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Le Crédit d’Impôt Collection (CIC) – La mode a la Française…

Michaeldamiati Par Michael Damiati (chroniqueur exclusif) – Spratley-Conseil Sud Parisien

La gastronomie française vient de rentrer au patrimoine universel de l’UNESCO.

Cette distinction vient recomposer le savoir-faire a la Française sa tradition, et bien entendu sa grande qualité.

Il est un autre domaine ou la France se distinguait, et oui distinguait et non distingue, car face a une concurrence toujours plus accrue, un domaine ou nous excellions tend à disparaitre.

Disparaitre est un peu fort, je vous l’accorde et pour cause :

Le domaine dont je veux vous parler est la mode, le marché du textile.

Alors évidemment ils nous restent nos figures de proue comme les YSL, ou Dior, Hermes…mais vous m’accorderez que d’abord ce sont des produits réservés uniquement a une certaine catégorie, puis ces fleurons sont tout adossé a de grands groupes tels que LVMH, PPR, etc.

Nous sommes bien loin de la PME, ou encore des créatrices ou créateurs, qui se lancent par passion dans ce dur métier de la création textile.

Alors pour les aider et conserver malgré tout « la french touc h » nous disposons du CIC

Mais non pas de la banque qui vend des téléphones, mais du Crédit d’Impôt Collection (CIC)

En effet, le Crédit d'Impôt Collection (CIC) vous permet d'obtenir une réduction d'impôt pouvant financer plus de 50% de vos dépenses de collection.

 Si vous élaborez de nouvelles collections ou de nouvelles gammes à intervalle régulier, si vous engagez des dépenses externes auprès de stylistes ou bureaux de styles, si vous supportez des dépenses liées à des dépôts de dessin ou de modèle, le CIC vous permet alors sans doute d'obtenir un financement assimilable à une subvention non remboursable et non imposable.

Évidemment, cela ne fait pas tout, mais avouez que c’est un jolie coup de pouce.

Alors comment ça marche ?

« Petite chronique boursière » : En stratégie, le moyen terme n’existe pas

Vincent_colot Par Vincent Colot (chroniqueur exclusif) – Analyste financier

Le problème se pose à l’identique pour l’entrepreneur et pour l’investisseur : « A quel horizon temporel dois-je concevoir mon action ? ».

La nature de l’activité doit bien évidemment être prise en compte. La rentabilité d’un investissement commercial ou industriel doit se penser différemment en fonction de son ampleur et de sa durée de vie potentielle : une usine sidérurgique, par exemple, ne va pas se rentabiliser aussi rapidement qu’un stock de masques de carnaval (qu’il est préférable d’avoir vendus durant la période limitée des festivités). Dans le premier cas, le long terme correspond à plusieurs années tandis que dans le second cas, le long terme ne dure que quelques jours. Quant à l’investisseur boursier, selon qu’il sera trader un adepte d’une approche plus longue, le long terme sera, là aussi, une journée ou plusieurs années.

Cela étant précisé et quel que soit le cas considéré, mon point est le suivant : l’action s’inscrit nécessairement à court terme (au moment où l’acte est posé) dans le but de faire effet à long terme (au moment où le résultat de ce qui a été entrepris est analysé). Quant au moyen terme, il n’est pas relevant : se fixer un objectif à mi-parcours est même la plupart du temps contre-productif parce que, quasi-inévitablement, des événements imprévus viendront polluer ce qui était prévisible initialement.

Dès lors, une bonne stratégie (industrielle ou boursière) consiste à poser des actes à court terme qui porteront des résultats positifs à long terme, quelles que soient les circonstances qui surviennent à moyen terme.

Qu’est-ce que cela implique ?