanny’s Party, et Anne, multi-récidiviste de la création d’entreprise et fondatrice de Sistershopping.

En attendant, c’est à Cécile de se présenter !

Sommes-nous tous des Bernard Madoff ?

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Par Vincent Colot (chroniqueur exclusif) – Analyste financier

Vous n’avez pas pu échapper à la couverture médiatique du scandale Bernard Madoff, du nom de cet ancien président du Nasdaq (la Bourse américaine des valeurs de croissance) qui avait monté une société d’investissement sur le modèle d’une « chaîne de Ponzi », cette structure pyramidale permettant de rémunérer et rembourser les anciens investisseurs avec l’argent récemment récolté des nouveaux. Préjudice estimé : quelque 50 milliards de dollars !

Une fois digérés le culot de cet homme et les montants abyssaux qui ont été escroqués, nous pouvons réfléchir plus posément à cette affaire.

C’est d’abord, à n’en pas douter, le symbole de tous les excès engendrés par la toute-puissance de l’économie financière telle qu’elle s’est développée ces 20 dernières années. En cela, malgré les montants en jeu, cette fraude ne doit pas surprendre outre mesure.

Ensuite, le schéma opérationnel de cette escroquerie nous amène à nous questionner sur nos propres comportements quotidiens. Peut-être avez-vous vu ce dessin humoristique qui circule sur Internet où deux enquêteurs « cuisinent » Bernard Madoff ; l’un deux lui demande « OK, Madoff, où avez-vous pris cette idée de rembourser vos premiers actionnaires avec l’argent des nouveaux ? ». Et le financier de répondre malicieusement : « Du système de sécurité sociale ». Bien sûr, ce trait d’esprit fait sourire. Mais il n’en demeure pas moins qu’une bonne partie des mécanismes financiers de nos sociétés reposent sur la logique de « continuité ». Dans le cas de la sécurité sociale, le principe de solidarité intergénérationnelle est là pour assurer que les retraités touchent de quoi vivre grâce à l’argent des salariés actifs. La fragilité du système se retrouve alors bien entendu dans la structure d’une autre pyramide, la pyramide démographique.

Livre gratuit : « Comment apprendre à se vendre et créer une image de marque ? »


Par Frédéric Canevet (contributeur) – Chef de Produits

On n’a qu’une seule fois pour faire une première bonne impression.
Cet adage est de plus en plus vrai dans notre société où tout va plus
vite et où l’image que l’on donne a de plus en plus d’importance.

Il
devient indispensable de savoir se vendre comme on le ferait pour un
produit ou un service. Un bon exemple humoristique est consultable sur le site CV de Jérôme Choain, qui se vend (avec humour) comme un produit high tech.

Plutôt que de cloner cette (bonne) idée, nous vous conseillons plutôt la lecture du livre gratuit de Rajesh Setty "Personnal Branding", qui explique comment apprendre à se vendre, à créer sa propre image de marque, voire créer une marque autour de votre nom !

Rajesh explique tout au long des 39 pages
de son livre gratuit "Personnal Branding", 18 conseils pour apprendre à
se vendre, à savoir se mettre en avant, en créer une image de marque.

Voici
donc un résumé de cet excellent ebook qui est à la fois plein de bons
conseils et très rapide à lire, que nous avons agrémenté de conseils et
"francisé".

L’aide Eden et les chéquiers conseils pour les créateurs d’entreprise sont remplacés par le dispositif NACRE

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Par Valérie Weill (chroniqueur exclusif)– Consultante et accompagnatrice en création/développement d’entreprise

Ce nouveau dispositif d’aide à la création d’entreprise a été présenté par le secrétaire d’Etat à l’Emploi, Laurent Wauquiez, le 20 Novembre 2008. Il s’appelle NACRE, signifiant Nouveau dispositif d’Accompagnement pour la Création et la Reprise d’Entreprise. Il est effectif depuis le 1er janvier 2009, mais devrait être vraiment opérationnel sur le terrain courant février, le temps que tout se mette en place. Il a pour objectif ambitieux de multiplier par trois le nombre de personnes au chômage créant leur entreprise et surtout d’aider à rendre pérennes les nouvelles entreprises créées. Car jusqu’aujourd’hui, seulement 7 000 personnes par an étaient accompagnées dans leur création, c’est loin d’être suffisant ! Il a aussi pour objectif de faire passer de 36% à 20% le nombre de défaillances des entreprises créées à 3 ans.

Elaboré en partenariat avec la Caisse des Dépôts et Consignations, il remplace deux types d’aide à la création d’entreprise – l’Eden qui était jusqu’alors une avance remboursable de maximum 6098 euros à taux zéro et le chèque conseil qui permettait de consulter un spécialiste de la création d’entreprise pour seulement 15,24 euros la consultation de l’heure.

Avec le dispositif NACRE, les futurs créateurs d'entreprise pourront bénéficier d'un prêt d'honneur à taux zéro baptisé « autonomie » (d’un montant maximum de 10000 euros), couplé à une garantie publique des prêts bancaires et à un accompagnement obligatoire durant les trois premières années par des structures labellisées. Le public visé reste le même, c’est-à-dire le public des ayants droits à l’ACCRE, soit plus précisément concernés les demandeurs d’emploi indemnisés ou non (inscrits dans ce cas depuis 6 mois au moins), les bénéficiaires des minimums sociaux, les jeunes de moins de 26 ans (ou de moins de 30 ans pour les chômeurs non indemnisés et ceux reconnus handicapés), les salariés qui reprennent leur entreprise en redressement ou liquidation judiciaire, les titulaires d’un contrat d’appui au projet d’entreprise (CAPE, conclu notamment avec des couveuses d’entrepreneurs à l’essai et parfois des coopératives d’activités et d’emploi) ainsi que les personnes qui créent leur entreprise en zone urbaine sensible (ZUS).

Ce nouveau dispositif devrait normalement concerner davantage de monde et à terme, le nombre de bénéficiaires pourrait être estimé à 20 000 par an. Il se caractérise par un dispositif d’accompagnement renforcé avec un interlocuteur unique tout au long d’un parcours décomposé en trois phases :

Crise financière vue par un primate : le tonneau des DANAIDES…

Christianvormus
Par Christian Vormus (chroniqueur exclusif) – Alinitia

Vue par un primate, iconoclaste, la « recapitalisation » des banques sans réponse à ces
quelques questions « basiques » traite les conséquences dans l’immédiateté, sans éteindre
les causes :

1- rôle des bourses de « valeur » ?

2- Rôle et limites de la spéculation ?

3- Cotation des actions et valeur de l'entreprise cotée ?

1) En ce qui concerne les place boursières
leur rôle initial : lieu de financement des entreprises ,
Les actions des entreprises y sont normalement cotées sur la combinaison de 2
paramètres :

-le rendement de l’action (traduit par les dividendes de la société – seul
résultat tangible de la réalité économique de l’entreprise,

– la plus value potentielle (c'est-à-dire dans le futur incertain) paramétre spéculatif, par excellence

L’anomalie provient alors, lorsque la composante spéculative est seule prise
en compte par les « joueurs traders ». L’heure actuelle un CASINO de jeu d’argent.

Idée Anti-Crise pour 2009 : Mettez un peu d’effet Obama dans votre marketing


DorvilleSatyam

Par Satyam Dorville (contributeur)L'agence multiculturelle

A l’heure des vœux, prédictions et autres rétrospectives je vous
propose un petit exercice mêlant les 3 : Proposer des idées Anti-Crise
2009 pour chefs d’entreprise avertis, jeunes entrepreneurs et autres
décideurs économiques. Voici la mienne : Mettre un peu d’effet Obama
dans son Marketing ! Tout un programme !

Au delà du symbole historique américain, la victoire d’Obama a été
aussi celle d’une certaine façon de voir le marketing. La stratégie
marketing conçue et mise en œuvre lors des élections présidentielles
américaines de 2008 par le jeune candidat métisse est d’ors et déjà
étudiée, disséquée, analysée, dans tous ses sens, ses recoins, ses
subtilités, par des professionnels du secteur d’un côté comme de l’autre de l’océan atlantique.

Comment puis-je mettre alors un peu d’effet Obama dans ma stratégie
marketing et de communication ? En investissant encore plus alors le
web et en particulier le web social et communautaire et en découvrant
le marketing multiculturel. Que dois-je dès lors en attendre ?

« Suspects, prospects, clients » : Le CRM en questions – suite et fin


Par Philippe Guihéneuc (chroniqueur exclusif) – Directeur Associé – Highburry

Les questions à se poser sur l’exploitation d’un CRM

Au terme d’un processus plus ou moins long (cf. articles précédents), vous avez pris la décision de mettre en place un (nouveau) logiciel de gestion de la relation clients. Vous avez fixé un calendrier et des objectifs au projet, puis vous avez nommé une équipe qui s’est occupé de sélectionner puis d’installer le système.

Reste à s’assurer qu’il est utilisé, et que cette utilisation produit un effet positif sur votre activité.

Avez-vous identifié les freins ?

Vous aurez beau avoir longuement préparé le terrain, mené une communication interne intense et usé de diplomatie pour faire valoir les avantages du nouveau dispositif, il se trouvera toujours un esprit chagrin pour critiquer le nouveau système. Lequel, de toutes façons, ne servira pas tous les intérêts individuels avec égalité – l’évolution est rarement juste, même quand elle est globalement profitable. Et voilà bientôt que d’un individu isolé, la fronde s’étend par capillarité à des groupes de mécontents. C’est que chacune des trois populations d’utilisateurs présente un risque de conflit :

– Bon nombre de commerciaux considèrent leur métier comme un art, relevant davantage du feeling que de la méthode. Certains peuvent voir le CRM comme un outil destiné à les canaliser vers des actions auxquelles ils ne croient pas ; ou comme un procédé de flicage, ce en quoi ils n’ont pas tout à fait tort. Les plus coriaces peuvent aller jusqu’à refuser d’alimenter le logiciel. Beaucoup protégeront leurs informations, en particulier celles qui portent sur leurs clients stratégiques, dont ils ne sont pas pressés de partager la connaissance.

– Par nature, le SAV déteste le changement. C’est que le client qui vous appelle se moque bien de savoir qu’on vient de vous changer de système, et que vous êtes un peu perdu dans les nouveaux écrans. Toute modification des habitudes entraîne de facto une perte de repères, donc de maîtrise. Un projet CRM génère souvent une forte augmentation du stress dans les équipes après-vente.

– Les marketing-men sont, de tous, les plus ouverts à l’utilisation de logiciels. Le marketing est un métier qui utilise couramment de nombreux applicatifs informatiques. Tout responsable marketing qui se respecte a doté son service d’un outil d’emailing, d’un système de gestion de newsletter, d’une solution d’analyse statistique, d’un produit décisionnel… Impulsé par la Direction Générale, mené par une équipe transversale, le projet CRM est au marketing comme un chien dans un jeu de quille. Plus encore qu’ailleurs, il remet en question les choix et les habitudes « d’avant ». C’est le responsable marketing qui négociera le plus un périmètre CRM restreint, et qui exigera que l’on mette en place des passerelles entre les outils existants et celui que vous voulez mettre en place.Au-delà des fonctions, des responsabilités et des enjeux qui s’y rattachent, il faut aussi tenir compte des personnalités de chacun des utilisateurs. Ici comme ailleurs, certains auront une attitude progressiste, d’autres seront définitivement conservateurs… D’autres encore prendront position au gré du vent. La mise en place d’un CRM est aussi un acte politique. Ne soyez donc pas surpris de constater que bon nombre de vos collaborateurs, à commencer par votre état-major, utiliseront d’abord cet outil – initialement destiné à gérer les relations clients – comme un levier interne, voire comme un instrument de leurs ambitions personnelles.


Parce que vous le valez bien

L’impulsion des ressources humaines dans l’entreprise

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Par M’hamed Drissi (chroniqueur exclusif) – Ph.D Management

L’impulsion des ressources humaines est l’une des fonctions fondamentales de la gestion tels que  la planification, l’organisation et le contrôle. Sa mise en œuvre au sein de l’entreprise nécessite une attention particulière de la part du dirigeant.

Cependant, et malgré son importance capitale, cette fonction est souvent négligée par beaucoup de dirigeants alors qu’elle constitue une stratégie essentielle pour la promotion des ressources humaines à l’intérieur de l’entreprise.

Cette source met en effet, l’accent sur les chances offertes aux employés susceptibles d’être promus parmi les cadres potentiels : employés compétents, fidèles, satisfaits et collaborateurs contribuant à la réussite de l’entreprise, même si leur potentiel de cadre peut être provisoirement faible.

La promotion interne présente, certes,  plusieurs avantages que les dirigeants doivent prendre en compte lorsqu’ils  adoptent cette stratégie. Elle  réduit le coût de recrutement, motive les employés désirant faire carrière dans l’entreprise, favorise la fidélité et assure la rentabilité de l’investissement au profit de l’individu…

Cette promotion interne comporte aussi certains inconvénients mais qui peuvent être facilement atténués : elle fait envier la personne promue, peut faire jouer à plein le principe de Peter et diminuer la créativité chez la personne promue.

Une gestion éclairée étant la condition de base d’une impulsion efficace, les dirigeants doivent démontrer, par leur comportement intègre et leurs fermes décisions, qu’ils ont le profond souci des membres de leur organisation dans ce domaine.

En effet, l’essentiel pour une gestion réussie est que les membres de l’entreprise, quelque soit leur position hiérarchique, jouent pleinement leur rôle respectif et effectuent  le travail qu’ils souhaitent et aiment faire et qu’une confiance réciproque règne au sein de l’entreprise . Il est en effet fondamental de développer et d’entretenir un climat de travail satisfaisant pour tous et d’accepter que la volonté et la capacité de chaque personne de travailler avec enthousiasme conditionnent la réussite de la plupart des actions entreprises par l’organisation.

Fondamentalement, l’impulsion commence par soi-même et non par les autres : un dirigeant devrait avoir une motivation personnelle à progresser et à travailler dans l’harmonie et à bon escient avec  d’autres. Faute de quoi, il lui sera impossible de s’impulser soi-même pour pouvoir par la suite impulser ses collaborateurs. Personne ne peut motiver son entourage s’il ne l’était lui-même mue par la volonté de réussir.

« Ces aides publics….Que vous ne connaissez pas » : Après huit vient le neuf…

Michaeldamiati
Par Michael Damiati (chroniqueur exclusif) – Spratley-Conseil Sud Parisien

Quoi de neuf pour cette nouvelle année, évidemment plein de
santé, de réussite dans vos différents projets notamment ceux de l’entreprise,
mais ces choses-là nous les connaissons déjà et je me joins aux nombreuses
personnes qui vous ont déjà présenté leurs meilleurs voeux.

À part ça, quoi de neuf ? Dans cette chronique nous
reprenons les aides et subventions que peuvent obtenir les entreprises, et à ce
titre il y a du nouveau…

Les deux principales nouveautés viennent de l’Europe, même
si aujourd’hui la France a cédé sa place pour la présidence, nous pouvons dire
que pendant son mandat, elle n’a pas « chômée » (en tout cas pour les
dispositifs d’aides et subventions)

La première nouveauté réside dans  les nouvelles règles de Bruxelles en
faveur des aides d’État

La
Commission Européenne a adopté, en vertu des règles du traité CE sur les aides
d’État, un cadre temporaire dotant les États membres de possibilités
supplémentaires pour lutter contre les effets du resserrement du crédit sur
l’économie réelle. C’est plutôt une bonne nouvelle lorsqu’on connaît les
difficultés malgré les effets d’annonce pour obtenir un crédit ou alors le
soutien de sa banque.

Les
États membres pourront, en particulier, accorder, sans devoir notifier les cas
individuels :


une aide forfaitaire maximale de 500 000 euros par entreprise au cours des deux
prochaines années, afin d’aider les entreprises à surmonter les difficultés actuelles ;
plutôt intéressant, et surtout plus simple…


des garanties d’État pour les prêts assortis d’une réduction de prime; ce qui
aura pour but de rassurer les prêteurs (notamment nos amis banquiers)

Consultant : l’art de donner son avis

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Par Gilles Martin (chroniqueur exclusif) – Président du cabinet de conseil en stratégie et management PMP

Pour beaucoup, un consultant c’est quelqu’un qui donne (ou disons plutôt qui vend) des conseils. Il est payé pour donner son avis sur les questions qu’on lui soumet.
Cela a l’air tellement simple que nombreux sont ceux qui pensent qu’ils peuvent devenir consultant comme ça : après tout des avis ils en ont, alors pourquoi pas ?
Et bien justement, ce n’est pas si simple.

Car, pour la plupart, surtout un dirigeant d’entreprise, demander son avis à un tiers, c’est une source d’anxiété énorme : car, imaginez un instant que vous suiviez un bon conseil de marketing, et que la campagne foire complètement, ou que vous réorganisiez votre logistique sur les bons conseils de ce consultant, et que les stocks, au lieu de se réduire, augmentent : qui sera tenu responsable ? Vous, bien sûr, et non votre consultant.

C’est pourquoi le consultant à qui on va demander un avis, il faut vraiment qu’il inspire confiance. Et on a toujours peur de se tromper.

Autre source d’anxiété : cette question sur laquelle vous avez envie d’une réponse, le consultant l’a peut-être déjà traitée de nombreuses fois (c’est même souvent la raison pour laquelle vous avez choisi ce consultant pour y répondre) ; mais ne va-t-il pas en profiter pour étaler sa science et vous embrouiller avec des mots que vous ne comprendrez pas ; ou bien avoir tendance à trouver plein de complications et de nouveaux problèmes à une question qui vous paraissait simple au départ (il va avoir forcément tendance car c’est précisément aussi pour ça qu’on lui demande un avis, pour voir des choses qu’on n’a pas vu).

Donc un consultant, quelle que soit la raison pour laquelle on le consulte, va quasiment tout le temps se retrouver en face de quelqu’un d’anxieux.
Et là, attention au comportement et à l’attitude !

Certains croient que pour bien se faire comprendre du client, il faut tout lui expliquer en détail, comme si on parlait à un enfant. Grave erreur. Ceci ne fera que rendre plus anxieux et méfiant votre interlocuteur.

Au contraire, un bon truc de comportement c’est justement d’imaginer que vous ne parlez pas à un enfant mais à votre père ou à votre mère.

Cela consiste à donner un avis mais en étant respectueux. L’attitude n’est pas de critiquer, de montrer sa science, mais de démontrer, par le simple comportement, que vous cherchez vraiment à aider et à être utile.

Car c’est une chose de vouloir donner un avis, cela en est une autre d’avoir la bonne intention.