Par Violette Watine(contributeur) – Fondatrice de Mademoiselle Bio
Lancée en Septembre 2005, Machja
est une jeune marque. Catherine Soundirarassou, co-fondatrice, a voulu
proposer une mode sexy et tendance tout en étant socialement
responsable. Je vous laisse découvrir sa démarche !
Comment as-tu démarré ton
activité (un produit, un pays et une communauté, une variété de
produits et de communautés …) ? Pourquoi ?
Dans un premier temps, nous avons lancé un T-shirt. Nous n’avions qu’un
produit, le T-shirt, pour assurer un minimum de volume à l’atelier
production. Créé il y a 7 ans, cet atelier est l’initiative d’un
couvent en Inde. Les sœurs s’occupaient de jeunes filles dans le Kerala
puis à l’âge adulte les jeunes filles partaient du couvent sans avenir
professionnel. Donc, l’atelier de production leur permet de les
accompagner dans leur vie professionnelle. Ils ont maintenant déménagé
dans la région textile. Leurs premiers acheteurs ont été des étrangers
et ont spontanément fait du commerce équitable. Même s’il y a 7 ans
cette notion de commerce équitable n’était pas aussi médiatisée. Peu à
peu, leur carnet de commande s’est rempli et ils ont recruté de plus en
plus. Elles sont maintenant 200 personnes à travailler dans cet atelier.
Par Olivier Zara(contributeur) – Fondateur d’Axiopole
La sécurité de l’emploi, le temps où on pouvait faire toute sa carrière dans la même entreprise appartient à l’histoire pour la plupart d’entre nous. Il est maintenant nécessaire de gérer sa carrière d’une autre manière. La plupart des entreprises ont un service marketing pour vendre leurs produits ou services : stratégie de marque, emballage, prix, slogan, publicité,… Chaque individu dispose de son côté d’un CV et de références professionnelles pour vendre sur le marché du travail ce qu’il est capable de faire. Mais ce n’est plus suffisant.
L’objectif de ce billet est de vous aider à structurer la manière dont vous souhaitez vous faire connaître pour booster votre carrière professionnelle. Il s’agit de se mettre dans une logique de marketing personnel pour construire sa marque personnelle. Ce concept est très développé aux Etats-Unis depuis 10 ans sous le terme de « Personal Branding » qu’on peut traduire par « marque personnelle ». Peter Montoya et William Arruda en sont les principaux concepteurs.
Par Valérie Weill (chroniqueur exclusif) – Consultante et accompagnatrice en création/développement d’entreprise
"Paris Pionnières" est un incubateur féminin d’entreprises de services innovants. Frédérique Clavel, sa responsable, a organisé dernièrement le 11 Mars un colloque pour mieux faire connaître les entreprises de services innovantes. A cette occasion, Hervé Novelli, secrétaire d’Etat chargé des Entreprises et du Commerce extérieur, a présenté 10 pistes* de réflexion en faveur de l’entrepreneuriat féminin. Ces pistes ont été travaillées en partenariat avec la DCASPL (Direction du Commerce, de l’Artisanat, des Services et des Professions libérales) et les principaux réseaux de soutien de l’entrepreneuriat féminin ainsi qu’avec l’APCE. Nous vous les présentons et les commentons.
* Source : Ministère de l’Économie, des finances et de l’emploi
1- Améliorer la connaissance quantitative de l’entrepreneuriat
féminin
M. Novelli propose que l’on dispose
de données claires sur le sexe du dirigeant, le type de création (EI ou
société) et s’il s’agit d‘une création ou d’une reprise au sein du répertoire des
entreprises Sirene, géré par l’Insee, afin que l’on fasse un suivi régulier des
entrepreneures. Cela permettra de dégager des statistiques précises et de mieux
identifier la place des femmes dans l’entrepreneuriat. Pour cela, une révision
des textes qui organisent les circuits alimentant le répertoire sera
nécessaire.
2- Mettre en place un observatoire de l’entrepreneuriat féminin
Jusqu’en 2006, c’était le groupe
Fiducial qui publiait chaque année un très intéressant observatoire de
l’entrepreneuriat féminin. Il s’agirait de relancer cet observatoire qui
pourrait alors être confié soit à nouveau au groupe Fiducial, soit à l’APCE. Un
observatoire est effectivement absolument indispensable pour rendre compte des
évolutions des créatrices et pour dégager les bonnes pratiques mises en place à
l’international.
3- Communiquer sur l’entrepreneuriat féminin
Il y a eu de très bonnes campagnes
de communication pour sensibiliser le grand public à l’artisanat :
pourquoi pas faire de même sur le thème de la création d’entreprise au
féminin ? Quand on pense que ce
genre de campagnes existe depuis longtemps outre-Atlantique et que des structures
d’accompagnement et de mentorat sont destinées spécifiquement aux femmes, il
est temps de rattraper le train !
Il s’agirait alors de
donner des infos sur les démarches, les outils et les aides disponibles pour
les femmes afin de les inciter à se lancer. A cette occasion, un effort de
sensibilisation des organismes de crédit sur les spécificités de
l’entrepreneuriat féminin serait mis en œuvre. Dans ce cadre, les banques
pourraient être associées afin de réduire les freins existants sur la question
de l’accès au financement des entrepreneures.
Par Laurent Dureau(contributeur) – Impulseur Booster en Capital Humain
Bourré d’énergie et plein de bonnes intentions,
l’entrepreneur surtout s’il est novice va vite apprendre à ses dépends
que tout ce qu’on lui dit n’est pas à prendre au pied de la lettre.
Dans ce parcours inhabituel, chaque acteur voulant vous aider est convaincu de la justesse de ses propos
et vous en bon élève vous allez gober quelques couleuvres qui vous
donneront soucis et tracas avant leur complète évacuation de votre
univers.
Eh
bien oui, aussi convaincu et convaincant que peut être votre donneur
d’infos, il vous faudra systématiquement détecter le bon du mauvais, le
vrai du probable afin de mesurer les risques que vous prenez.
L’info sera toujours "teintée" commercialement
par votre interlocuteur qui a intérêt à faire du business avec vous.
Ceux qui sont "agréés" du type experts-comptables, juristes ou
banquiers sont les plus redoutables car forcément, d’une manière ou
d’une autre, ils vous tiennent par les "précieuses". Pour eux, vous
n’êtes qu’un poisson rouge coincé dans un aquarium.
Pour les autres "conseillers" de tous poils, naturellement on est
plus chatouilleux et il est plus facile de détecter les dérives qui
pourraient nous nuire. Cependant, il y a des professionnels très
aguerris qui apparaissent et disparaissent de votre champ de vision à
la vitesse de la lumière, juste le temps de commettre leur larcin.
Personnellement, je les range dans la catégorie des PV de
stationnement. Malgré tous vos efforts pour ne pas en prendre une,
statistiquement vous savez qu’il vous faut y consacrer un certain
budget mensuel avec lequel vous vous arrangerez.
Là où le discernement devient le plus vital c’est quand il faudra signer un contrat vous engageant. Cela va de la signature d’un CDI, d’une assurance ou d’un contrat de partenariat.
Par Jeremy Tripoli(contributeur exclusif) – Entrepreneur en Chine
La mondialisation de l’économie et le développement d’internet vont complètement bouleverser le travail et notre façon de vivre. C’est la thèse développée par Thomas Friedman, dans son livre « The World is Flat ». D’autres auteurs ou entrepreneurs à succès ont mis en lumière ce phénomène :
· Tim Ferris est un exemple concret, reflétant parfaitement les idées de Friedman. C’est l’auteur du best seller « The 4 Hour Work Week ». Il est Américain, a monter un business sur internet et vie désormais de manière « nomade », voyageant partout dans le monde et gérant son entreprise à distance.
· Ces changements ont été perçus par Jacques Attali dans son livre « Brève Histoire de l’Avenir ». De plus en plus d’individus auront une vie similaire à celle de Tim Ferris : une entreprise gérée à distance, permettant de vivre dans n’importe quel pays en fonction de ses priorités (attrait pour un continent en particulier, payer moins de taxe…).
Il y a un élément clés qui transparaît dans ces livres et expériences : l’outsourcing. Concrètement, qu’est ce que c’est et comment un entrepreneur peut en profiter ?
Par Delphine Favory(contributeur) – Responsable Marketing et Commercial
Nicolas Goldstein, responsable et concepteur du site capital-risqueur.tv, nous confie sa vision de l’entreprenariat et nous parle de son projet.
1/ Première création d’entreprise à 19 ans, 5 entreprises
créées en 10 ans : c’est quoi, pour vous, être entrepreneur ? Qu’est-ce
qui vous anime, vous attire dans la création d’entreprise ?
Je pense que je suis un entrepreneur inné. Depuis mes 18 ans, je
crée des sociétés et je suis mon propre patron. J’ai eu l’opportunité
d’être soutenu dans mes actions et encouragé par ma famille, c’est
important. Créer sa société est loin d’être facile, surtout lorsque
l’on est seul. Régulièrement, on se demande si on fait le bon choix…
surtout quand les factures arrivent, les taxes, les cotisations
retraites et autres frais… alors que vous ne gagnez pas encore
d’argent….
Ce qui m’anime est la passion de réussir, la créativité et la liberté d’entreprendre.
2/ De toutes ces expériences entrepreneuriales que retenez-vous ?
L’expérience et le réseau sont les éléments les plus importants pour
entreprendre. Chaque jour on apprend. En tant qu’entrepreneur, on a le
droit de se tromper mais l’obligation d’apprendre de ses erreurs.
Rencontrer des hommes de grand talent me permet d’avancer et de me
donner un challenge : celui de suivre leurs traces. Chaque jour, je
pense être meilleur.
3/ Avec le recul, quelles ont été vos principales difficultés ? Qu’auriez-vous fait différemment sur vos premières expériences ?
Je me suis lancé très jeune, sans expérience, et j’ai dû tout
apprendre au fil du temps… peut être aurai-je dû commencer ma vie
active dans une société et apprendre avant de me lancer ? …Finalement
je ne regrette rien, et aujourd’hui à 29 ans, j’ai 10 ans d’expérience
professionnelle et un réseau assez important qui me permettent
d’avancer.
Par Eric Dupin (contributeur) – Concepteur web indépendant
Souvenez-vous, avant les blogs, avant Facebook, avant Twitter,
avant-hier quoi, les amis de vos amis étaient déjà vos amis, grâce (ou
à cause) de Linkedin, Friendster (qui a changé d’orientation depuis) ou, plus près d’ici Viaduc, devenu Viadéo.
Par Jean-Pierre Lauzier(contributeur) – Conférencier, formateur, expert-conseil
Un des plus grands défis que vous avez à relever, en tant qu’entreprise qui veut progresser, consiste à augmenter votre clientèle. Or, il est notoire que la première étape à franchir pour avoir de nouveaux clients réside dans le fait qu’il faut vous faire connaître. Il est bien évident que si l’on ne vous connaît pas, il y a très peu de chances que l’on achète de vous.
Si, comme tout le monde, vous utilisez les canaux traditionnels tels que les annonces dans les journaux qui vantent les mérites de vos produits, les pamphlets qui décrivent vos produits et services, le réseautage d’affaires qui parle de vous ou encore les pages jaunes qui font connaître le nom de votre entreprise, il est fort probable que vos ventes augmenteront, mais probablement pas au rythme où vous le souhaiteriez.
Devant cette réalité, existe-t-il une recette magique qui veut que, lorsqu’on l’applique, vos ventes explosent automatiquement ? Malheureusement, il n’y a pas une telle recette sinon tout le monde la copierait tout de suite et il s’ensuivrait que, très rapidement, son bon fonctionnement diminuerait parce qu’elle ne serait plus différente.
Par Bruno Salgues(chroniqueur exclusif) – Enseignant chercheur
Les logiciels sociaux n’ont pas une histoire récente….
Petite histoire des logiciels sociaux
Les logiciels sociaux ont été décrits dès les années 50 dans la littérature informatique théorique. Le point de départ du développement de ces logiciels serait l’Université d’Oregon, en 1971. Sur le campus de cette université, un système généré par les usagers avait été construit pour promouvoir le campus, et en faciliter l’accès et l’usage, en particulier pour les déplacements. Le terme « User Generated Concept » est ainsi né. Cependant, les théoriciens de ces logiciels, Bela H Benathy et Rob Kling notamment, se sont refusés longtemps a utiliser ce terme.
Le CSCW (Computer Supported Cooperative Work ou Travail Coopératif Soutenu Par Ordinateur) est présenté comme une solution à l’échec de l’intelligence artificielle, observé pendant les années 70 et 80. Ce concept vise à mettre les cerveaux en commun pour rendre l’Homme plus puissant.
Rob Kling a donné, en 1980, une définition de la socio-informatique ou de l’informatique sociale. “L’informatique sociale se rapporte au coeur de recherches et d’études qui examinent des aspects sociaux de l’automatisation, comprenant le rôle des technologies de l’information dans le changement social et d’organisation et les manières dont l’organisation sociale des technologies de l’information est influencée par des forces sociales et des pratiques sociales. L’informatique sociale inclut les études et d’autres analyses qui sont appelées les impacts sociaux de l’informatisation, l’analyse sociale de l’informatisation, les études de communication médiatées par des système d’information (computer-mediate communication ou CMC), la politique de l’information, le thème informatisation et société, l’informatique d’organisation, l’informatique interprétative, etc… ». Plus tard, les auteurs feront évoluer cette terminologie vers la notion de « User Generated Concept ».
Par Antoine Teillet(chroniqueur exclusif) – Journaliste spécialisé grandes écoles
Ceux qui suivent l’actualité de l’enseignement supérieur n’auront pas manqué le passage de la loi relative aux « Libertés et Responsabilités des Universités » dite aussi loi LRU ou loi « Pécresse » qui permet notamment aux universités de créer des fondations universitaires et partenariales (article 28).
Ce passage est d’importance. Il signifie en effet pour les universités une nouvelle possibilité d’augmenter leurs revenus. En allant chercher l’argent ailleurs que dans les circuits habituels. Face à des pouvoirs publics aux moyens désormais limités, la solution passe par les entreprises ou les donateurs privés. Les grandes écoles ont déjà une large avance dans le domaine puisque voilà déjà quelques années –voire quelques décennies– qu’elles ont déployé de gros efforts en direction des entreprises.
Je pense par exemple à l’Insead qui a récemment bouclé une levée de fonds de 194 millions d’euros. Je pense à HEC dont la Fondation a été lancée dans les années 70 et rénovée en 1991 et qui compte bien aller chercher 100 millions d’euros de revenus privés d’ici 2010. Je pense à Polytechnique qui a annoncé ces jours-ci une levée de fonds de 25 millions d’euros, l’école ayant déjà collecté de manière officieuse une douzaine de millions l’an passé. Une somme très importante en un laps de temps si court.
Ce genre de démarche ne signifie en rien une perte d’indépendance pour ces établissements. Aujourd’hui, les institutions d’enseignement supérieur sont à l’écoute des entreprises, c’est un fait. Elles tiennent compte de leurs besoins, elles adaptent leurs formations, mais prouvent que de telles relations de proximité sont possibles sans s’inféoder au grand capitalisme. Si la sphère économique est souvent représentée dans les instances des grandes écoles, si les associations de diplômés de ces institutions y sont très influentes, ces établissements proclament tous leur volonté de rester indépendants et y arrivent de manière générale. Il est de toute façon évident qu’elles seraient mortes ni elles ne faisaient que se placer à la remorque de quelques grands groupes. Si HEC ne faisait que suivre sans aucune réflexion les besoins du CAC 40, serait-elle N°1 en Europe depuis trois ans selon les classements du Financial Times ?
Par Olivier Zara(contributeur) – Fondateur d’Axiopole
Les systèmes de gestion de la réputation propres à chaque site de e-commerce (eBay, PriceMinister,…) aident les vendeurs et les acheteurs à mieux se faire reconnaître en tant que « bon vendeur » (qui livre dans les délais le produit commandé) ou « bon acheteur » (qui paye ce qu’il a commandé).
Les freelances disposent de nombreux sites spécialisés pour les mettre en relation avec des clients. Par exemple, sur Odesk, espace dédié aux informaticiens, chaque mission est évaluée sur plusieurs dimensions avec un système d’étoiles (1 à 5). Cela permet une évaluation de la réputation des freelances.
Mais, en dehors de ces cas particuliers, comment évaluer la réputation d’un professionnel ?
Depuis bien longtemps, les recruteurs et employeurs évaluent la réputation d’un professionnel à partir de ses références et de leurs recommandations (orales ou écrites du type lettre de recommandation)
Après un entretien, ces 2 éléments permettent à un recruteur de
valider son ressenti vis-à-vis d’un candidat et d’approfondir des
aspects du parcours ou de la personnalité du candidat. Ils donnent des
indications précieuses sur sa réputation.
En tant que professionnel, il est donc très important de gérer
efficacement et activement vos références tout au long de votre
carrière, et pas uniquement quand vous cherchez un emploi. L’enjeu est
de vous construire une réputation professionnelle durable.
Qui a dit que j’étais toujours en vacances ??? Pendant que vous êtes tous affalés sur votre canapé, pas loin d’un ventilo, à regarder le défilé du 14/7 ou le Best Of des plus beaux coups de tête du Mondial 2006 (dans les 2 cas des crétins en uniformes, largement trop payés pour ce qu’ils foutent), moi je bosse.
Je suis à Londres pour rencontrer les 2 nouveaux contacts chez mon plus gros client
(décidémment c’est la période. Mes 2 contacts chez mes 2 gros clients
ont décidé de partir à 15 jours d’intervalle). En l’occurence, 1 femme remplacée par 2 gars (vive la parité !) : un italien et un allemand. On a parlé foot mais pas trop. Le sujet est encore un peu chaud…
L’aller-retour dans la journée. 6 heures d’Eurostar plein de touristes. Chouette !
Par Henri Kaufman (chroniqueur exclusif) – Président de Communider – Agence de Marketing
Légende photo : Entrez donc, cher client !
Aujourd’hui, les clients passent de plus en plus de temps à se renseigner quand ils ont, « quelque part en tête », l’idée de procéder à un achat. Il veulent o p t i m i s e r cet achat avant de passer à l’acte.
Ils peuvent le faire (et y prendre un certain plaisir…), puisqu’ils ont désormais accès à des outils ultra-puissants :
– Comparateurs de prix en temps réel, dans tous les domaines : appareils électroniques, compagnies aériennes, voyages, habitat, jouets, fournitures de bureau, etc…
– Recueil des appréciations et commentaires de clients qui ont déjà choisi la même marque et/ou acheté un produit comparable
– Notices techniques avec, point par point, des tableaux comparatifs extrêmement complets.
Ainsi,
ils ont sous les yeux toute l’information souhaitable au moment le plus
crucial, celui de la décision et du passage à l’acte. Ils peuvent aussi décider
du canal qui leur convient le mieux pour commander. Quitte à panacher,
c’est-à-dire se renseigner en boutique pour acheter ensuite sur catalogue ou
décortiquer les sites internet pour finalement acheter en magasin.
Ils
peuvent en outre se renseigner sur catalogue, vérifier les prix sur internet,
demander des infos au téléphone puis réclamer par courrier au service
après-vente. Cette démarche multi-canale augmente singulièrement la complexité
de l’achat… du côté du vendeur.
Bref, le client devient un
véritable expert marketing compétent !