Par Frédéric Canevet (contributeur) – Chef de Produits
Placedesreseaux.com a interviewé Tony Desbrosses et Vincent Morel, deux spécialistes du networking, pour nous livrer 10 conseils essentiels pour rencontrer efficacement les bonnes personnes lors d’une soirée Pro.
Voici le résumé des principaux conseils :
Avant la soirée : misez sur une préparation rigoureuse !
1) Définissez vos attentes
2) Détectez parmi les participants déjà inscrits les personnes que vous souhaiteriez rencontrer
Par Laurent Samuel (chroniqueur exclusif) – Consultant secteur associatif
Alors que l’on commence à enregistrer les premiers effets de la crise bancaire et financière sur l’économie soi distant réelle, il n’est pas inutile de se demander quelles pourraient être ses conséquences à terme sur le secteur associatif en France.
En simple observateur du terrain, je vais essayer de lire un peu “dans ma boule de cristal” et d’envisager, certainement de manière un peu naïve et idéaliste, ce nouveau contexte pour les associations 1901.
Ménages et secteur public, principales sources de revenus des organismes à but non lucratif
Depuis plus de 10 ans, la croissance du budget global des associations est supérieure est celle du PIB. Pourtant on peut difficilement croire que les deux soient totalement déconnectés. La récession abordée par l’économie pèsera nécessairement sur les budgets associatifs et on peut craindre que l’actuel mouvement de contraction des budgets s’en trouve amplifié.
Dans les secteurs traditionnellement tributaires des recettes publiques (santé, action sociale, culture), la tendance au désengagement de l’Etat va s’en trouver renforcée par la disette budgétaire qui se profile pour les prochaines années. Face à la réduction drastique et inéluctable des interventions étatiques, les associations ne pourront pas se retourner vers la collectivités locales dont les capacités contributives seront désormais plus fortement contraintes par la restriction du crédit et l’extension déjà programmée de leurs compétences obligatoires.
Les associations tributaires des ménages et des particuliers seront également confrontées à la récession économique et à la contraction de la consommation. Les services à la personne (sport et activités de loisirs, service à domicile, soutien scolaire) et autres dépenses réputées accessoires pourraient pâtir en premier lieu de cette conjoncture morose. Les associations du secteur caritatif et humanitaire peuvent également se faire quelques soucis. Dans un contexte de contraction du pouvoir d’achat, l’appel à la générosité du public ne peut manquer de devenir plus sélectif.
Par Frédéric Canevet (contributeur) – Chef de Produits
Brian Halligan a publié sur son Blog www.smallbuzinesshub.com une analyse assez pertinente du film "Le Parrain".
En effet il présente sur son site les 10 leçons de management appliquées par Don Vito Corleone pour rester le capo de tous les capo… bref être le Big Boss ! En voici une traduction…
1- Adapter les sanctions selon les personnes:
pour motiver et se faire obéir de son entourage, Don Corleone utilise
différentes sanctions selon ses interlocuteurs. Il utilise la peur pour
les commerçants (ex: le propriétaire de l’appartement), il est
respectueux avec Luca Brasi son garde du corps, mais il n’hésite pas à
frapper Johnny Fontaine pour démontrer son pouvoir.
2- Avoir deux oreilles et une seule bouche :
Don Vito écoute toujours avant de décider, et parle très peu… et le
plus souvent c’est uniquement pour demander des précisions. De plus il
n’interrompt la personne qui parle, et au contraire il la laisse parler
pour la laisser s’embourber et profiter de son malaise.
Par Vincent Colot(chroniqueur exclusif) – Analyste financier
Tentons d’y voir un peu plus clair sur les marchés boursiers.
Ce que nous constatons d’emblée, c’est une forte volatilité des cours des actions avec un mouvement net à la baisse.
1. La volatilité est directement liée au climat de grande incertitude qui agite les sphères économique et financière : la Bourse déteste cela et donc, au gré des nouvelles, peut partir tout aussi brusquement que provisoirement à la hausse ou à la baisse. De quoi en tous cas rappeler aux investisseurs que la Bourse est et demeure risquée.
2. Cela ne vous aura pas échappé : la Bourse a lourdement chuté depuis le début de l’année, le CAC 40 abandonnant près de 40% au moment où j’écris ces lignes (mardi 21 octobre). La transformation de la crise immobilière (dite crise des « subprimes ») en provenance des Etats-Unis d’abord en crise financière (avec le point d’inflexion qu’a constitué la chute de Lehman Brothers) et puis en crise économique a contaminé le monde entier. Rien d’étonnant à ce que les bourses européennes, y compris la française, aient trinqué.
Fort bien ! Et maintenant que faire ?
Pour répondre à cette question, il faut s’en poser une autre, fondamentale : « Sommes-nous partis pour que l’actuelle menace de récession se change en réelle dépression économique de longue durée, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu dans les années 1930 ou de ce que le Japon a traversé dans les années 1990 ? ».
La réponse à cette question détermine en fait ce que doit faire l’investisseur.
Quand j’ai lancé ma série d’interviews, il m’a dit qu’il jouait le même
rôle que les mamans entrepreneuses. Comme une boutade, il a proposé de
répondre à mes questions, puisqu’il est le Papa d’une charmante Héloïse
de dix mois.. Et moi, je me suis dit que le point de vue d’un papa
entrepreneur serait intéressant au milieu des interviews.
François, alias MrBoo, est le fondateur de Hellotipi,
un site dédié à la famille : création d’un site de famille, d’arbres
généalogiques, partage de photos et autres moments forts ! C’est là que
la famille peut se retrouver en ligne. J’aime son projet tout autant
que j’ai aimé découvrir ses réponses à mes questions. C’est à lui !
Par Adrien Geille(chroniqueur exclusif) – Entrepreneur – Fiscon
Depuis maintenant deux ans et demie j’ai la chance d’accompagner de nombreux porteurs de projets pour l’essentiel orientés vers les nouvelles technologies et d’en informer d’autres lors des réunions que j’anime sous subventions.fr. La constante est le manque d’information et l’amalgame fait entre les nombreuses aides Oseo, le JEI et le CIR.
Par Violette Watine(contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio
Voici le portrait de la fondatrice d’Amazonia Preciosa. Vous allez
y découvrir que Clelia est une femme de conviction, brésilienne, mariée
avec un indien et passionnée par les végétaux et les savoirs-faire
indigènes. Cette marque propose des soins capillaires experts fondés
sur les bienfaits des plantes amazoniennes et s’inscrivant dans une
démarche de commerce équitable forte. Je vous laisse découvrir cet
engagement qui m’a vraiment donné envie de soutenir la marque.
Comment as-tu commencé Amazonia Preciosa et ses actions de commerce équitable ?
Nous avons commencé notre activité à travers le commerce équitable,
utilisant des produits différents provenant de groupes indiens
d’Amazonie variés. Le besoin et l’opportunité apparaissant en même
temps, nous avons profité de cette occasion.
Par Jean-Luc Watine (chroniqueur exclusif) – Spécialiste dans l’optimisation du statut du dirigeant
Se voir accorder un crédit auprès de sa banque est en train de devenir un rêve inaccessible pour la plupart des futurs entrepreneurs : la crise immobilière des Etats Unis suivie de la crise bancaire puis financière arrive progressivement en Europe et se propage dans notre vie professionnelle : les banquiers redeviennent frileux !…
Les conditions d’emprunt sont maintenant drastiques. Des crédits à des clients qui auraient été acceptés il y a seulement un an sont maintenant refusés.
La fidélité ne paye plus.Il faut donc faire jouer la concurrence de manière tout aussi cynique et faire le tour des banques pour étudier les taux qu’elles vous proposent. Il existe bien entendu des courtiers qu’il vous faudra consulter: meilleurs taux, infi, cafpi par exemple,qui effectuent ce travail pour vous et vous trouvent les conditions les plus intéressantes mais cela engage des frais de dossier supplémentaires (3 à 7%) qui peuvent les rendre peu attrayantes.
Les taux pratiqués sont compris entre 5 et 6%. Au delà, c’est hors marché. Il faut donc ne pas hésiter à discuter pieds à pieds avec son banquier même s’il rechigne à cette besogne qu’il jugera dégradante ou inconcevable pour sa profession…Faîtes jouer vos relations, laissez entendre que vous connaissez telle personne fortunée qui cherche un banquier intelligent (cela flattera son ego), c’est ce qu’ils appellent l’intérêt de clientèle auquel les banquiers sont très sensibles.
Vous pouvez pratiquement obtenir 10 à 20% de rabais en utilisant cette méthode. Evitez de demander des prêts de trop longue durée, prévoyez donc plutôt un prêt sur 10 à 15 ans qui séduira plus une banque que 25 ans qui n’est pas toujours économiquement raisonnable et peut comporter trop de risques.
Par Isabelle Brunet(contributeur) – Spécialiste en développement personnel
N’avez-vous pas remarqué que depuis quelques temps de plus en plus d’individus décident de changer de vie, de changer de travail quitte à gagner moins ?
Ces individus sont souvent des cadres des grandes entreprises qui se sont investis pendant des années pour leur travail. Ils n’ont vécu que pour leur société. Et, cela ne leur pesait pas puisqu’existait, à une certaine époque, la culture de l’entreprise. Ils étaient fiers de travailler pour un grand Groupe reconnu dans le monde entier.
Mais, aujourd’hui, les données semblent avoir changé. Les salariés ont modifié leur attitude vis-à-vis de leur travail. Ce n’est pas qu’ils le négligent mais ils ont compris que leur épanouissement personnel ne pouvait se faire uniquement en accomplissant une belle carrière professionnelle. Leur vie personnelle semble prendre plus d’importance et ils refusent de plus en plus de la sacrifier.
Même si certains cadres notamment élaborent, dès leur sortie du lycée, des plans de carrière très ambitieux, une fois qu’ils sont arrivés au sommet, une partie d’entre eux restent insatisfaits. En regardant leur vie telle qu’elle est, ils font un constat amer : ils se rendent compte qu’ils ne sont pas heureux pour autant, malgré leur réussite, leur succès. C’est pour cette raison que certains n’hésitent pas à tout plaquer et à change de vie.
L’entreprise n’est ainsi plus considérée comme un refuge ou comme une seconde (voire la première) famille comme avant. Les salariés n’aspirent plus à faire toute leur carrière dans une même entreprise.
Pour les uns, la raison en est simple. En effet, la plupart du temps, ils n’en ont même pas l’occasion à cause de la conjoncture économique actuelle assez difficile, qui entraîne des périodes de chômage régulières.
Pour les autres, ils éprouvent le désir de vivre plusieurs vies en une seule. Ils refusent de rester immobiles, de faire toujours la même chose. Ils ne s’imaginent pas faire le même travail toute leur vie. Ils n’ont plus peur de se lancer et de tenter des expériences. Ils veulent simplement vivre leur vie pleinement. Ils savent que leur épanouissement personnel passe nécessaire par le fait de bouger, de changer, de s’engager dans tous les compartiments de leur vie. Ils veulent réussir leur vie et non dans la vie.