Envie d'entreprendre

Management : le Discernement

Dureau_laurent
Par Laurent Dureau (contributeur) – Impulseur Booster en Capital Humain


Bourré d’énergie et plein de bonnes intentions
,
l’entrepreneur surtout s’il est novice va vite apprendre à ses dépends
que tout ce qu’on lui dit n’est pas à prendre au pied de la lettre.

Dans ce parcours inhabituel, chaque acteur voulant vous aider est convaincu de la justesse de ses propos
et vous en bon élève vous allez gober quelques couleuvres qui vous
donneront  soucis et tracas avant leur complète évacuation de votre
univers.

Eh
bien oui, aussi convaincu et convaincant que peut être votre donneur
d’infos, il vous faudra systématiquement détecter le bon du mauvais, le
vrai du probable afin de mesurer les risques que vous prenez.

L’info sera toujours "teintée" commercialement
par votre interlocuteur qui a intérêt à faire du business avec vous.
Ceux qui sont "agréés" du type experts-comptables, juristes ou
banquiers sont les plus redoutables car forcément, d’une manière ou
d’une autre, ils vous tiennent par les "précieuses". Pour eux, vous
n’êtes qu’un poisson rouge coincé dans un aquarium.

Pour les autres "conseillers" de tous poils, naturellement on est
plus chatouilleux et il est plus facile de détecter les dérives qui
pourraient nous nuire. Cependant, il y a des professionnels très
aguerris qui apparaissent et disparaissent de votre champ de vision à
la vitesse de la lumière, juste  le temps de commettre leur larcin.

Personnellement, je les range dans la catégorie des PV de
stationnement. Malgré tous vos efforts pour ne pas en prendre une,
statistiquement vous savez qu’il vous faut y consacrer un certain
budget mensuel avec lequel vous vous arrangerez.

Là où le discernement devient le plus vital c’est quand il faudra signer un contrat vous engageant. Cela va de la signature d’un CDI, d’une assurance ou d’un contrat de partenariat.

Mondialisation, outsourcing et entrepreneuriat

Tripoli_jeremy_2
Par Jeremy Tripoli (contributeur exclusif) – Entrepreneur en Chine

La mondialisation de l’économie et le développement d’internet vont complètement bouleverser le travail et notre façon de vivre.  C’est la thèse développée par Thomas Friedman, dans son livre « The World is Flat ». D’autres auteurs ou entrepreneurs à succès ont mis en lumière ce phénomène :

· Tim Ferris est un exemple concret, reflétant parfaitement les idées de Friedman. C’est l’auteur du best seller « The 4 Hour Work Week ». Il est Américain, a monter un business sur internet et vie désormais de manière « nomade », voyageant partout dans le monde et gérant son entreprise à distance.

· Ces changements ont  été perçus par Jacques Attali dans son livre « Brève Histoire de l’Avenir ». De plus en plus d’individus auront une vie similaire à celle de Tim Ferris : une entreprise gérée à distance, permettant de vivre dans n’importe quel pays en fonction de ses priorités (attrait pour un continent en particulier, payer moins de taxe…).

Il y a un élément clés qui transparaît dans ces livres et expériences : l’outsourcing. Concrètement, qu’est ce que c’est et comment un entrepreneur peut en profiter ?

La vie des entrepreneurs : Interview de Nicolas Goldstein

Favory_delphine
Par Delphine Favory (contributeur) – Responsable Marketing et Commercial

Nicolas Goldstein, responsable et concepteur du site capital-risqueur.tv, nous confie sa vision de l’entreprenariat et nous parle de son projet.

1/ Première création d’entreprise à 19 ans, 5 entreprises
créées en 10 ans : c’est quoi, pour vous, être entrepreneur ? Qu’est-ce
qui vous anime, vous attire dans la création d’entreprise ?

Je pense que je suis un entrepreneur inné. Depuis mes 18 ans, je
crée des sociétés et je suis mon propre patron. J’ai eu l’opportunité
d’être soutenu dans mes actions et encouragé par ma famille, c’est
important. Créer sa société est loin d’être facile, surtout lorsque
l’on est seul. Régulièrement, on se demande si on fait le bon choix…
surtout quand les factures arrivent, les taxes, les cotisations
retraites et autres frais… alors que vous ne gagnez pas encore
d’argent….

Ce qui m’anime est la passion de réussir, la créativité et la liberté d’entreprendre.

2/ De toutes ces expériences entrepreneuriales que retenez-vous ?

L’expérience et le réseau sont les éléments les plus importants pour
entreprendre. Chaque jour on apprend. En tant qu’entrepreneur, on a le
droit de se tromper mais l’obligation d’apprendre de ses erreurs.
Rencontrer des hommes de grand talent me permet d’avancer et de me
donner un challenge : celui de suivre leurs traces. Chaque jour, je
pense être meilleur.

3/ Avec le recul, quelles ont été vos principales difficultés ? Qu’auriez-vous fait différemment sur vos premières expériences ?

Je me suis lancé très jeune, sans expérience, et j’ai dû tout
apprendre au fil du temps… peut être aurai-je dû commencer ma vie
active dans une société et apprendre avant de me lancer ? …Finalement
je ne regrette rien, et aujourd’hui à 29 ans, j’ai 10 ans d’expérience
professionnelle et un réseau assez important qui me permettent
d’avancer.

Faites-vous connaître grâce à l’approche « EVA »


Par Jean-Pierre Lauzier (contributeur) – Conférencier, formateur, expert-conseil

Un des plus grands défis que vous avez à relever, en tant qu’entreprise qui veut progresser, consiste à augmenter votre clientèle. Or, il est notoire que la première étape à franchir pour avoir de nouveaux clients réside dans le fait qu’il faut vous faire connaître. Il est bien évident que si l’on ne vous connaît pas, il y a très peu de chances que l’on achète de vous.

Si, comme tout le monde, vous utilisez les canaux traditionnels tels que les annonces dans les journaux qui vantent les mérites de vos produits, les pamphlets qui décrivent vos produits et services, le réseautage d’affaires qui parle de vous ou encore les pages jaunes qui font connaître le nom de votre entreprise, il est fort probable que vos ventes augmenteront, mais probablement pas au rythme où vous le souhaiteriez.

Devant cette réalité, existe-t-il une recette magique qui veut que, lorsqu’on l’applique, vos ventes explosent automatiquement ? Malheureusement, il n’y a pas une telle recette sinon tout le monde la copierait tout de suite et il s’ensuivrait que, très rapidement, son bon fonctionnement diminuerait parce qu’elle ne serait plus différente.

Les logiciels sociaux, de nouveaux médias ?

Bruno_salgues

Par Bruno Salgues (chroniqueur exclusif) – Enseignant chercheur

Les logiciels sociaux n’ont pas une histoire récente….

Petite histoire des logiciels sociaux

Les logiciels sociaux ont été décrits dès les années 50 dans la littérature informatique théorique. Le point de départ du développement de ces logiciels serait l’Université d’Oregon, en 1971. Sur le campus de cette université, un système généré par les usagers avait été construit pour promouvoir le campus, et en faciliter l’accès et l’usage, en particulier pour les déplacements. Le terme « User Generated Concept » est ainsi né. Cependant, les théoriciens de ces logiciels, Bela H Benathy et Rob Kling notamment, se sont refusés longtemps a utiliser ce terme.

Le CSCW (Computer Supported Cooperative Work ou Travail Coopératif Soutenu Par Ordinateur) est présenté comme une solution à l’échec de l’intelligence artificielle, observé pendant les années 70 et 80. Ce concept vise à mettre les cerveaux en commun pour rendre l’Homme plus puissant.

Rob Kling a donné, en 1980, une définition de la socio-informatique ou de l’informatique sociale. “L’informatique sociale se rapporte au coeur de recherches et d’études qui examinent des aspects sociaux de l’automatisation, comprenant le rôle des technologies de l’information dans le changement social et d’organisation et les manières dont l’organisation sociale des technologies de l’information est influencée par des forces sociales et des pratiques sociales. L’informatique sociale inclut les études et d’autres analyses qui sont appelées les impacts sociaux de l’informatisation, l’analyse sociale de l’informatisation, les études de communication médiatées par des système d’information (computer-mediate communication ou CMC), la politique de l’information, le thème informatisation et société, l’informatique d’organisation, l’informatique interprétative, etc… ». Plus tard, les auteurs feront évoluer cette terminologie vers la notion de « User Generated Concept ».

“Quand les grandes écoles entreprennent” : Quand les grandes écoles sollicitent la générosité des entreprises

Teillet_antoine
Par Antoine Teillet (chroniqueur exclusif) – Journaliste spécialisé grandes écoles

Ceux qui suivent l’actualité de l’enseignement supérieur n’auront pas manqué le passage de la loi relative aux « Libertés et Responsabilités des Universités » dite aussi loi LRU ou loi « Pécresse » qui permet notamment aux universités de créer des fondations universitaires et partenariales (article 28).

Ce passage est d’importance. Il signifie en effet pour les universités une nouvelle possibilité d’augmenter leurs revenus. En allant chercher l’argent ailleurs que dans les circuits habituels. Face à des pouvoirs publics aux moyens désormais limités, la solution passe par les entreprises ou les donateurs privés. Les grandes écoles ont déjà une large avance dans le domaine puisque voilà déjà quelques années –voire quelques décennies– qu’elles ont déployé de gros efforts en direction des entreprises.

Je pense par exemple à l’Insead qui a récemment bouclé une levée de fonds de 194 millions d’euros. Je pense à HEC dont la Fondation a été lancée dans les années 70 et rénovée en 1991 et qui compte bien aller chercher 100 millions d’euros de revenus privés d’ici 2010. Je pense à Polytechnique qui a annoncé ces jours-ci une levée de fonds de 25 millions d’euros, l’école ayant déjà collecté de manière officieuse une douzaine de millions l’an passé. Une somme très importante en un laps de temps si court.

Ce genre de démarche ne signifie en rien une perte d’indépendance pour ces établissements. Aujourd’hui, les institutions d’enseignement supérieur sont à l’écoute des entreprises, c’est un fait. Elles tiennent compte de leurs besoins, elles adaptent leurs formations, mais prouvent que de telles relations de proximité sont possibles sans s’inféoder au grand capitalisme. Si la sphère économique est souvent représentée dans les instances des grandes écoles, si les associations de diplômés de ces institutions y sont très influentes, ces établissements proclament tous leur volonté de rester indépendants et y arrivent de manière générale. Il est de toute façon évident qu’elles seraient mortes ni elles ne faisaient que se placer à la remorque de quelques grands groupes. Si HEC ne faisait que suivre sans aucune réflexion les besoins du CAC 40, serait-elle N°1 en Europe depuis trois ans selon les classements du Financial Times ?

Comment gérer votre réputation en tant que professionnel ?

Zara_olivier
Par Olivier Zara (contributeur) – Fondateur d’Axiopole

Les systèmes de gestion de la réputation propres à chaque site de e-commerce (eBay, PriceMinister,…) aident les vendeurs et les acheteurs à mieux se faire reconnaître en tant que « bon vendeur » (qui livre dans les délais le produit commandé) ou « bon acheteur » (qui paye ce qu’il a commandé).

Les freelances disposent de nombreux sites spécialisés pour les mettre en relation avec des clients. Par exemple, sur Odesk, espace dédié aux informaticiens, chaque mission est évaluée sur plusieurs dimensions avec un système d’étoiles (1 à 5). Cela permet une évaluation de la réputation des freelances.

Mais, en dehors de ces cas particuliers, comment évaluer la réputation d’un professionnel ?

Depuis bien longtemps, les recruteurs et employeurs évaluent la réputation d’un professionnel à partir de ses références et de leurs recommandations (orales ou écrites du type lettre de recommandation)

Après un entretien, ces 2 éléments permettent à un recruteur de
valider son ressenti vis-à-vis d’un candidat et d’approfondir des
aspects du parcours ou de la personnalité du candidat. Ils donnent des
indications précieuses sur sa réputation.

En tant que professionnel, il est donc très important de gérer
efficacement et activement vos références tout au long de votre
carrière, et pas uniquement quand vous cherchez un emploi. L’enjeu est
de vous construire une réputation professionnelle durable.

C’est décidé, je crée ma boite ! Episode 32

Par Bart (contributeur) – Entrepreneur

14 juillet 2006
– London’s calling

Qui a dit que j’étais toujours en vacances ??? Pendant que vous êtes tous affalés sur votre canapé, pas loin d’un ventilo, à regarder le défilé du 14/7 ou le Best Of des plus beaux coups de tête du Mondial 2006 (dans les 2 cas des crétins en uniformes, largement trop payés pour ce qu’ils foutent), moi je bosse.

Je suis à Londres pour rencontrer les 2 nouveaux contacts chez mon plus gros client
(décidémment c’est la période. Mes 2 contacts chez mes 2 gros clients
ont décidé de partir à 15 jours d’intervalle). En l’occurence, 1 femme remplacée par 2 gars (vive la parité !) : un italien et un allemand. On a parlé foot mais pas trop. Le sujet est encore un peu chaud

L’aller-retour dans la journée. 6 heures d’Eurostar plein de touristes. Chouette !

Soyez (au moins) aussi compétents que vos clients

Hk03
Par Henri Kaufman (chroniqueur exclusif) – Président de Communider – Agence de Marketing

Légende photo : Entrez donc, cher client !

Aujourd’hui, les clients passent de plus en plus de temps à se renseigner quand ils ont, « quelque part en tête », l’idée de procéder à un achat. Il veulent o p t i m i s e r  cet achat avant de passer à l’acte.

Ils peuvent le faire (et y prendre un certain plaisir…), puisqu’ils ont désormais accès à des outils ultra-puissants :

– Comparateurs de prix en temps réel, dans tous les domaines : appareils électroniques, compagnies aériennes, voyages, habitat, jouets, fournitures de bureau, etc…

– Recueil des appréciations et commentaires de clients qui ont déjà choisi la même marque et/ou acheté un produit comparable

– Notices techniques avec, point par point, des tableaux comparatifs extrêmement complets.

Ainsi,
ils ont sous les yeux toute l’information souhaitable au moment le plus
crucial, celui de la décision et du passage à l’acte. Ils peuvent aussi décider
du canal qui leur convient le mieux pour commander. Quitte à panacher,
c’est-à-dire se renseigner en boutique pour acheter ensuite sur catalogue ou
décortiquer les sites internet pour finalement acheter en magasin.

Ils
peuvent en outre se renseigner sur catalogue, vérifier les prix sur internet,
demander des infos au téléphone puis réclamer par courrier au service
après-vente. Cette démarche multi-canale augmente singulièrement la complexité
de l’achat… du côté du vendeur.

Bref, le client devient un
véritable expert marketing compétent !

Comment fixer des objectifs, les suivre et les contrôler efficacement

Par Nathanaël Ramos (chroniqueur exclusif) – Master Coach – Potentialis

Une fois, le projet d’équipe clairement établit, passons  à
la phase suivante: la fixation des objectifs.

Il ne suffit pas d’avoir des objectifs communs. Encore
faut-il avoir une vision et une dynamique partagées qui tiennent compte de
l’environnement  changeant.

Fondamentalement, il faut mettre l’individu en mouvement, le
faire avancer dans une direction.

L’inertie, c’est la mort. L’énergie c’est la vie.

D’où la nécessité de définir un objectif SMART
(Spécifique-Mesurable-Ambitieux-Réaliste-inscrit dans le Temps) ajouté à cela
qu’il doit être fun et écologique, c’est-à-dire connecté à ses valeurs.
L’objectif doit être formulé positivement.

En déterminant un objectif chacun peut vérifier sa propre
contribution à l’ensemble.

La négociation de l’objectif est un outil dans le management
contractuel. Si l’objectif n’est pas négociable, il est important pour
s’assurer l’implication du collaborateur de lui laisser le soin de valider les
points-clés (délai, moyens…).Négocier un objectif avec ses équipe, c’est
accepter d’échanger, c’est développer son influence et donc son leadership pour
atteindre un objectif ambitieux. Il ne s’agit pas de contraindre mais plutôt de
susciter l’implication de tous.

Vous avez réussi à partager votre vision, négocier les
objectifs avec votre équipe, élaborer un plan d’action. Maintenant place à la
gestion au quotidien et c’est là que vos collaborateurs verront vos qualités de
managers s’exprimer afin de les guider. Bref, c’est la manière dont vous les
piloter qui fera de vous un manager d’exception. Toute votre crédibilité se
construit au jour le jour.

Créer un e-commerce en milieu rural (2)

Par Benoît – Entrepreneur

La deuxième et principale difficulté de la création d’un e-commerce basé à la campagne est le rapport spatio-temporel. Quand vous êtes dans un petit village de l’Aveyron, deux dimensions essentielles cohabitent : l’espace et le temps. Même si ces deux dimensions sont étroitement liées, elles ont aussi chacune leurs spécificités.

Pour commencer le rapport au temps n’est absolument pas le même que dans une grosse métropole. Pas de bouchons, pas de métro, aucun évènement extérieur ne vient vous mettre la pression. Rien ne vous oblige à courir et tout vous invite à ralentir.

Créer un e-commerce en milieu rural (1)

Par Benoît – Entrepreneur

Je n’ai pas choisi de m’expatrier à la campagne pour créer ma boutique en ligne. C’est plutôt l’inverse qui s’est produit. J’étais déjà à la campagne lorsque j’ai envisagé de lancer Look-zippy. Je ne me considère pas comme un néo-rural (vous remarquerez au passage, comment le terme de néo rural est passé de mode), mais comme un expatrié de retour au pays.
Je suis un aveyronnais pure souche, enfin avec quelques origines du nord est de la France (du côté de l’Alsace), mais je suis né en Aveyron. Après plusieurs années passées en région parisienne, le pur hasard de la vie m’a ramené sur mes terres natales (merci le hasard). Je n’avais donc pas pour objectif initial de partir m’installer au vert pour monter ma petite boite de tee-shirts. C’est l’inverse qui s’est produit.

Depuis un peu plus de six ans, j’ai rejoins les vertes prairies de mon enfance pastorale. Aujourd’hui, je ne regrette rien, même si ce n’est pas tous les jours très simple.

Même si mon aventure n’a aucune valeur d’exemple, avec un peu de recul je peux partager mon petit retour d’expérience. Avec l’avènement des nouvelles technologies de l’information, développer un projet d’e-commerce à partir d’un petit village aveyronnais, relève t-il de l’utopie ou est ce une réalité tangible ? Quels en sont les avantages et les inconvénients ? Quelles sont les difficultés quotidiennes ? Je vais tenter de vous apporter mon propre éclairage.

Entreprendre en entreprise individuelle !

Ahmed
Par Ahmed Bariz (chroniqueur exclusif) – Conseil auprès de créateur d’entreprise

La forme juridique de l’entreprise à la lecture des
différents messages sur les forums apparaît être une préoccupation non
négligeable des créateurs d’entreprise.
En  effet, beaucoup de
créateurs  évoquent  souvent la question concernant le choix du
statut pour la création de leur entreprise. Faut-il opter pour l’entreprise
individuelle ou la société (Eurl, Sarl, SA) ?

Dans le cadre de la création de son propre emploi
(plus de 87 % des  créations
d’entreprise en 2007 sont sans salarié) l’entreprise individuelle apparaît être
une solution  intéressante.

Il est bien évident que s’il existe une volonté de
créer une entreprise à plusieurs, ou que le projet nécessite la mobilisation
d’investissement important, seule la forme sociétale apparaît la plus
appropriée.

Depuis quelques années et notamment depuis la loi
Dutreil de 2003, de nombreuses mesures sont venues renforcer l’intérêt de se
lancer en entreprise individuelle.

Nous pouvons mettre en exergue  6 points qui confortent le choix de l’entreprise individuelle.