Envie d'entreprendre

Vous avez besoin de conseils pour démarrer une boutique sur Internet ?

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Par Jean-Pierre Sintes – Entrepreneur

Comment je me suis lancé dans la création de www.laboutiquejaponaise.com….

Revenu d’un séjour au Japon les mains chargées de cadeaux, je me suis décidé un beau matin d’ouvrir une boutique d’articles japonais sur Internet.

Il ne s’agissait pas de reprendre les cadeaux pour les vendre. L’idée était plutôt de rendre accessible partout en France (pour commencer) des articles authentiquement japonais, introuvables en France ou pour certains, seulement à Paris.

Webmaster en parallèle à mon activité professionnelle, j’ai déjà conçu PassionJAPON.com, un site dynamique d’informations culturelles et Japonaisonline, un site de e-learning – projet dont j’aurai l’occasion de vous reparler ; le site est en refonte.
Après ces deux premières expériences, pourquoi ne pas récidiver avec un site de e-commerce me suis-je dit ?

Idée séduisante, mais par où commencer ?

Parcours de comm. Episode 2

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Par Jean François Legat – Consultant indépendant en communication

<p><p><p><p><p><p><p><p>Sans titre</p></p></p></p></p></p></p></p>

Alors cette nouvelle vie de salarié plan plan ?

Avant cela je décidais de prendre quelques temps de repos (mérités ??). Au programme ski, repos, visites des copains aux quatre coins de la France… Mais très vite la réalité revient au galop et les turpitudes administratives entre ANPE, ASSEDIC etautres se font pressantes.
Dois je vraiment vous obliger à lire mes luttes avec les ASSEDIC, qui me considérant comme ancien gérant refusent de m'indemniser ? Beaucoup trop long et ennuyeux. Mais après cinq mois de lutte acharnée, apprentissage complet du code général de l'indemnisation (au point de mieux le connaitre que les employés de cette administration), j'arrivais à leur démontrer que au vue de mes anciens "états de services, ils devaient remonter plusieurs années auparavant pour reprendre mes anciens droits avant d'avoir été gérant. En attendant, privé d'indemnisation pendant cinq mois, j'étais passé par la case RMI. Moralement assez dur.

D'un naturel combatif, je décidais de trouver un emploi dans le communication et/ou les nouvelles technologies, de préférence chez l'annonceur. Les agences j'en avais un peu trop usées. Je me lance dans les septentironels "activation de réseau", "stages de marketing emploi", tests de CV… Résultats, quelques entretiens, en agence (oui je sais je ne voulais pas), chez l'annonceur, au sein d'institutions… Mais pas de résultats probants, de bon feeling et toujours cette petite chose qui manque ou qui ne vas pas et qui "malgré tout l'intérêt de votre candidature…".
Résultat, dix mois et toujours pas de job.

Je décidais donc de lier l'utile (la recherche d'un job) à l'utile (l'alimentaire) et je dégotais une superbe mission d'intérim comme opérateur peinture dans un grand groupe de fabrication de pièces plastiques automobile.
Le but : travailler et ramener un peu d'argent la nuit (histoire que ma nouvelle chérie ne pense pas que je me fasse entretenir) et scruter les annonces et passer des entretiens le jour.
Expérience au demeurant sympa, qui m'a fait découvrir un autre monde, celui du travail de nuit. Une ambiance et un vécu qui font du bien et remettent beaucoup de choses à leur place et permettent de relativiser.

Mais au bout d'un moment, las des analyses fines des besoins de mon secteur, de la structure du marché caché de l'emploi, qui jusque ici n'avaient rien donné (ou pas grand chose), je décidais de me lancer dans une opération de grande envergure, de mass mailing, à la façon grande distribution. En fait, tout ce que vous déconseillent les spécialistes en recherche d'emploi. Mais bon là, il fallait agir.
L'opération fut alors aussi simple que fastidieuse : collecter un bon fichier d'adresses de sociétés œuvrant dans mon domaine de prédilection, saisir ce fichier (et oui je n'avais pas pu le récupérer en numérique pour l'essentiel), et, envoi de plus de 400 e-mails personnalisés un minimum.
Résultat, après avoir frisé l'explosion de ma boite mail, un coup de fil.