Ce principe de la philosophie KAIZEN nous explique bien « comment renforcer son management au quotidien ? »:
1. Avant d’agir, prépare un plan d’action
2. Avant de rédiger un plan d’action, il faut préparer les gens psychologiquement
3. Avant de préparer les gens, prépare-toi toi-même
4. Commencer toute action de perfectionnement par les leaders
Comment faire émerger et vivre dans une entreprise les potentialités qui s’y confrontent au mieux des intérêts collectifs et du développement de chacun ?
Comment accéder à un degré d’autonomie qui assure la croissance mais permet aussi de surmonter les crises… et les régressions ?
Comment vivre pleinement les responsabilités qu’apporte le pouvoir et que l’on assume dans la solitude sans s’interdire le doute et l’échange ?
Comment construire des lieux véritables de communication, d’analyse de ce qui bloque et de ce qui se transforme, dans les relations de travail ?
Le management ne peut pas faire beaucoup plus que présenter une structure où les personnes peuvent élaborer pour elles-mêmes cette forme grâce aux informations données et ainsi générer le processus relationnel permettant ouverture d’esprit, confiance, communication, expression de la parole… De ce fait, elles dépassent la forme en l’acceptant et ainsi accèdent au sens.
Quelques critères essentiels permettront à votre entreprise de se développer et de bien fonctionner :
A 20 ans, elle montait sa première boite, une agence d’hôtesses et de
mannequins spécialisée dans les évènements de prestige et la mode. Ce
qui ne l’a pas empêchée d’obtenir son diplôme d’architecte DPLG. Son
dernier projet en date ? Sistershopping, une boutique e-commerce spécialisée dans la vente d’accessoires de mode.
A la lecture de ses réponses et de son cv, j’ai retrouvé le
leimotiv qui a présidé à presque toutes les interviews des mamans
cyber-entrepreneuses : "Refus de retourner dans un rythme de vie
classique (horaires strictes / embouteillages …) – le web autorise le
travail en dehors des horaires de bureau et donne la possibilité de
concilier vie professionnelle et vie de famille."
Que dire de plus, sinon souligner au passage qu’Anne est une très
belle femme… Pour le reste, je vous laisse découvrir son interview !
Par Véronique Aboghé (contributeur) – Fondatrice de CoachingLeader et boosteuse de potentiel
Lors d’un coaching récent, j’ai eu à travailler avec un dirigeant d’entreprise qui avait quelques difficultés de communication avec ses équipes. "Je suis perçu comme étant trop froid, trop distant, trop abrupt" me confiait-il alors.
La suite du diagnostic confirma , outre un travail sur ses émotions, qu’il avait intérêt à prendre conscience du besoin de reconnaissance de ses équipes. En effet, pour s’épanouir dans son environnement social et communiquer, l’être
humain a besoin de signes de reconnaissance; il s’agit de signes
verbaux ou non verbaux, positifs ou négatifs qui sont nécessaires à la
survie psychologique de tout individu. Les stimulations reçues, participent notamment à la construction de l’estime de soi et de sa relation à l’autre.
Illustration:
Il existe deux types de stimulations: les conditionnelles et les
inconditionnelles. Chacune pouvant être positive ou négative comme
indiqué précédemment.
Ci-dessous, écoutons un manager faire un feedback à un collaborateur sur son travail :
"Georges, vous avez fait un bon travail. Simplement cette partie
du rapport est peu compréhensible pour quelqu’un qui découvre notre
activité.Il faut la refaire. Georges je tiens à vous dire que
j’apprécie beaucoup votre contribution. Vous apportez de la valeur
ajoutée à notre équipe".
Par Delphine Favory(contributeur) – Responsable Marketing et Commercial
Nicolas Basso est le co-fondateur de Metycea,
une jeune pousse française de l’internet dont la vocation est d’assurer
la création et l’édition de sites internet. Après plusieurs
collaborations sur des créations d’entreprises, il se lance à son tour
et nous raconte son parcours, de l’envie de créer à la réalisation du
projet.
1/ Comment vous est venue l’envie d’entreprendre ? A partir de quand, ou quel événement vous a encouragé à franchir le cap ?
Lorsque j’ai pu avoir l’opportunité d’échanger avec d’autres
entrepreneurs, j’ai toujours été curieux de connaître l’origine de leur
propre envie d’entreprendre. Et comme une majorité d’entre eux,
j’estime que mon attrait pour la création d’entreprises est inné.
Pour autant, dire que l’entrepreneuriat est inné ne revient pas
nécessairement à affirmer que l’on a toute sa vie été un entrepreneur.
Généralement, le temps et les expériences ont révélé ce trait de
caractère et tous les entrepreneurs se reconnaissent ensuite dans
l’idée qu’ils ont depuis longtemps été animés par cet état d’esprit.
Pour ma part, l’entrepreneuriat est en effet venu progressivement
durant ma scolarité à l’instar d’un éveil progressif. Evidemment, j’ai
des souvenirs très sélectifs de mon enfance ou de mon adolescence qui
pouvaient laisser présager une telle orientation mais je considère le
point de départ lors de mon cursus en Ecole Supérieure de Commerce.
Si je devais spécifiquement choisir un moment clé, je définirai comme
origine mon implication dans la constitution d’une EURL en 2002. Depuis
cette première expérience forte, je n’ai eu de cesse d’avancer vers le
cap de l’entrepreneuriat.
Je l’ai aujourd’hui franchi en début d’année 2007 en me focalisant sur
la création de la société Metycea – agence de création et d’édition de
sites internet.
2/ Entrer dans une démarche de création : est-ce que ça
change la vie, le quotidien, les préoccupations, la vision de
l’entreprise, le regard ou le comportement de son entourage… ?
comment ? pourquoi ?
Tout à fait !
A mon goût, l’entrepreneuriat entraîne nécessairement une confusion des
sphères personnelles et professionnelles.
Mon quotidien personnel est aussi celui de la création d’entreprise. Du
matin au soir et tous les jours sans distinction. Je n’exprime pas de
difficultés à finir mes journées durant les nuits ou à finaliser un
document le dimanche…
Je ne nie pas que cela soit parfois délicat mais je ne regrette rien
car chaque journée a ce nouveau goût de liberté et apporte en plus son
lot de plaisir.
Avec un tel investissement, la vision de l’entreprise se modifie en
conséquence. On a le sentiment de passer de l’autre côté du rideau avec
les responsabilités qui sont celles d’un entrepreneur.
J’ai personnellement beaucoup de sympathie pour les chefs d’entreprise,
qui, on l’oublie trop souvent, sont aussi d’anciens salariés.
Gérer une entreprise vous permet d’avoir un regard transverse et aide
aussi à mieux comprendre ce qu’ont pu vivre vos anciens employeurs.
La vision de l’entreprise devient donc peu à peu plus globale.
Enfin, le regard des autres, même s’il peut changer, dépend beaucoup
de la façon dont vous communiquez avec eux.
J’ai beaucoup échangé sur ces sujets avec ma famille et mes proches qui
m’ont vu murir au fur et à mesure. Leur soutien m’a parfois été
essentiel, surtout dans la phase d’amorçage.
Par Vincent Colot(chroniqueur exclusif) – Analyste financier
Depuis l’essor de l’Internet, l’information financière est présente, partout, tout le temps. Mais, même s’il a de nos jours accès, gratuitement ou à faibles coûts, à des bases de données jusqu’il y a peu réservées aux professionnels, le petit actionnaire se sent souvent laissé pour compte dans un domaine précis. Au-delà des résultats publiés régulièrement (au mieux, tous les trimestres), il aimerait souvent en effet plus d’informations de qualité en provenance des entreprises dont il détient des parts du capital.
La situation
Certes, il existe les assemblées générales où les actionnaires peuvent se faire entendre et poser leurs questions. Mais elles sont, par définition, rares et pas toujours commodes d’accès. Sur Internet, les forums de discussions entre investisseurs existent bel et bien mais la qualité est inégale et la crédibilité des intervenants douteuse. Quant aux sites officiels des entreprises, ils comprennent généralement une section dédiée aux investisseurs avec une foire aux questions (en anglais FAQ ou "Frequently Asked Questions") et une possibilité offerte d’envoyer des questions au responsable des relations avec les investisseurs. Pour les particuliers, ces sources d’informations sont surtout utiles pour des renseignements à caractère technique ou administratif (date de versement d’un dividende, modalités d’une division d’actions, etc.) : il serait vain d’en attendre des réponses OBJECTIVES par exemple quant à la qualité des derniers résultats ou encore la pertinence d’un investissement en cours.
Par Laurent Samuel (chroniqueur exclusif) – Consultant secteur associatif
Dans cette curieuse affaire de possibles détournements de fonds aux
dépens de SOS Racisme et de la FIDL, deux associations régies par la
loi de 1901, il paraît encore un peu tôt pour jeter la pierre à qui que
ce soit.
Pourtant, je voudrais ici revenir sur les propos tenus par Me
Dominique Tricaud, l’avocat de SOS Racisme, selon qui «L’argent n’a pas
été détourné de sa destination et personne n’a volé un centime ; après
ça, que sur les règles de la comptabilité, [ces associations] soient nullissimes, je suis tout
prêt à le croire.»
A travers ces propos, on voit s’esquisser une ligne de défense,
consistant selon les termes d’un article de Libération à plaider le
"bordel interne", avec le discours implicite que ces associations
seraient trop absorbées par leur action au quotidien, pour gaspiller
leurs précieuses ressources humaines à mettre en ordre leurs affaires
et tenir leurs comptes à jour.
Il ne m’appartient pas de porter un jugement sur l’efficacité de
cette ligne de défense ; en revanche les propos tenus par l’avocat de
SOS Racisme interpellent tout le monde associatif et nécessitent à mon
sens une mise au point.
L’association 1901 n’est pas une zone de non-droit
Dans l’imaginaire collectif, les structures régies par la loi de
1901 échappent à la plupart des règles de droit. On continue par
exemple de voir des créateurs d’association qui choisissent d’adopter
cette forme juridique pour échapper aux impôts commerciaux, ne pas être
obligé de verser des cotisations sociales sur les salaires et tout cela
avec l’espoir de bénéficier de subventions publiques. Cette idée fausse
alimente d’ailleurs une forme de "racisme" à l’égard des organismes à
but non lucratif, qui se perçoit aisément dans les commentaires à
propos de cette affaire ; les associations pratiqueraient
systématiquement la concurrence déloyale et seraient un lieu de gabegie
et d’impunité généralisées, où tout est permis et rien n’est sanctionné.
Par Valérie Weill (chroniqueur exclusif)– Consultante et accompagnatrice en création/développement d’entreprise
Depuis quelques temps, on s’intéresse de plus en plus en France au phénomène des Mompreneurs, c’est-à-dire des mamans entrepreneuses. Qu’est-ce qui pousse donc des mamans, la plupart du temps salariées, à plaquer leur boulot parfois très confortable pour créer leur propre business tout en conciliant en même temps leur vie personnelle et leurs enfants à éduquer ? Et bien, il y a plein de raisons, en voici quelques unes :
– le syndrôme du placard au premier ou au deuxième enfant, car l’entreprise pense alors que la maman ne peut plus suffisamment se rendre disponible, qu’elle sera moins mobile, moins impliquée, plus tiraillée entre son rôle de mère et de salariée,… Or, le lancement officiel à l’Assemblée Nationale de l’Observatoire de la parentalité en entreprise, www.observatoire-parentalite.com , ne date jamais que du 20 Novembre 2008 et ne compte encore que 70 entreprises signataires de la Charte de la parentalité : c’est dire si nous en sommes sur ce plan qu’aux balbutiements…
– l’envie de se réaliser personnellement et de donner un sens à sa vie, la volonté de créer utile – et ce sans sacrifier sa vie personnelle au détriment du professionnel,
– l’envie de relever un challenge et de se montrer ainsi qu’à son entourage – ses capacités à entreprendre, à prendre des risques, à suivre un projet et à le concrétiser,
– l’envie de pouvoir organiser son temps et de le gérer mieux qu’avant. Par exemple lorsque l’on était salariée et que l’on priait pour que le suppo de Doliprane donné le matin avant de partir à la crèche suffise jusqu’à 18 heures – et que la crèche n’appelle pas en pleine journée pour vous demander de venir récupérer votre enfant malade… Car trop rares encore sont les crèches qui appellent les papas dans ce cas de figure bizarrement…
– l’envie de pouvoir créer son propre emploi et de créer ou développer son indépendance financière – même si bien sûr celle-ci n’est pas immédiate au démarrage, cela reste tout de même l’objectif de la grande majorité des créatrices d’entreprise,
– l’envie de suivre une passion mise de côté depuis longue date, un hobby ou bien une dextérité pour créer des objets, pour dessiner, créer, etc, que l’on a étouffée pendant de longues années derrière des études et un job “bien comme il faut”…
– l’envie de mettre à profit l’énergie créatrice très forte ressentie par de nombreuses mamans, qui se sentent pousser des ailes au moment de leur grossesse et de la naissance de leurs enfants et qui en même temps prennent du recul sur ce qu’elles veulent vraiment de leur vie pro et perso,
– …
Bref, des raisons de passer le cap de la création d’entreprise lorsqu’on est maman – salariée ou non – il y en a beaucoup !
Ainsi plusieurs articles de presse et même des reportages télés ont été consacrés dernièrement à ce sujet, qui attise assez la curiosité des médias. Ceux-ci semblent d’ailleurs partagés entre pour certains le désir de montrer des femmes chefs d’entreprise aux success stories rutilantes – mais qui qui ne sont pas très représentatives de la majorité des Mompreneurs – et pour d’autres le désir de montrer des mamans entrepreneuses “typiques” qui jonglent de manière plus prosaïque et plus réaliste entre gestion de leur entreprise à la maison, enfants et vie personnelle…
Personnellement, j’accorde plus de crédit aux mamans entrepreneuses “typiques” – dont je fais partie et que je connais très bien pour les accompagner au quotidien dans leurs projets de création d’entreprise, car je trouve particulièrement intéressant de souligner leur capacité à se débrouiller et à être les championnes de “l’esprit du garage” pour démarrer leur petite entreprise.
Qu’est-ce que j’entends par championnes de ”l’esprit du garage” ? Et bien, c’est un mélange de différentes choses, comme par exemple :
Par Delphine Favory(contributeur) – Responsable Marketing et Commercial
Fondateur de www.statutsonline.com,
Gérard Robeau nous raconte son parcours de plus de 30 ans
d’entreprenariat, les changements majeurs qu’il a connu en tant que
créateur, et se prête au jeu du "si j’étais… secrétaire d’état aux
petites et moyennes entreprises …"
1/ Vous avez un parcours de créateur riche, avec plusieurs
entreprises à votre actif : Comment devient-on un serial entrepreneur ?
Qu’est-ce qui, tout au long de ces années vous a motivé pour créer des
entreprises et vous a fait avancer ?
J’ai créé ma première entreprise à 20 ans et au cours des dernières
36 années, j’ai créé un certain nombre de sociétés. Chacune
correspondait à un besoin ou une continuité de la première.
Par exemple:
La première est une société de commercialisation immobilière (1) ,
Ensuite une agence d’administration de biens et de syndic de copropriétés (2) pour gérer les biens vendus par la 1,
Puis une d’entretien et de nettoyage d’immeubles (3) dont le donneur d’ordre est le 2,
Puis une société de promotion immobilière (4) pour alimenter la 1,
Puis une société de construction (5) pour construire ce que la 4 a besoin…….
Toutes les entreprises que j’ai créé m’ont fait avancer et m’ont
apporté une nouvelle motivation par la curiosité des spécificités liées
à chaque métier. Mais pour moi, la véritable réussite est qu’après
avoir fait naître, puis développé une entreprise, c’est de la céder à
un nouvel entrepreneur, et que ce nouvel entrepreneur vous accueille
avec un grand sourire chaque fois que vous le rencontrez.
2/ Concrètement, qu’est-ce que pour vous l’entreprenariat ?
Avoir une envie permanente d’apprendre, de construire et une prise de risque calculée (tant financière qu’humaine)
3/ Que doit attendre un porteur de projet de la création d’entreprise ?
Question saugrenue ! En effet, on n’attend rien de la création
d’entreprise.
On crée une entreprise parce qu’on a un projet.
Si un porteur de projet s’imagine qu’il suffit de créer une entreprise
et que se nommer patron va lui permettre de réussir, alors il vaut
mieux qu’il ne crée pas.
4/ Qu’est ce que vous feriez de différent dans un prochain projet de création d’entreprise ?
Vu mon grand âge, il serait intelligent de prendre enfin des
vacances, histoire de voir ce qui peut se faire ailleurs afin
d’apporter des idées nouvelles aux jeunes entrepreneurs.
Par Patrick Rey (chroniqueur exclusif) – Consultant, Délégué Régional du Groupe ITG
Il est commun de dire que le portage salarial permet de tester son activité, avant de créer son entreprise. On entend également souvent dire que c'est une solution de transition, avant d’autres développements professionnels, ou avant la retraite, pour les salariés licenciés, par exemple. Alors, comment expliquer que plus de 30% des “portés” chez ITG ont plus de 3 ans d’ancienneté ? Pourquoi ces personnes restent-elles en portage. Quels avantages y trouvent-elles ?
Tester son activité, développer sa clientèle, perfectionner ses méthodes, élargir son réseau, ce sont quelques-uns des objectifs des nouveaux entrants. Pour les personnes qui n’avaient pas imaginé créer leur propre emploi, il est bien normal de chercher une couveuse pour faire éclore son projet dans les meilleures conditions. Un certain nombre de structures s’y consacrent, depuis les Coopératives d’Activité et d’Emploi jusqu’aux plus importantes sociétés de portage salarial. En échangeant avec d’autres porteurs de projet, en bénéficiant des conseils, de l’expérience et des moyens de formation de ces structures, ces personnes se confrontent avec la réalité du marché.
Pour les CAE, il s’agit surtout de se cibler sur le marché local, notamment pour les activités de service de proximité ou par exemple pour tout ce qui est artisanal ou de type manuel. Pour les principaux acteurs du portage salarial, il s’agit du marché de la prestation intellectuelle, dans lequel le côté local a peu ou pas d’intérêt. Le professionnalisme des métiers du conseil, de la formation ou de l’expertise fonctionnelle réclame des moyens et des équipes habituées à ce type d'accompagnement.
Au bout d’un an ou deux, on observe différents cas de figure :
• la personne n’a pas réussi à devenir autonome ; c’est là que la taille de la structure, la qualité du réseau, les moyens de formation et d’accompagnement font la différence pour rebondir, en remettant à plat son projet, sans doute mal défini au départ, ou mal évalué pour des raisons endogènes et/ou exogènes,
• la personne a préféré reprendre un emploi salarié, à l’issue d’une mission chez un client, ou d’une opportunité saisie lors d’une action commerciale ou de réseau,
• la personne a trouvé ses marques, tant d’un point de vue métier que financier ; elle peut “voler de ses propres ailes”.
C’est alors que l’alternative se présente : soit créer son entreprise, soit continuer en portage. Même si elles semblent opposées, ces deux options se ressemblent beaucoup. C’est ce que j’observe de plus en plus. Car, pour durer, dans les deux cas, il faut une même envie d’entreprendre, une même offre de service bien “packagée”, un même sens de l’économie des moyens, une même orientation vers l’action, et une claire perception des éléments de base de gestion de son activité.