Envie d'entreprendre

Comment fixer des objectifs, les suivre et les contrôler efficacement

Par Nathanaël Ramos (chroniqueur exclusif) – Master Coach – Potentialis

Une fois, le projet d’équipe clairement établit, passons  à
la phase suivante: la fixation des objectifs.

Il ne suffit pas d’avoir des objectifs communs. Encore
faut-il avoir une vision et une dynamique partagées qui tiennent compte de
l’environnement  changeant.

Fondamentalement, il faut mettre l’individu en mouvement, le
faire avancer dans une direction.

L’inertie, c’est la mort. L’énergie c’est la vie.

D’où la nécessité de définir un objectif SMART
(Spécifique-Mesurable-Ambitieux-Réaliste-inscrit dans le Temps) ajouté à cela
qu’il doit être fun et écologique, c’est-à-dire connecté à ses valeurs.
L’objectif doit être formulé positivement.

En déterminant un objectif chacun peut vérifier sa propre
contribution à l’ensemble.

La négociation de l’objectif est un outil dans le management
contractuel. Si l’objectif n’est pas négociable, il est important pour
s’assurer l’implication du collaborateur de lui laisser le soin de valider les
points-clés (délai, moyens…).Négocier un objectif avec ses équipe, c’est
accepter d’échanger, c’est développer son influence et donc son leadership pour
atteindre un objectif ambitieux. Il ne s’agit pas de contraindre mais plutôt de
susciter l’implication de tous.

Vous avez réussi à partager votre vision, négocier les
objectifs avec votre équipe, élaborer un plan d’action. Maintenant place à la
gestion au quotidien et c’est là que vos collaborateurs verront vos qualités de
managers s’exprimer afin de les guider. Bref, c’est la manière dont vous les
piloter qui fera de vous un manager d’exception. Toute votre crédibilité se
construit au jour le jour.

Créer un e-commerce en milieu rural (2)

Par Benoît – Entrepreneur

La deuxième et principale difficulté de la création d’un e-commerce basé à la campagne est le rapport spatio-temporel. Quand vous êtes dans un petit village de l’Aveyron, deux dimensions essentielles cohabitent : l’espace et le temps. Même si ces deux dimensions sont étroitement liées, elles ont aussi chacune leurs spécificités.

Pour commencer le rapport au temps n’est absolument pas le même que dans une grosse métropole. Pas de bouchons, pas de métro, aucun évènement extérieur ne vient vous mettre la pression. Rien ne vous oblige à courir et tout vous invite à ralentir.

Créer un e-commerce en milieu rural (1)

Par Benoît – Entrepreneur

Je n’ai pas choisi de m’expatrier à la campagne pour créer ma boutique en ligne. C’est plutôt l’inverse qui s’est produit. J’étais déjà à la campagne lorsque j’ai envisagé de lancer Look-zippy. Je ne me considère pas comme un néo-rural (vous remarquerez au passage, comment le terme de néo rural est passé de mode), mais comme un expatrié de retour au pays.
Je suis un aveyronnais pure souche, enfin avec quelques origines du nord est de la France (du côté de l’Alsace), mais je suis né en Aveyron. Après plusieurs années passées en région parisienne, le pur hasard de la vie m’a ramené sur mes terres natales (merci le hasard). Je n’avais donc pas pour objectif initial de partir m’installer au vert pour monter ma petite boite de tee-shirts. C’est l’inverse qui s’est produit.

Depuis un peu plus de six ans, j’ai rejoins les vertes prairies de mon enfance pastorale. Aujourd’hui, je ne regrette rien, même si ce n’est pas tous les jours très simple.

Même si mon aventure n’a aucune valeur d’exemple, avec un peu de recul je peux partager mon petit retour d’expérience. Avec l’avènement des nouvelles technologies de l’information, développer un projet d’e-commerce à partir d’un petit village aveyronnais, relève t-il de l’utopie ou est ce une réalité tangible ? Quels en sont les avantages et les inconvénients ? Quelles sont les difficultés quotidiennes ? Je vais tenter de vous apporter mon propre éclairage.

Entreprendre en entreprise individuelle !

Ahmed
Par Ahmed Bariz (chroniqueur exclusif) – Conseil auprès de créateur d’entreprise

La forme juridique de l’entreprise à la lecture des
différents messages sur les forums apparaît être une préoccupation non
négligeable des créateurs d’entreprise.
En  effet, beaucoup de
créateurs  évoquent  souvent la question concernant le choix du
statut pour la création de leur entreprise. Faut-il opter pour l’entreprise
individuelle ou la société (Eurl, Sarl, SA) ?

Dans le cadre de la création de son propre emploi
(plus de 87 % des  créations
d’entreprise en 2007 sont sans salarié) l’entreprise individuelle apparaît être
une solution  intéressante.

Il est bien évident que s’il existe une volonté de
créer une entreprise à plusieurs, ou que le projet nécessite la mobilisation
d’investissement important, seule la forme sociétale apparaît la plus
appropriée.

Depuis quelques années et notamment depuis la loi
Dutreil de 2003, de nombreuses mesures sont venues renforcer l’intérêt de se
lancer en entreprise individuelle.

Nous pouvons mettre en exergue  6 points qui confortent le choix de l’entreprise individuelle.

La motivation des collaborateurs dans l’entreprise

Drissi_mhamed
Par M’hamed Drissi (chroniqueur exclusif) – Ph.D Management

De nos jours, la motivation  des ressources humaines est indéniablement un  facteur fondamental de la réussite de l’entreprise. La motivation dynamique des conduites humaines est en effet un thème incontournable dans la vie des organisations quels que soient leur taille et leur secteur d’activité. C’est d’autant plus vrai que  la théorie des organisations, puis la gestion des ressources humaines, ont beaucoup valorisé le lien entre motivation et efficacité opérationnelle des individus au travail.

C’est d’abord l’ingénieur TAYLOR  avec son organisation  scientifique du travail, ses chronomètres et ses travaux empiriques sur la productivité des ouvriers qui met à l’honneur  la question de la motivation dans les entreprises. L’enjeu est clair : motiver mieux pour augmenter les performances en terme de productivité.

Puis arrivent MASLOW et  sa pyramide des besoins. MASLOW  montre que la motivation est spécifique à chaque individu , et qu’elle dépend de sa position sur la fameuse échelle des besoins. Mais c’est avec  la théorie de HERZBERG qu’il a été  démontré que l’homme est motivé par nature et que c’est une caractéristique qu’il a en lui, qu’il s’épanouisse  ou non  dans la réalisation de son travail.

Mais c’est à HERZBERG qu’ il revient le mérite d’avoir montré que la motivation  au travail ne peut être considérée comme un simple cas particulier de la motivation à agir et qu’il faut, aussi , prendre en considération le rôle  des conditions sociales et organisationnelles . HERZBERG a  montré  , en particulier , que la seule rémunération ne faisait pas tout et que le contenu du travail, la reconnaissance et les possibilités de réussite étaient autant  de facteurs de motivation à prendre en compte.

Pourtant, rares sont les dirigeants qui sont conscients de l’importance de ce merveilleux processus qui permet aux collaborateurs de se valoriser à la fois dans leur intérêt collectif et dans celui de l’entreprise.

L’état de l’informatique, un indicateur ?

Cazaban_philippe
Par Philippe Cazaban (chroniqueur exclusif) – Trouveur de solutions pragmatiques

Le bon ou le mauvais état du système informatique d’une entreprise serait-il un indicateur de la bonne ou mauvaise santé de celle-ci ?

Ne croyez pas que je veuille positionner le système informatique de l’entreprise autrement qu’à sa place ! J’ai suffisamment écrit à ce sujet dans mes différentes chroniques pour ne pas changer d’avis en ce mois de mars annonciateur du prochain printemps (même en ces temps d’élection, je ne retourne pas ma veste !). Non, c’est sûr, ferme et définitif : le système informatique d’une entreprise n’est qu’un outil dont l’importance varie en fonction de l’activité, même s’il a tendance à prendre beaucoup de place aujourd’hui.

L’origine de ma question initiale un peu provocatrice vient de diverses expériences récentes. Depuis quelques années, j’ai été amené à travailler pour des clients en situation difficile. Je crois que le contexte le moins facile a été cette mission au cours de laquelle j’ai vu l’effectif de l’entreprise fondre à tel point qu’à la fin de mon intervention l’entreprise comptait moitié moins de salariés qu’au début ! Organiser un projet de changement de système informatique intégré dans un contexte aussi perturbé n’est pas une mince affaire, croyez-moi… Dans la plupart des cas que j’ai rencontrés, à un moment donné, les actionnaires décident de changer la direction de l’entreprise pour tenter de la remettre sur les rails. Et systématiquement, la nouvelle direction veut travailler sur la mise à niveau de l’outil informatique. Il ne s’agit pas toujours de changer le système en place (souvent l’entreprise n’en a pas les moyens !), mais plutôt d’utiliser le plus correctement et le plus complètement possible les outils existants pour disposer d’une information fiable au bon moment et pour fluidifier au mieux le flux d’informations dans l’entreprise et avec les partenaires extérieurs, clients ou fournisseurs.

Le vrai prix de l’informatique

Fred_metey_1Par Fred Metey (contributeur) – Entrepreneur

L’informatique s’est démocratisée. Objectivement, si on regarde le taux d’équipement des particuliers, il est certain que cette technologie est entrée dans les foyers, tous les foyers. Plusieurs raisons à cela, à commencer par la révolution Internet qui a touché le grand public à partir de l’hiver 1999-2000 et vraiment depuis 3 ou 4 ans, mais aussi bien sûr la baisse du prix des équipements.

Pourtant, l’informatique n’est à mon sens pas moins chère, et probablement beaucoup plus si on ne regarde pas que le prix des machines et de leurs écrans. Elle est juste devenue incontournable, très utile et utilisée, productive dans un nombre considérable d’aspects de nos vies, et surtout, beaucoup de gens ignorent ou préfèrent ignorer la réalité du coût de l’informatique, quitte à prendre des risques déraisonnables souvent, si l’on prend en compte l’importance de ce que nous confions à cet outil.

Le vrai prix de l’informatique, c’est :

Le projet Buridan – 10 : Le logo du Fou d’Histoire

Lieffroy_cline
Par Céline Lieffroy (chroniqueur exclusif) – Porteuse du projet : Buridan – Le Fou d’Histoire

Je voulais commencer une série d’intervention sur la question cruciale : à savoir comment se faire connaître !

Mais, comme nous n’en sommes encore qu’au début… nous ne sommes pas encore connus, donc pas facile ! J’ai donc décidé de commencer par le commencement : qu’avions nous prévus dans le projet initial pour nous faire connaître et en premier lieu apparaît Le LOGO.

Je vais donc vous raconter l’histoire de la tête de Buridan. Ce fut là
essentiellement le travail de Damien ; je profite de cette chronique pour
le remercier de nouveau du travail qu’il a effectué.

Un avantage était que Jean Buridan n’est pas très connu du
grand public, ce qui nous a plus facilement permis de nous approprier le personnage.

Comment transformer ses prospects en clients, puis les fidéliser ?


Par Frédéric Canevet (contributeur) – Chef de Produits

Cas pratique de transformation de prospects en clients par Marketing Sherpa.

Voici ci dessous une traduction d’un cas pratique présenté dans l’excellente newsletter de www.marketingsherpa.com.

La
problématique est simple: un concessionnaire Mercedes américain (Beck’s
Import) souhaite augmenter le nombre de leads en utilisant à la fois
l’emailing et le SMSing.

Etape 1 : Récolter les adresses emails de tous les contacts de
l’entreprise en les demandant dès que possible, et en ajoutant un champ
email dans leur formulaire papier d’entretien des véhicules plus sur
les formulaires de son site internet (passage de 50 emails à plus de
3000).

Etape 2 : Associer l’envoi d’emailing avec les opérations de mailings papiers traditionnels, en personnalisant les messages envoyés (nom de leur commercial…).

Etape 3 : Envoyer des emailings variés aussi bien au niveau de la forme que de l’offre aux clients chaque mois.

Pour
cela des "prétextes" de promotion divers ont été définis: anniversaire
du responsable du magasin, offre spéciale pour les amis des clients…

Se sentir bien au travail

Par Isabelle Brunet (contributeur) – Spécialiste en développement personnel

L’actualité récente a malheureusement montré qu’un
certain nombre de personnes se sentait mal dans leur travail.

Les suicides en entreprise « se sont accentué
ces dernières années », selon Christian Larose, président CGT de la section
du travail du Conseil économique et social (CES). Il y aurait 300 à 400 salariés
qui se suicideraient en France sur leur lieu de travail selon la seule enquête
menée en 2003 par l’inspection médicale de Basse-Normandie (Source :
Journal du CNRS, n° 184 mai 2005).

Toutefois, le sujet reste tabou et la majorité de
ceux qui ne supporte plus leur travail se tait, souffre en silence.

En effet, en parler serait, pour beaucoup, faire
preuve de faiblesse. Ils ont honte de leur soi-disante incapacité à surmonter
les problèmes qu’ils rencontrent sur leur lieu de travail.

Or, s’ils ressentent un tel malaise dans leur
entreprise, c’est qu’il y a une raison. Tout ne vient pas d’eux. Le chef
d’entreprise, les collègues, les horaires de travail, les cadences ne sont pas
étrangers à ce mal-être profond.

Les suicides récents à Renault, fortement
médiatisés, semblent avoir déclenché la sonnette d’alarme.

Les institutions paraissent avoir entendu ces
appels au secours. Des mesures vont peut-être être prises pour remédier à tout
cela.

En attendant, si vous ne vous sentez pas bien dans
votre travail, voici quelques astuces pour améliorer les choses.

Les fausses bonnes idées à ne pas avoir quand les temps sont durs

Bertrand_duperrin
Par Bertrand Duperrin (chroniqueur exclusif) – Consultant en Management

Les temps seront durs pour l’entreprise, en tout cas les prévisions de
nous incitent pas à l’optimisme. Lors de ces phases "dépressives" de
l’économie l’entreprise a tendance à faire le dos rond, à se
renfermer, voire à se scléroser en attendant des jours meilleurs.
Réaction logique, mais voilà: l’expérience prouve que si c’est une
manière efficace de survivre à l’orage ça n’est pas, et loin de là, la
meilleure manière de faire arriver l’acalmie, voire le beau temps.
S’il semble inévitable de limiter la casse, toutes les observations
montrent qu’on oublie trop souvent de préparer l’avenir ce qui a des
conséquences encore plus néfastes que la phase de récession elle-même.

La première réaction est en général de couper dans les dépenses
inutiles, c’est à dire celles qui ne sont pas génératrices de valeur à
très court terme. Exit donc les projets innovants qui attendront des
jours meilleurs. Or ça n’est pas le projet qui doit attendre des jours
meilleurs mais les jours meilleurs qui souvent viendront du projet. Au
delà même des projets qui nécessitent quelque investissement, on évite
le plus souvent de faire quoi que ce soit de neuf, quand bien même
cela ne couterait rien, bref on fait en sorte que surtout rien ne
change.  Je me souviens d’une discussion avec le PDG d’une Web Agency,
aujourd’hui cotée, qui me parlait de la manière dont son agence, jeune
à l’époque, avait affronté la crise des années 2000. A l’époque ou ses
concurrents avaient de plus en plus de mal de survivre avec une offre
qui connaissait, à tort le plus souvent, le succès auprès des clients,
il a décidé d’explorer de nouvelles voies et de se positionner sur le
"web 2.0" à peine naissant. Résultat : il a réussi à attirer les
investissements des déçus du web 1ere génération ce qui lui a permi de
survivre dans un premier temps et en même temps de se positionner pour
l’inévitable reprise où il a fait figure de leader ou de précurseur.
Qu’en aurait il été s’il s’était contenté d’attendre l’accalmie pour
faire évoluer son offre ?

La vie des entrepreneurs : Interview d’Anthony Arsac

Favory_delphine
Par Delphine Favory (contributeur) – Responsable Marketing et Commercial

Anthony Arsac, fondateur et animateur du blog Business Academy
et jeune entrepreneur, nous confie son sentiment sur la création
d’entreprise, nous présente son projet et aborde le point spécifique
d’être étudiant-créateur.

1/ Au travers de votre Blog Business Academy, vous offrez
astuces, conseils, liens utiles sur l’entreprenariat : mais qu’en
est-il de votre vision de l’entreprenariat ? C’est quoi être
entrepreneur, pour vous ?

Ma vision de l’entrepreneuriat repose sur un simple jeu de
construction, l’entrepreneur est cet enfant qui décide de construire
une maison de lego et qui va tout mettre en œuvre pour concrétiser
l’image qu’il a dans la tête. Souvent tout commence par un rêve, puis
vient le temps d’estimer et de rassembler les ressources nécessaires.
Enfin, on construit ce projet jusqu’au jour où on peut s’arrêter un peu
pour le regarder. Notre enfant peut alors dire « papa, regarde c’est
moi qui l’ai construite ! », c’est un peu ce que se dit l’entrepreneur
quand il regarde son entreprise avancer. Entreprendre, c’est avant tout
construire, d’une idée qu’on a dans la tête on va en façonner une
réalité de ses mains.

2/ Vous disiez, il y a quelques semaine « avoir plongé »
dans le bain de la création d’entreprise : peut-on en savoir un peu
plus sur vos projets ?

Quand j’ai écris cet article je développais un concept autour du
loisir vidéo, nous étions en négociation pour des droits de diffusions
et malgré la pression de nos partenaires nous n’avons pas voulu engager
d’argent avant de connaître les modalités imposées … deux ou trois
semaines après mon article nous avons appris que le montant de ces
droits ne rendaient pas le projet viable. Nous sommes tombé de très
haut. Mais j’ai refusé de m’en tenir à cet échec, ayant des projets
plein la tête il m’a fallu une semaine pour me relever et repartir avec
mes associés. Du coup je me retrouve dans l’univers internet que j’ai
presque quitté il y a quelques années et nous développons un site
e-commerce basé sur des concepts 2.0. Pour le moment nous recherchons
encore l’agence de développement qui saura nous taper dans l’œil ainsi
que des fonds pour concrétiser cette construction, il reste encore pas
mal de travail donc.

La minute patrimoniale : Faites votre bilan patrimonial – 4ème partie : bilan prévoyance

Yves_gambart_de_lignieres
Par Yves Gambart de Lignières (chroniqueur exclusif) – Conseil Financier et Conseil en Gestion de Patrimoine Indépendant

Après avoir établi un bilan actif/passif de votre patrimoine et un point sur vos flux actuels et à venir, vous devez vérifier si vous êtes bien couverts sur les aléas de la vie.

Suivent les principaux risques de la vie et les contrats de prévoyance qui peuvent vous en protéger :

1. La maladie. Il s’agit de faire face aux dépenses liées à votre santé : consultations de généraliste ou de spécialiste, pharmacie, optique, dentaire, hospitalisation…  Si vous êtes salarié, étudiez la mutuelle proposée par votre entreprise pour valider, tout de même, qu’elle correspond bien à vos attentes.

2. L’invalidité et le décès. Ces risques sont souvent assurés dans un même contrat soit pour une durée limitée (assurance temporaire), soit pour toute la vie (assurance vie entière). Ainsi, en cas d’invalidité « absolue et définitive » ou en cas de décès, un capital (parfois majoré en cas d’accident) ou une rente vous est versé ou est versé à votre conjoint (rente conjoint) et/ou à vos enfants (rente éducation), par exemple, jusqu’à leurs 25 ans.

3. L’incapacité de travail. Ce risque est souvent négligé alors qu’en cas d’arrêt temporaire de travail, il peut être indispensable, surtout pour les professions libérales et autres indépendants, de bénéficier d’un maintien partiel ou total de leurs revenus. Comme l’ensemble des garanties, son coût sera fonction de l’âge de l’assuré et de la franchise choisie (nombre de jours : 30 / 60 / 90 … à partir desquels cette garantie est mise en place).

4. La dépendance. Dans ce cas, l’objectif est de protéger son cercle familial face au surcoût généré par le vieillissement (infirmité, maladie psychique…).

Chapitre 9 : C comme Commédiologie et Création

Thebaut_didier
Par Didier Thebaut (chroniqueur exclusif) – Fondateur de joujou de Paris

Outre le fait de partager la même
initiale, la création et la commédiologie font partie intégrante d’une même
logique.
Effectivement, sans création pas
de commédiologie et sans commédiologie, peu de création. 

Tout d’abord, au commencement de
tout il y a l’imagination.
Sans
imagination, pas de création. Et qu’est-ce que l’imagination, sinon la remise
en cause des certitudes. Non, la terre n’est pas plate. Non, l’homme ne descend
pas d’Adam et Eve. Et non, ce n’est pas en travaillant plus qu’on gagne plus
(esclaves aux US, mineurs en France, farmers en Chine…).

Ensuite, il faut une vision qui
n’est autre qu’une hypothèse que l’on doit développer.

Puis, enfin vient la conviction qui
va faire que de l’hypothèse on va passer à la théorie.

Par exemple, je pars du postulat que
la lettre principale pour le marketing n’est pas le P, mais le C
. Et ensuite, je le prouve en étayant ma thèse.

Les 4 C du marketing = contenu, coût,
chalandise et communication.

Les 5 C du choix des indicateurs =
Consistance, contexte, crédibilité, continuité, clarté.

Les 3 C  de la négociation = consulter, convaincre, conclure

Les 3 C du pouvoir = compromettre,
corrompre, coucher 

Ou encore le cul, le cul, le cul  ou bien : le cash, le cash, le cash.

 Pendant que j’y pense, et c’est
d’ailleurs ce qu’on reproche en ce moment à notre bien aimé président, il est
indispensable d’habiter la fonction. Il faudrait qu’il retrouve vite son masque
de président pour retrouver de meilleurs sondages. Au regard de sa visite au
salon de l’agriculture et de sa démonstration sur le civisme, ça semble
compromis…(encore cette lettre C comme civisme et…con).

A la découverte de créateurs engagés … Hélène et bilum

Watine_violette
Par Violette Watine (contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio

Découvrir une nouvelle manière de consommer, partir à la rencontre de créateurs d’entreprises engagés fait partie de l’esprit Mademoiselle Bio. Partager leur passion vous donnera peut-être envie d’agir, vous aussi. Aujourd’hui, partez à la découverte des sacs et accessoires bilum et surtout d’Hélène, leur créatrice.

Hélène est un petit bout de femme sacrément passionnée. C’est la fondatrice de bilum.
Elle crée des sacs et accessoires à partir de bâches publicitaires
géantes recyclées et les fait confectionner par des structures dites «
sociale ou solidaires ». Cela fait bientôt un an que nos chemins se
sont croisés. Immédiatement, j’ai été touchée par ses créations uniques
et par sa franche personnalité. Du coup, j’ai eu envie de lui donner la
parole.